menus propos et visite de blogs... et recettes du salon de l'agriculture...

Bonjour à tous,

Belle journée aujourd'hui... des envies de sortir...

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"la liseuse" de Meghane Henley (Lali)
nous en avons profité pour aller chez le coiffeur... illustration : cfsl.net

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JJ se change les idées dans le jardin...

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illustration : gdcreations.free.fr
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Acheté ce matin... pas eu le temps avant... ma liste d'envie de lecture va surement prendre de l'ampleur...

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A la une dans ce numéro : Freud : pionnier ou imposteur ?

Et également : Freud Günter Grass Patrick Modiano psychanalyse William Boyd

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Une lecture qui avance bien... et en plus un film ... reste a chercher dans la dvd-thèque de mes hommes s'il s'y trouve...

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Gone Baby Gone est un film dramatique réalisé par Ben Affleck,

sorti le 26 décembre 2007 en France,

avec Amy Ryan, Casey Affleck et Michelle Monaghan.

Il s'agit de l'adaptation du livre éponyme de Dennis Lehane.

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Visite

dans la blogosphère

un cadeau pour Cécile... trouvé sur muse-et-homme.com trouvée sur armstrongengraving.com

chez Thé au Jasmin de Kenza Fabergé, Au commencement était "L'Oeuf & la poule"...

une visite s'impose pour voir son excellent article... mais c'est tous les jours qu'il faut y passer... vraiment un blog magnifique.
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Tentateurs

Brunissende a lu Le Club des veufs noirs de Isaac Asimov

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Un vendredi par mois 5 vieux amis se réunissent dans un salon privé de leur restaurant de prédilection. Ils y seront servis par Henri, leur fidèle serveur qui fait parti intégrante de leur groupe. À tour de rôle, chacun d'eux sera l'hôte et aura invité quelqu'un ayant une profession ou une histoire intéressante.

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décidemment il faut que je fasse un tour sur le site de 10/18 pour voir un peut ce qu'il y a comme grands détectives... j'ignorais totalement qu'Asimov avait une série de polar-historique... vraiment très tentée !

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de Le blog de Claude LE NOCHER Les perles noires de Télérama

On ne prétendra pas que Télérama découvre que le polar est un genre "grand public". Ce magazine a consacré un certain nombre de chroniques à cette catégorie de livres. Néanmoins, c’est la réalité des chiffres qui légitime l’intérêt actuel de Télérama pour ces romans.

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Encore un excellent article de Claude...

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de la ronde des post-it opération impulse II, le retour de la revanche qui tue!...

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après une première édition très réussie, l'opération impulse est de retour!! si vous êtes tentés, n'hésitez pas à vous inscrire avant le 6 Mars 2010 en envoyant un mail à Lhisbei, toutes les infos ICI, lancez vous!!
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de Le fond des poches (La libraire virtuelle) Au fin fond des poches l'Entre-deux-Noirs !

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Le fond des poches s'est trouvé un complice. Un expert du polar, Christophe Dupuis, libraire à l'Entre-deux-Noirs à Langon qui autopsie les romans policiers. Et bien vous retrouverez ses coups de cœur sur mon blog chaque mois. Il vous suffit de cliquer pour retrouver sur son site : conseils, interviews d'auteurs.

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de Actualitté - Une page de caractère (Victor de Sepausy)

Perez-Reverte crache sur l'Espagne d'aujourd'hui comme sur celle d'hier

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Arturo Perez-Reverte ne sait pas vraiment garder sa langue dans sa poche. En témoigne le dernier interview de l'auteur espagnol par le quotidien El Mundo.

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Si, désormais Perez-Reverte est mondialement connu pour sa saga racontant les aventures historico-policière du capitaine Diego Alariste, il fut au préalable journaliste de terrain, arpentant les conflits armés à travers toute la planète.

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Mais, avec le succès de sa saga, M. Perez-Reverte se prend même pour un grand philosophe et historien du temps présent comme des obscures périodes passées.

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C'est ainsi qu'il affirme, sans ambages, que l'Espagne aurait bien eu besoin de la guillotine à la fin du XVIII° siècle pour en finir une bonne fois avec la vieille aristocratie et le pouvoir ecclésiastique. La France aurait finalement eu une forme de chance de connaître cette violence pour que, bien des décennies plus tard, s'installe la démocratie sans retour possible vers un régime passéiste.

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Si l'on retrouve Perez-Reverte dans les pages du quotidien El Mundo, c'est tout simplement parce qu'il sort encore un nouveau tome de la saga des Aventures du capitaine Alatriste.

