jeudi 30 décembre 2010
mardi 28 décembre 2010
top 25 des livres chez les Inrocks...
bonjour tout le monde....
Un Goncourt, de grands livres, entre révélations et redécouvertes, tout ce qui a fait 2010, en livres.
Michel Houellebecq, La Carte et le Territoire
Bret Easton Ellis, Suite(s) impériale(s)
Heather Lewis, Le Règlement
Patrick Modiano, L’Horizon
Et aussi...
dimanche 26 décembre 2010
un nouveau challenge : Roman noir des 50"s
samedi 25 décembre 2010
chic, le père Noël a été généreux
- 1104 pages... je ne sais plus qui en a parlé sur la blogosphère, mais pas résisté ! juste pas vu le nombre de pages !
- Editeur : Omnibus (4 février 2010)
- Les Veufs Noirs, ce sont six hommes, ni veufs ni forcément célibataires, qui se réunissent pour manger, boire, bavarder... et résoudre les énigmes que vient leur présenter leur invité. En marge de l'immense oeuvre de science-fiction qui l'a consacré, Isaac Asimov a lorgné du côté d'Hercule Poirot et de ses " petites cellules grises " pour concocter ces soixante bijoux d'astuce et d'humour.
- 419 pages... tentée par quelques uns d'entre vous...
- Editeur : Le Cherche Midi (25 mars 2010)
- New York, mai 2009. Six morts violentes se succèdent en quelques jours. Les victimes n'ont aucunpoint commun, hormis d'avoir reçu quelques jours plus tôt une carte postale de Las Vegas, avec, inscrite dessus, une simple date, celle du jour de leur mort. Très vite, la presse s'empare de l'affaire, et celui qu'elle surnomme « Le tueur de l'Apocalypse» a tôt fait de semer la psychose dans la ville.Désorientées par l'absence d'indices, les autorités se tournent vers Will Piper, ancien profiler d'élite,dont la carrière a brutalement été interrompue à la suite d'un drame personnel. Lorsque de nouvelles cibles reçoivent à leur tour des cartes postales leur indiquant le jour de leur mort, Will va tout mettre en oeuvre pour empêcher le tueur d'agir à nouveau. Mais les noms des victimes sont déjà dans Le Livre des morts… L'enquête de Will ne va pas tarder à prendre un tournant complètement imprévu pour le mener au coeur des secrets les mieux gardés du gouvernement américain. Une mission confidentielle de Winston Churchill en 1947 auprès du président Truman, un monastère sur l'île de Wight, Area 51 : autant de pièces d'un puzzle machiavélique, que Will devra résoudre pour faire triompher la vérité. Avec cet ouvrage à la construction remarquable et à l'intensité dramatique époustouflante, Glenn Cooper manipule le lecteur et nous offre un thriller envoûtant, idéal pour les amateurs de suspense, les passionnés d'histoire, et pour tous ceux qui aiment les livres qu'on ne peut pas lâcher.
- 572 pages... juste envie d'un polar historique, et comme je ne connais pas l'auteur, bonne raison pour une découverte...
- Editeur : Le Livre de Poche (15 septembre 2010) Collection : Policier / Thriller
- 345 pages...je ne sais plus pourquoi je l'ai mis dans le panier... sinon que j'aime bien l'auteur.
- Editeur : Pocket (10 novembre 2010) Collection : Pocket thriller
- 173 pages... juste parce que ça parle de mondain intello...
- Editeur : Editions Gallimard (18 novembre 2010) Collection : Folio Policier
- 314 pages... juste parce que ça parle de Nègre...
- Editeur : Le Livre de Poche (1 décembre 2010) Collection : Littérature & Documents
- 160 pages... Jérusalem... un nom auquel je ne résiste pas... et puis, bien aimé "Le cercle de Megiddo)
- Editeur : LEO SCHEER (10 novembre 2010) Collection : EDITIONS LEO SC
- 473 pages... A part le titre, je ne vois pas pourquoi je l'ai pris...
- Editeur : LGF (21 janvier 2009) Collection : Le Livre de Poche
- 157 pages... Gros coup de coeur au noël 2009 pour "La lamentation du prépuce"... donc...il était sur ma liste.
- Editeur : 10 (18 novembre 2010) Collection : Domaine étranger
- 365 pages... tout simplement parce que j'ai envie de relire tout Saramago cette année...
- Editeur : Contemporary French Fiction (9 mars 2000) Collection : Points
- 411 pages... et oui, encore Jérusalem...
- Editeur : Denoel (19 août 2010) Collection : ROMANS FRANCAIS
- 555 pages... Tout comme pour Jérusalem... la diaspora m'intéresse...
- Editeur : Editions du Rocher (14 octobre 2010) Collection : GRANDS ROMANS
- 283 pages... Les juifs et la seconde guerre mondiale, plus un Grand Rabbin... une période historique qui m'intéresse fortement.
