Bonjour a vous tous,
pas trop le temps aujourd'hui, mais j'avais envie de noter mes trouvailles de brocante... comme d'habitude, j'avais oublié ma liste... ,
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"illustration : la liseuse" d'Alex Cave (Lali)
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La Dame pâle : Texte extrait des Mille et Un fantômes précédé de La Femme au collier de velours de Alexandre Dumas :
lus par beaucoup de la blogosphère... tentée... et puis j'aime les vampires (sauf les dernières moutures à la mode)...
- 101 pages -
Au cœur des Carpathes dans le sombre château de Brankovan, les princes Grégoriska et Kostaki s'affrontent pour conquérir la belle Hedwige. Or Kostaki est un vampire qui revient chaque nuit assouvir sa soif de sang auprès de la jeune femme devenue l'objet d'une lutte sans merci entre les deux frères. Une étrange histoire pleine de romantisme et de fantastique où l'angoisse le dispute au romanesque...
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Le Scarabée d'or et autres nouvelles de Edgar Allan Poe :
je ne me souviens pas l'avoir lu, ???
- 261 pages -
William Legrand et son jovial serviteur Jupiter découvrent un étrange scarabée, un scarabée d'or. Excité, William esquisse sur un vieux papier crasseux, un croquis de l'insecte. S'emparant du dessin, son ami, venu lui rendre visite, trouve en effet l'animal bien curieux : il ressemble à une tête de mort ; et puis, il n'a pas d'antennes !... Mais si, William les a pourtant tracées! Où sont-elles passée ? A moins que le papier ne soit ensorcelé...
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POLARS
: impossible de résister a un Izzo...
- 89 pages -
- 89 pages -
«Théo n'était plus là, à côté d'elle. Mais sa place, dans le lit, était encore chaude»... Ainsi s'évanouissent les marins... Et les rêves d'amour avec eux. Une fois de plus, l'espoir s'arrête au bout du quai... Une fois de trop pour Marion...Vivre fatigue.
Gianni le sait déjà. Aux prises avec deux skinheads et un berger allemand, cet ancien militant ouvrier doit réagir. Vite. Il ne peut compter que sur lui-même. Ou bien encaisser l'humiliation... Est-ce vraiment cela, la vie?
La question vaut pour Osman, victime du racisme ordinaire. Pour Gérard, l'ancien docker qui voit ses illusions sociales s'enfoncer dans les eaux noires du vieux port... Pour Aurore ou pour Giovanni, héros malgré eux de ces faits divers au parfum de tragédie...
Gianni le sait déjà. Aux prises avec deux skinheads et un berger allemand, cet ancien militant ouvrier doit réagir. Vite. Il ne peut compter que sur lui-même. Ou bien encaisser l'humiliation... Est-ce vraiment cela, la vie?
La question vaut pour Osman, victime du racisme ordinaire. Pour Gérard, l'ancien docker qui voit ses illusions sociales s'enfoncer dans les eaux noires du vieux port... Pour Aurore ou pour Giovanni, héros malgré eux de ces faits divers au parfum de tragédie...
Le Gang des philosophes de Tibor Fischer
: me suis laissée tentée par le titre...
- 381 pages -
Eddie, anglais, alcoolique et chauve, la cinquantaine bedonnante, fuit Cambridge pour la France à la suite d'une sombre affaire d'escroquerie. Il rencontre Hubert, enfant de l'Assistance affublé de multiples prothèses, œil de verre, main et jambe artificielles, en train de dévaliser un touriste britannique sous la menace d'une arme vide. A eux deux, ils vont former "le gang des philosophes", où le hold-up sera désormais néo-platonicien ou ne sera pas. Un roman où deux "losers" poursuivent l'idéal philosophique en se mettant hors la loi.
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Tonnerre sur la cité perdue de Douglas Preston, Lincoln Child
: hésitation pour l'édition (france-loisirs)... mais tant pis, gros faible pour Preston et Child lorsqu'ils écrivent ensemble...