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Dénomé El Asedio, ce nouvel opus a pour cadre la ville de Cadix à l'époque du siège des lieux par les armées napoléoniennes en 1811.

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Espérons que Perez-Reverte ne lâchera plus sa plume de romancier pour espérer revenir au poste de journaliste. Toutefois, ce nouveau roman lui permet de brosser le portrait d'une ville de Cadix libérée de l'obscurantisme du reste de l'Espagne. Ce port, communiquant directement avec les colonies d'Amérique était devenu une ville moderne.

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Toujours dans l'interview qu'il donne au quotidien El Mundo, Perez-Reverte se montre très sévère sur l'Espagne d'aujourd'hui. Et la loi dénommée « mémoire historique », mise en place par le gouvernement, qui vise à réhabiliter les victimes du franquisme est inutile à ses yeux. Le problème est ailleurs.

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Et dans une Espagne qu'il taxe d' « inculte », l'absence de mémoire collective empêche toute initiative pouvant permettre d'éviter le retour à l'obscurantisme. L'écrivain n'explique pas l'arrivée de Franco au pouvoir comme le fait d'un seul homme et remettre en cause simplement les têtes ne fera aucunement avancer l'Espagne. C'est le peuple dans son ensemble qui doit réfléchir à ce lourd passé.
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Côté cuisine, rien fait de particulier... mais trouvé quelques recettes sympas sur le site :

salon de l'agriculture

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De grands chefs cuisiniers ont accepté de réaliser des recettes à partir des produits présentés sur le Salon International de l'Agriculture et caractéristiques de leur région.
Il ne vous reste plus qu'à enfiler votre toque !

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Les régions de France dans vos assiettes et dans vos verres !

Alsace Larges fingers de porcelet & pamplemousse, velouté de maïs par Anne Ernwein, Chef de "A l'Agneau" (Pfaffenhoffen, 67)

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Aquitaine Foie gras de canard du Sud-Ouest au Sauternes par Vincent Poussard, Chef de l'atelier culinaire "Quai des Saveurs" (bordeaux, 33)

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Auvergne Recette de la pièce de boeuf de Salers au bleu d'Auvergne et truffade par Thierry Perbet, Cuisinier traiteur du restaurant "Poivre et Sel" (Aurillac, 15)

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Bourgogne Ragoût d'escargots au vin rouge, amandes grillées et romarin par Patrice Sanchez, Chef du logis Hostellerie "Les Terrasses de Corton" (Ladoix Serrigny, 21)

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Bretagne Huîtres tièdes à la fondue de poireaux par Alain Bunoult, consultant culinaire

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Centre Blanc manger au lait "Délice de Touraine" et praslines poires Angélys rôties au pain d'épices et miel du Gâtinais par Yves Dessaint, Chef et propriétaire du Logis de France "Hostellerie du Grand Sully" (Sully sur Loire, 45)

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Champagne Ardenne Damiers de pains perdus aux saveurs de Champagne - Ardenne par Thierry Landragin, Membre des restaurateurs de France, chef du "Restaurant de l'Abbaye" (Hautvillers, 51)

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Franche Comté Risotto "Carnaroli" lié au Comté et Morteau, écrevisses aux noisettes et vin jaune par Romuald Fassenet, Meilleur Ouvrier de France en 2004, une étoile au Michelin depuis 2006 "Château du Mont Joly (Sampans, 39)

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Ile-de-France Pintade fermière au cidre d'Ile de France par Alain Passard, 3 étoiles au guide Michelin et Pépite de Cristal à la cérémonie des Globes de Cristal pour l'ensemble de son travailChef du restaurant "L'Arpège" (Paris, 7ème arrondissement)

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Languedoc Roussillon Gaspacho de Roquette, écume de Chèvre frais du Mas Rolland par Bruno Capellari, Chef du restaurant "L'Harmonie", adhérent du réseau Qualité Hérault (Serignan, 34)

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Limousin Méli-Mélo de douceurs du Limousin par Alain Longeval, Chef du restaurant "L'Abattoir" (Limoges, 87)

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Lorraine Pannacota aux bonbons des Vosges par Philippe Laruelle, Maître cuisinier de France, responsable des cours de cuisine à la Boutiq'Ecole du Val Joli, Auberge du Val Joli (Le Valtin, 88)

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Midi Pyrénées Millefeuille de ventrêche de Noir de Bigorre par Jérôme de Stephani, Chef du restaurant "Les Ecuries de la Tour" (Mondonville, 31)

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Nord pas de Calais Croustillant de Rattes au Maroilles par Christophe Bzerovska, Lauréat du 10ème trophée des Tables Régionales Nord-Pas de Calais en 2009, Chef du restaurant "Le Pavé du Sars" (Sars Poterie, 59)

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Poitou Charentes Carré d'agneau aux pommes de terre grenaille de l'Ile de Ré confites au beurre par Richard Toix, "3 toques" et "Coup de coeur" par le Gault et Millau 2010, 1 étoile au guide Michelin 2009, Chef du restaurant "Passions et Gourmandises" (Saint Benoît, 86)

menus propos, d'un livre à l'autre, les tentateurs du jour...