- Editeur : Editions du Rocher (21 octobre 2010) Collection : Un Nouveau Regard
- En 1941, les blindés allemands investissent Salonique, jadis surnommée " la Jérusalem des Balkans ". Deux ans plus tard, 45 000 Juifs, soit 95 % d'entre eux, sont acheminés vers les camps de la mort. Le Grand Rabbin de Salonique avait la charge de veiller au respect des ordres de l'occupant au sein de sa communauté. A-t-il livré les siens aux nazis pour " sauver sa peau " et celle de ses proches, comme on l'a prétendu de manière injurieuse, ou au contraire s'est-il sacrifié en espérant les protéger ? Qui fut Zvi Koretz ? Un traître ou un héros ? Michèle Kahn réhabilite ce personnage complexe et fascinant, dont le courage, dissimulé derrière une apparence de froideur, le conduira au camp de Bergen-Belsen, puis dans le Train perdu, enfin à la mort. Dans le procès post mortem qu'on lui a intenté, elle voit une tragédie grecque et une insulte à la fraternité humaine. Un paradoxe déchirant qui illustre l'aveuglement des hommes dès lors que l'amour ne les unit plus.
- 440 pages... depuis le temps qu'il était sur ma liste... pas trop tôt que je l'achète...
- - Editeur : Grasset & Fasquelle (13 janvier 2010)
- A Prague, en 1942, deux hommes doivent en tuer un troisième. C’est l’opération « Anthropoïde » : deux parachutistes tchécoslovaques envoyés par Londres sont chargés d’assassiner Reinhard Heydrich, chef de la Gestapo, chef des services secrets nazis, planificateur de la solution finale, « le bourreau », « la bête blonde », « l’homme le plus dangereux du IIIe Reich ». Heydrich était le chef d’Eichmann et le bras droit d’Himmler, mais chez les SS, on disait : « HHhH ». Himmlers Hirn heiβt Heydrich – le cerveau d’Himmler s’appelle Heydrich. Tous les personnages de ce livre ont existé ou existent encore. Tous les faits relatés ont été vérifiés. Mais derrière les préparatifs de l’attentat, une autre guerre se fait jour, celle que livre la fiction romanesque à la vérité historique. L’auteur, emporté par son sujet, doit résister à la tentation de romancer. Il faut bien, pourtant, mener l’histoire à son terme.
- 195 pages... Entendu une interwiew sur France-Culture il y a quelques temps, et je suis tombée amoureuse du personnage de Furcy...
- Editeur : Editions Gallimard (18 mars 2010) Collection : HORS SERIE LITT
- Le 16 mars 2005, les archives concernant " L'affaire de l'esclave Furcy " étaient mises aux enchères, à l'hôtel Drouot. Elles relataient le plus long procès jamais intenté par un esclave à son maître, trente ans avant l'abolition de 1848. Cette centaine de documents - des lettres manuscrites, des comptes rendus d'audience, des plaidoiries - illustrait une période cruciale de l'Histoire. Les archives révélaient un récit extraordinaire : celui de Furcy, un esclave âgé de trente et un ans, qui, un jour d'octobre 1817, dans l'île de la Réunion que l'on appelle alors île Bourbon, décida de se rendre au tribunal d'instance de Saint-Denis pour exiger sa liberté. Après de multiples rebondissements, ce procès, qui a duré vingt-sept ans, a trouvé son dénouement le samedi 23 décembre 1843, à Paris. Malgré un dossier volumineux, et des années de procédures, on ne sait presque rien de Furcy, il n'a laissé aucune trace, ou si peu. J'ai éprouvé le désir - le désir fort, impérieux - de le retrouver et de le comprendre. De l'imaginer aussi.
- 528 pages... en souvenir d'un vieux livre d'histoire scolaire de la classe de cm1 dans les années 50... et puis, cette année j'ai prévu de lire de l'Histoire...
- Editeur : Fayard (13 octobre 2010) Collection : Divers Histoire
- 352 pages... juste pour l'auteur, dont j'ai adoré la grande fresque historique de la famille Pibrac... mais tout de même hésité en ce qui concerne le "héros" du livre...
- - Editeur : Stock (9 juin 2010)Collection : Hors collection littérature française
Michel Folco, que l’on connaît pour ses romans hauts en couleurs, en inventions, et en trouvailles narratives, rencontre cette fois un personnage bien réel, trop réel. Et quel personnage ! Celui par qui tant d’injustices et de malheurs vont naître, Adolf Hitler.
Mais Michel Folco n’est pas un biographe, même si ses ouvrages sont minutieusement documentés. Avec toute sa fantaisie, son humour décapant, il s’applique à nous conter comment le plus banal des enfants peut receler le plus effrayant des monstres. Le roman, ici, dépasse tous les livres d’histoire.
L’auteur n’avait pas craint de mettre en scène Napoléon ou Freud. Il a choisi de monter la barre d’un cran. Mais c’est la face mystérieuse et partiellement inconnue d’Hitler qu’il aborde : son enfance et sa jeunesse, dont nous savons peu de choses. La force de l’ouvrage tient à la banalité du personnage. Bien sûr, ses origines furent incertaines. Bien sûr, son talent était médiocre. Bien sûr, sa mère mourut trop jeune. Bien sûr, ses passions n’avaient rien de flamboyant ni d’exceptionnel. Mais, au fur et à mesure qu’on avance dans ce livre étrange grandit un personnage dont la détermination, peu à peu, nous perturbe. Car on ne peut décrypter l’enfance d’Hitler sans imaginer son avenir, sa puissance destructrice, la fascination qu’il exercera sur une grande part de son peuple, lui qui est si peu fascinant. Et c’est tout le talent de Michel Folco que de se glisser dans cet interstice : pourquoi le plus ordinaire des hommes en lui recèle-t-il Hitler ?