Le Prix SNCF du polar donne sa sélection d'automne

Dans l'info de livre-hebdo...

lequel me conseillez-vous...

Publié le 23 septembre 2010 par jd

(Photo : Johan Theorin, l'un des deux lauréats de cet été)

Trois romans français et trois romans européens sont en lice.

Les lecteurs ont jusqu’au 7 décembre pour élir les prix SNCF du polar, qui seront décernés à un titre français et un titre européen. Les livres en compétition sont les suivants :

Romans français

Cauchemar périphérique, de Karim Madani (Philippe Rey)

Je ne vous aime pas, d’Eric Cherrière (Le Cherche Midi)

Le cul des anges, de Benjamin Legrand (Le Seuil)

Romans européens

Ça aurait pu être le paradis, de Camilla Grebe et Asa Traff, Suède (Le Serpent à plumes)

Le chuchoteur, de Donato Carrisi, Italie (Calmann-Lévy)

Rupture, de Simon Lelic, Angleterre (Le Masque)

Cet été, le prix SNCF du polar avait récompensé le Français Pierre Lemaître pour Cadres noirs (Calmann-Lévy) et le Suédois Johan Theorin pour L’écho des morts(Albin Michel).

Le dernier livre de Laurent Terzieff annoncé pour octobre

en lisant la presse...

Dans Seul avec tous, qui sortira le 14 octobre 2010 aux Presses de la Renaissance, l'acteur et metteur en scène décédé vendredi dernier revient sur son parcours.

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Seul avec tous, le premier livre autobiographique de Laurent Terzieff, paraîtra comme prévu le 14 octobre prochain aux Presses de la Renaissance.

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L'acteur et metteur en scène, décédé vendredi dernier à l'âge de 75 ans, travaillait encore avec Marie-Noëllle Tranchant au texte de ce livre, dont le style est qualifié d'"intime" et de "personnel" par les éditeurs.

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Né à Toulouse en 1935 de parents réfugiés russes, Laurent Terzieff a fait ses débuts sur scène en 1953 dans une pièce de Jean-Marie Serreau, Tous contre Adamov.

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Repéré par Marcel Carné, il a joué dans plus d'une soixantaine de films, tout en menant une active carrière de comédien et de metteur en scène au théâtre.

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Véritable légende du théâtre français, cet acteur incandescent au visage émacié avait été sacré meilleur comédien en avril aux Molière pour deux rôles différents dans les deux familles du théâtre, "L'Habilleur", qui lui a valu aussi le Molière du théâtre privé et "Philoctète", dans le secteur subventionné.

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Indépendant, exigeant et discret, cet autodidacte du théâtre avait révélé des auteurs tels que Andreiev, Mrozek, Milosz et les anglo-saxons James Saunders, Murray Schisgal, Edward Albee.Au cinéma, il avait notamment tourné sous la direction de Luis Bunuel ("La voie lactée" en 1969), d'Henri-Georges Clouzot ("La prisonnière", 1968) ou de Pasolini ("Médée" en 1969).

Publié le 06 juillet 2010 par ag, avec afp - http://www.livreshebdo.fr/actualites/DetailsActuRub.aspx?id=4663#4663