Bonjour à tous,

en pensant à Cécile quoi de neuf... son animal fétiche...

http://www.sayakaganz.com/Scrap%20Metal%20Sculptures.html

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Pas réussi a terminer "La Princesse des glaces" de Camilla Läckberg

.hier soir, trop sommeil... il me reste donc 20 pages à lire, mais l'assassin est connu... je vais d'ailleurs m'empresser de le finir durant la pause café, tout de suite...

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Vraiment pas aimé ce livre ! mais peut-être est-ce parce que je n'ai pas lu la trilogie dans l'ordre. Pour le moment, pas envie de lire dans l'immédiat "Le prédicateur". Reste que j'ai trouvé "Le Tailleur de pierre" vraiment bien.

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The Blue Silk Dress de Jane Morris,

Pour une fois, je n'emprunte pas une des liseuse de Lali, mais je pioche chez l'amie Kenza (Thé au Jasmin)... son blog est aussi un délice où j'aime flaner...

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Lecture de ce soir

Le Déjeuner du coroner de Colin Cotterill

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Laos, 1976. Les communistes du Pathet s'emparent du pouvoir et l'intelligentsia fuit le pays.

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Siri Paiboun, un médecin qui a fait ses études à Paris, décide de rester.

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À 72 ans, et bien qu'il n'ait jamais pratiqué d'autopsie, il est nommé coroner. Quand la femme d'un ponte du Parti meurt en plein banquet et que les cadavres de trois soldats vietnamiens sont retrouvés flottant sur les eaux d'un lac laotien, tous les regards se tournent vers lui.

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Déterminé à résoudre ces crimes en dépit des tentatives d'intimidation, Siri mène l'enquête, recrutant au passage quelques vieux amis, mais aussi les shamans hmongs, les esprits des forêts, et même ceux des morts qui le visitent en songe...

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Première des aventures du Dr Siri, vieux sage excentrique revenu de tout - un peu Maigret sauce saté, un peu juge Ti -, Le Déjeuner du coroner comblera les fans d'Alexandre McCall Smith et tous les amateurs de polars originaux, brillants et pleins d'humour.

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les tentations du jour :

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chez Stemilou

Petite discussion avec une momie - Edgar Allan Poe

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Petite discussion avec une momie et autres histoires extraordinaires,

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- Une momie qui s'anime pour discuter avec les scientifiques qui l'ont découverte,

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- un prisonnier qui hésite entre deux morts affreuses,

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- une femme enterrée vivante...

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Entre satire, rire grotesque et folie, Edgar Poe nous entraîne au cœur de ses peurs sublimées par la traduction du poète Charles Baudelaire. Trois histoires extraordinaires à vous glacer le sang ! ... tentée, pour le challenge a 2€
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de Nonfiction.fr le portail des livres et des idees Charlemagne : entre histoire et légende

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Une histoire de l'image de l'empereur à la "barbe fleurie" dans la littérature française, du Moyen Age jusqu'à nos jours.

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Charlemagne demeure, au moins jusqu'au début du Xe siècle, une référence essentielle, une incarnation du grand homme tel que l'on peut le rêver à cette époque. Il est vrai que, mis à part Louis XIV et Napoléon, la figure de pouvoir à laquelle il est fait le plus souvent référence est celle de Charlemagne, dans un phénomène de réappropriation d'une identité française qui doit beaucoup aux légendes historiographiques mises en place au Moyen Âge pour légitimer la monarchie française.

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Limage tardive de Charlemagne est ainsi le fruit d'un lent processus de mythification, qui commence dès la mort de l'empereur, en 814. C'est cette figure, à la fois monolithique et contrastée, que cet ouvrage suit dans l'histoire, littéraire avant tout, en partant à la quête du personnage dans ses facettes fondamentales : le roi, le guerrier, l'empereur des chrétiens / chef des croisés / saint et finalement l'homme.

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de Rana Toad de Filisimao

La Trilogie de Gormenghast

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On compare souvent l'influence qu'a eu de l'univers de Mervyn Peake sur la fantasy à celle qu'a eu l'oeuvre de Tolkien.

