de nouveau sélectionnée pour le partenariat de vendredi... il s'agit cette fois du dernier livre de Khadra...
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Hormis son précédent roman qui ne m'avait pas plu, en général j'aime assez... notamment ses polars.
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Pour ce livre, la 4ème de couverture m'a parue séduisante... donc, impossible de résister...
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illustration : "la liseuse" de Déborah Conroy (Lali)
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Après sa trilogie politique autour des conflits du Moyen-Orient (Les Hirondelles de Kaboul, L’Attentat, Les Sirènes de Bagdad), après un grand roman d’amour (Ce que le jour doit à la nuit), Yasmina Khadra, qui ne craint pas les changements de registre, met toute sa verve romanesque au service d’une fable corrosive qui nous plonge dans l'univers des clochards, plein de tendresse, de cocasserie, de rêves invraisemblables et de terribles déconvenues.
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Coincée entre une décharge publique et la mer, hors du temps et de toute géographie, l'Olympe des Infortunes est un terrain vague peuplé de vagabonds et de laissés-pour-compte ayant choisi de tourner le dos à la société.
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Là vivent Ach le Borgne,
Junior le Simplet,
Mama la Fantomatique,
le Pacha, sa cour de soûlards
et bien d'autres personnages aussi obscurs qu'attachants.
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C'est un pays de mirages et de grande solitude où toutes les hontes sont bues comme sont tus les secrets les plus terribles. Ach le Borgne, aussi appelé « le Musicien » parce qu’il sait, en quelques accords de banjo, faire chanter la lune, a pris sous son aile un jeune et naïf va-nu-pieds qui lui voue une admiration sans limites.
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Auprès de Ach, Junior s’initie à la philosophie des Horr. Le Horr est un clochard volontaire qui a pris le parti de vivre en marge de la ville en rejetant toutes ses valeurs : argent, travail, famille. Refusant jusqu’à la mendicité, le Horr se croit libre de toute attache.
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Mais lorsqu’une affection, souvent plus profonde qu’il n’y paraît, vient à naître entre les membres de cette communauté d’ivrognes et de bras-cassés, tout détachement s’avère alors bien illusoire. Immoraux, pourrissant dans leur déchéance, les personnages de ce récit n’en sont pas moins sublimes.
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À travers cette galerie de portraits bigarrés, se dégage une dimension symbolique où l’esprit de solidarité, le sens du compagnonnage qui règnent chez les Horr contrastent avec la violence et l’individualisme de la société moderne.
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Il fallait tout le talent de conteur de Khadra, et la splendeur imagée de sa langue, pour transformer le prosaïsme rebutant de l’univers des clochards en un monde hautement poétique, où l’onirisme surgit derrière les détritus.
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On l’aura compris, L’Olympe des infortunes est une métaphore qui dénonce avec force la décadence de notre civilisation. Yasmina Khadra se pose en moraliste de notre temps et le constat qu’il livre n’est pas flatteur : les âmes perdues ne sont pas celles que l’on croit. Et l’enfer, lui, n’est jamais où on l’attend.
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L'auteur vu par l'éditeur
L'auteur vu par l'éditeur Yasmina Khadra est un romancier algérien de langue française. Salué dans le monde entier comme un écrivain majeur, il est l’auteur, entre autres, de :
Cousine K (prix de la Société des gens de lettres),
La Part du mort (Prix du meilleur polar francophone),
Les Hirondelles de Kaboul (Newsweek Award ; Prix des libraires algériens),
L’Attentat (Prix des libraires 2006)
et de Ce que le jour doit à la nuit, best-seller de l’année 2008. Son œuvre est traduite dans trente-huit pays.
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soir son site officiel : http://www.yasmina-khadra.com/
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En cours de lecture actuellement,
encore un livre dû a un partenariat avec livraddict... cette fois je me suis laissée tentée par un thriller-ésotorico-religieux... de temps en temps j'aime bien...
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Passé une vingtaine de pages, j'ai crains de l'abandonner... une impression de déjà lu quelques part ce début, depuis j'en suis a une centaine de pages... pas grande originalité, dans la même veine que beaucoup d'autres lus et oubliés jusqu'au nom de leurs auteurs...
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on y retrouve une bisbille entre deux ordres religieux, dont l'un soutenu par le pape (lequel ?)... l'un veut sauver le monde et l'autre l'asservir... un massacre donc pour commencer.
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Puis passage à l'ère moderne et aux héritiers des ces ordres (beau jeune homme d'une trentaine d'année et jolie fille, bien entendu), alors que le pape est en train de mourrir... la bataille va reprendre de plus belle... et re-massacre...
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donc, du classique dans le genre... mais finalement pas désagréable à lire... pas encore entamé les recherches pour cause de curiosités... retrouvé le fameux "rasoir d'Ockram" (voir "le testament des siècles" de Henri Loevenbruck)...
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j'espère tout de même trouver quelque chose qui sorte un peu de l'ordinaire... possible, le bouquin fait tout de même plus de 600 pages... alors pour le moment, pas d'abandon en vue... et puis j'aime bien les jeux de piste...
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Brav hérite de la mission de son père : gardien du Testament du Christ. Pour cela, il doit retrouver le précieux document en décodant les indices laissés par Dexter Shaw. Mais ils sont nombreux sur la piste de ce Testament...
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L'ordre religieux envoie Jenny, une jeune femme belle et volontaire, assister Brav. Or Jenny disparaît à Venise en même temps qu'un de leurs alliés est assassiné. Coïncidence ?
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Dans ce jeu de piste savant, entre Europe et Moyen-Orient, un climat de paranoïa s'installe. Brav devra-t-il faire cavalier seul ? Un thriller dans la lignée du Da Vinci Code, qui ouvre de nouvelles perspectives sur les fondements de notre civilisation.
lire le 1er chapitre :Né à New York en 1946, diplômé de l'université de Columbia, Eric van Lustbader a été enseignant puis a travaillé dans l'industrie du disque.
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Il est l'auteur de nombreux best-sellers, dont Le Ninja.
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A la suite de Robert Ludlum, il a repris le flambeau des aventures de Jason Bourne, incarné au cinéma par Matt Damon.
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A noter :
un autre partenariat ce soir... j'irais voir par curiosité... déjà deux livres en si peu de temps, ce ne serait pas raisonnable de s'inscrire de nouveau, d'ailleurs probablement pas possible, à moins que pas assez de volontaires, mais j'en doute...
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