Pas grand chose à vous raconter aujourd'hui... jour de courses... puis visite a ma mère à la clinique... elle semble aller mieux...
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sinon, je viens de faire un tour chez Blog-o-book, comme tous les jours... je suis une grande fan de ce forum... et de nouveau... sélectionnée pour un livre...
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ce soir, partenariat chez livraddict... je vais essayer de ne pas me laisser tenter une fois de plus... mais la parole d'une lectrice compulsive peut-elle être crue ?
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Sinon, pas beaucoup de visite sur la blogosphère, ce sera pour demain...
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lu un peu la presse... gardé des articles sur facebook et twitter...
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"la liseuse" de Debbie Miller (Lali)
Pour le moment je poursuis la lecture de American Psycho de Bret Easton Ellis ... je suis effarée par la violence de ce livre !
Pour le moment je poursuis la lecture de American Psycho de Bret Easton Ellis ... je suis effarée par la violence de ce livre !
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.voilà donc le livre du partenariat du 14 juillet, que j'aurais le plaisir de lire avec Alice, Angie, Dunky, Saxaoul
.résumé :
En Afrique, les croyances ancestrales ont la peau dure…
« Je ne suis pas sorcier. »C’est l’aveu d’un vieil homme, aux portes de la mort. Un aveu que son fils, Ngeleka, bossu, ne lui a jamais entendu faire. Après une vie d’errance, de village en village, c’est la première fois qu’il s’en défend.Ngeleka lui-même s’est vu accusé, ostracisé. Sa bosse le désignait. Dans les nombreux bleds congolais qu’il a traversés, ils étaient des centaines comme lui, des « sorciers », des réprouvés, responsables tout trouvés pour les mauvaises récoltes, la mortalité infantile… Mais comment faire la part des choses entre superstition et tradition ? Entre innocence et culpabilité ? Loin de l’Afrique caricaturée et urbaine, le pays vit au rythme des féticheurs et des désenvoûtements : celui qu’il frappe doit rester sage, stoïque. Ngeleka le bossu fera, par lui-même, cette cruelle éducation…
« Je ne suis pas sorcier. »C’est l’aveu d’un vieil homme, aux portes de la mort. Un aveu que son fils, Ngeleka, bossu, ne lui a jamais entendu faire. Après une vie d’errance, de village en village, c’est la première fois qu’il s’en défend.Ngeleka lui-même s’est vu accusé, ostracisé. Sa bosse le désignait. Dans les nombreux bleds congolais qu’il a traversés, ils étaient des centaines comme lui, des « sorciers », des réprouvés, responsables tout trouvés pour les mauvaises récoltes, la mortalité infantile… Mais comment faire la part des choses entre superstition et tradition ? Entre innocence et culpabilité ? Loin de l’Afrique caricaturée et urbaine, le pays vit au rythme des féticheurs et des désenvoûtements : celui qu’il frappe doit rester sage, stoïque. Ngeleka le bossu fera, par lui-même, cette cruelle éducation…
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de Le Parisien - A la une Affaire Bettencourt : le producteur d'«OSS 117» veut en faire un film par ce que ça le vaut bien...
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