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Tome 1 : Titus d'enfer

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Au château de Gormenghast règne une famille farfelue: les d'Enfer.

Lord Tombal lit toute la journée.

Son épouse Gertrude ne vit que pour ses chats et ses oiseaux.

Leur fille Fuchsia est d'une nature sauvage et rêveuse.

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Autour d'eux s'agite une société hétéroclite dont le quotidien est figé dans l'exécution de rites ancestraux. La naissance d'un fils, Titus, va rompre la monotonie du château.

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Tome 2 : Gormenghast

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Après la mort de son père, Titus d'Enfer est devenu le maître d'un royaume affaibli.

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Le château de Gormenghast est menacé par un mal mystérieux qui s'apprête à noyer gens et biens. Dans la forêt, Titus rencontre une créature sublime, mi-fille mi-oiseau. Fasciné par cette apparition, il décide de la retrouver et s'aventure aux confins du monde, sur l'autre versant de la montagne de Gormenghast.

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Tome 3 : Titus errant

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Titus d'Enfer a grandi au coeur de la forteresse labyrinthique de Gormenghast. Il profite d'un déluge providentiel, et s'enfuit de ce monde fantastique et clos, où des rituels codifiés l'enferment depuis trop longtemps.

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Le jeune homme s'apprête à affronter le monde et ses dangers, affamé qu'il est d'aventures et de mises à l'épreuve...

James Kelman, vainqueur du Scottish booker prize

Un Nobel écossais irait à un 'putain d'auteur de polars'
C'est pas de notre faute, on est victime de propos violents...

À Édimbourg, la température a monté d'un cran après une intervention rageuse de James Kelman, vainqueur du Scottish Booker Prize :

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critiquant allégrement la production littéraire de son pays - l'Écosse - et les médiocres écrivains de polars, autant que J.K. Rowling (bien que non citée expressément), Kelman y est allé particulièrement fort.

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Selon lui, attribuer un Nobel de littérature à un auteur écossais serait donner de la confiture aux cochons, pour le faire proprement.

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Dans sa langue vernaculaire, ça donne, en VO, quelque chose du genre « a writer of f****** detective fiction ».Inutile de traduire...

Mais pour le plaisir, on vous donne la citation intégrale : « If the Nobel Prize came from Scotland they would give it to a writer of fucking detective fiction, or else some kind of child writer, or something that was not even new when Enid Blyton was writing the Faraway Tree, because she was writing about some upper middle-class young magician or some fucking crap. »

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Des attaques à peine voilées, dont on cerne immédiatement les cibles, particulièrement concernant les jeunes magiciens de classe moyenne...Lui-même est peu soucieux d'ailleurs de la critique. Et surtout pas celle qui vient de l'intérieur.

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De son point de vue, la littérature contemporaine de son pays « a été tournée en dérision et dénigrée par l'establishment littéraire écossais ».

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Ce dernier serait, par un penchant anglocentrique, plus enclin à louer des écrivains médiocres, qu'un type comme Tom Leonard.

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pour ceux que l'anglais rebute, une traduction tout à fait dans le ton : « Si le prix Nobel venait d'Écosse, ils le donneraient à un putain d'écrivain de polar ou une sorte d'auteur jeunesse, ou quelque chose qui n'était même pas nouveau quand Enid Blyton écrivait L'arbre de tous les ailleurs [NdR : série débutée en 1939, comportant quatre ouvrages] parce qu'elle écrivait un truc sur de jeunes magiciens de classe moyenne ou une autre putain de connerie. »Langage fleuri, évidemment...
source : actua litté - Rédigé par Nicolas G, le jeudi 27 août 2009 à 18h52 Source : The Herald

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de la confiture aux cochons : http://www.delaconfitureauxcochons.com/

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Gâcher quelque chose en le donnant à une personne qui n'en ferait pas un bon usage.
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Cette expression est une référence à la Bible, et en particulier à l'Evangile de Matthieu où l'on peut lire :

"Ne donnez pas aux chiens ce qui est saint et ne jetez pas vos perles devant les pourceaux, de peur qu'ils ne les foulent aux pieds, et, se tournant contre vous, ne vous déchirent".
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Ici, les cochons sont le symbole de la saleté et de la voracité, ils représentent le commun des mortels, le "vulgaire" comme on pourrait dire de nos jours, c'est-à-dire les personnes qui ne savent pas apprécier la valeur spirituelle des choses.
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Quant à la perle, elle symbolise la pureté et la grâce. Ainsi, "jeter les perles devant les pourceaux" ou "donner de la confiture aux cochons" signifie que donner une chose de valeur à quelqu'un qui ne sait en voir la valeur serait du gâchis pur et simple.