vendredi 2 juillet 2010

menus propos entre deux lectures... rentrée littéraire, et prix Botul 2010

bonjour tout le monde,
Chaleur et gros orage, pas vraiment le temps que je préfère... donc, hormis une sortie obligatoire pour les courses de la semaine... suis restée calfeutrée dans la chambre sous la clim...
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feuilleté un peu le magazine lire de juillet, spécial poches...

tenté de reprendre Critique de la déraison pure de Daniel Salvatore Schiffer... mais abandonné pour le moment... flemme...
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lu quelques pages de Les fables de sang de Arnaud Delalande... finalement, pas si mal... une vraie lecture de vacances...

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trainé un peu dans la blogosphère... repéré quelques infos sur la rentrée littéraire... copieuse cette année encore.
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Jouant la sécurité, les éditeurs ont favorisé les auteurs confirmés pour cette rentrée, qui compte 701 nouveautés contre 659 l’an passé, à découvrir dans Livres Hebdo du 2 juillet.
(Photo : Olivier Dion) - Publié le 01 juillet 2010 par alw
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Vu la nouvelle distinction de BHL...
Le prix Botul 2010 a été attribué mercredi soir 30 juin à Bernard-Henri Lévy, qui a cité très sérieusement le nom du philosophe fictif Jean-Baptiste Botul dans son dernier ouvrage, De la guerre en philosophie (Grasset), provoquant une pluie de sarcarsmes.
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Le prix Botul est decerné depuis 2004 par l'association des amis de Jean-Baptiste Botul. BHL a adressé une lettre à l'association des amis de Botul, dans laquelle il reconnaît mériter ce prix plus que personne.
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et même rajouté un livre sur ma liste...
Moi, Abraham de Eric Nataf
362 pages
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Pas spécialement fan de l'auteur... j'ai déjà lu Régime mortel, un polar dans le monde médical (sur l'obésité)... trop médical... mais là, évidemment, avec un personnage de la Bible... je ne saurais résister...
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Qui est Abraham ?
Un inconnu. Personnage central de la Bible, géant de la mythologie, héros de l'Histoire, il est à la fois immense et lointain.
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Le voici proche de nous : du fond des âges, il s'adresse à son innombrable progéniture, dans un langage foisonnant et intemporel. Le temps, l'espace, les générations s'entremêlent. Il nous parle de " cet Orient qui n'avait rien de moyen " et dominait le monde civilisé, compris entre l'Euphrate et le Tigre.
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" J'ai grandi, nous apprend-il, dans cet entre-deux, je suis parti de là, de Babylone ". Replacé ainsi aux confins de ces empires dont l'effervescence n'a pas fini d'agiter le monde, Abraham raconte sa jeunesse et prend, sous la plume alerte et facétieuse d'Eric Nataf, une dimension nouvelle.
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Père de peuples frères qui s'entre-déchirent, il est, plus que jamais, un patriarche vivant et attentif. Il est une part - la meilleure ? - de nous-mêmes.
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illustration : "la liseuse" de Will Barnet (de Lali)

3 commentaires:

Diane a dit…

Il donne quoi le Lire de ce mois-ci ? Je ne l'achète pas toujours mais le thème de celui-ci me fait envie.

DF a dit…

Force est de reconnaître que BHL a au moins le sens de l'humour...

mazel a dit…

bonjour Diane, bonjour Df,

Pas mal le lire de ce mois-ci, mais malgré tout je trouve le magazine moins bon qu'autrefois... je ne sais pas si je vais continuer a l'acheter... j'aimai mieux avant qu'il soit regroupé avec l'express.

et puis avec la blogosphère... finalement, déjà pas mal d'idée de lecture.

Pour BHL, pas si sûr qu'il ait vraiment le sens de l'humour... il suffit de lire certain de ses articles...

ou jeter un oeil sur "Critique de la déraison pure : La faillite intellectuelle" de Daniel Salvatore Schiffer

et là, je pense qu'il ne pouvait pas faire autrement que de le prendre avec le sourire sous peine de passer vraiment pour ...

bonne journée à tous les deux
bonne lecture
bises