lu la nouvelle dans le Parisien.
.
Le nom me dit bien quelque chose, mais assez flou, j'ai jeté un oeil sur sa bibliographie... pas beaucoup plus de souvenir... probablement jamais lu (?).
.
Noté a tout hasard sur ma liste "brocante", par curiosité.
.
illustration : "la liseuse" de Charles Pellegrini
.
Si l'on lisait déjà des romans noirs dans les années 1980, comme c'est mon cas, alors on a forcément dans sa bibliothèque, quelque part dans les rangées du fond, quelques livres signés Robert B. Parker.
.
Ce pilier de la Série Noire est décédé lundi matin, dans sa maison de Cambridge, près de Boston (Massachussets), à l'âge de 77 ans. La police locale a pris la peine de préciser que la mort n'avait rien de suspecte.
Ce pilier de la Série Noire est décédé lundi matin, dans sa maison de Cambridge, près de Boston (Massachussets), à l'âge de 77 ans. La police locale a pris la peine de préciser que la mort n'avait rien de suspecte.
.
A l'époque de Robert B. Parker, les musiciens pop, rock ou soul s'évertuaient à écrire de bonnes chansons qui duraient trois minutes. Lui était de ces romanciers qui savaient tout dire en 200 pages.
A l'époque de Robert B. Parker, les musiciens pop, rock ou soul s'évertuaient à écrire de bonnes chansons qui duraient trois minutes. Lui était de ces romanciers qui savaient tout dire en 200 pages.
.
"Le cor sonne le glas", "Ramdam-dame", "Printemps pourri", "La Belle et les ténèbres", "La >fugueuse enchantée", "Un peu de discrétion", "Base-ball boum", "A coup de goupillon"... J'ai soigneusement conservé les miens.
"Le cor sonne le glas", "Ramdam-dame", "Printemps pourri", "La Belle et les ténèbres", "La >fugueuse enchantée", "Un peu de discrétion", "Base-ball boum", "A coup de goupillon"... J'ai soigneusement conservé les miens.
.
Trente ans plus tard, ils tiennent encore la route. Un vrai sujet, un sens aigu de l'observation, du nerf, de l'humour, chaque enquête du détective Spenser vous fera un aller en TGV ou quelques trajets en métro agréables.
.
Il y a le choix ; Parker a signé 50 polars dont 38 Spenser (adaptés en série télé : trois saisons, une soixantaine d'épisodes). Du polar en finesse et sans prétention, la marque d'une génération d'auteurs. - http://blog.leparisien.fr/planete_polars/2010/01/le-detective-spenser-est-orphelin.html
1 commentaire:
Tu as raison, cet hiver est catastrophique pour les auteurs.
Enregistrer un commentaire