- 511 pages -
Nora Kelly est archéologue tout comme son père disparu seize ans auparavant des les canyons de l’Utah alors qu’il était à la recherche d’un antique citée perdue. Un soir lorsqu’elle est agressée dans sa maison, elle découvre une missive qui semble indiquer que son père a vraiment découvert la cité perdue de Quivira. Nora monte une expédition dans laquelle vont la suivre six autres personnes. C’est le début d’une quête dans les méandres des canyons. Mais autant de parvenir au cœur de la mystérieuse cité, Nora va devoir déjouer bien des pièges, se méfier e tous et surtout s’armer de courage et de ténacité pour sortit indemne de toutes les aventures qui l’attendent.
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Toxine de Robin Cook
: beaucoup lu autrefois Cook... mais un peu délaissé par la suite... et comme je retrouve sur beaucoup de blog, envie de refaire connaissance... seul ennui, je ne me souviens pratiquement plus de ceux que j'ai déjà lu...
- 413 pages -
La terreur est dans l'assiette. C'est ce que comprend le docteur Kim Reggis lorsqu'il doit emmener sa fille Becky aux urgences après que celle-ci a ingurgité un hamburger mal cuit. La banale intoxication alimentaire tourne vite à la catastrophe... Fou de douleur après la mort de sa fille, le docteur va tout bousculer sur son passage, enquêter dans les abattoirs, se heurter à l'entreprise agroalimentaire, à l'organisme de gestion de la santé. Une jeune inspectrice du ministère de l'Agriculture l'aidera dans cette plongée dans le sordide. Pour son malheur.
Ce terrible roman est passionnant de bout en bout, du moins si l'on sait réprimer quelques haut-le-cœur à la lecture de scènes atroces comme l'autopsie de la jeune Becky. La tragédie familiale ajoute un ressort émouvant à la dénonciation du profit à tout prix. Par le grand spécialiste du thriller médical, un récit qui colle à l'actualité sur la sécurité alimentaire.
Ce terrible roman est passionnant de bout en bout, du moins si l'on sait réprimer quelques haut-le-cœur à la lecture de scènes atroces comme l'autopsie de la jeune Becky. La tragédie familiale ajoute un ressort émouvant à la dénonciation du profit à tout prix. Par le grand spécialiste du thriller médical, un récit qui colle à l'actualité sur la sécurité alimentaire.
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Le maître des démons de Elizabeth Peters
: A dire vrai, je trouve ses romans plutôt "nunuche"... et pourtant je craque à chaque fois... en attente également : Le retour de Séthos et La Déesse Hippopotame ...
- 541 pages -
Fini le temps paisible des touristes et des explorateurs de tombes. Dans l'Égypte d'obédience anglaise, les contrecoups de la Première Guerre mondiale se font durement sentir. L'agitation nationaliste s'étend, attisée par les agents de l'empire allemand, tandis que Constantinople préparerait, dit-on, une offensive sur le canal de Suez. L'archéologue Emerson, son épouse Amelia Peabody, leur fils Ramsès, et la belle Nefret vont être mêlés à de redoutables intrigues. Doivent-ils aider à l'arrestation de Wardani, chef du mouvement anti-anglais? Quel rôle joue Sethos, leur vieil et insaisissable ennemi, dans cette ambiance de complots et de soupçons ? Quant à l'anticonformiste et irrésistible Ramsès, ne prend-il pas beaucoup de risques en bravant le chauvinisme guerrier devenu de rigueur dans la communauté anglaise du Caire? Les nombreux lecteurs qui ont plébiscité La Déesse Hippopotame et Un crocodile sur un banc de sable ne seront pas déçus avec ce nouveau roman où Elizabeth Peters marie délicieusement le mystère, l'aventure exotique et l'humour.
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: je ne résiste jamais a Daeninckx, l'un de mes auteurs favoris... et pourtant, "Missak" toujours en attente de lecture depuis noël... pour cause de lectures en partenariat urgentes ou de sortie en bibliothèque...
- 230 pages -
« L'homme à la valise se tenait immobile au bord de la fosse. Le bout de ses chaussures noires entamait la ligne blanche tracée tout le long du quai. Il haussa les épaules quand le grondement se fit plus précis. [...] Jacques se releva et vint se placer juste derrière l'homme. Il frissonna de froid. La sueur mouillait son dos. La motrice doubla le panonceau de limite des premières classes. Ses mains jaillirent de ses poches et se collèrent sur les omoplates de l'homme.Qui bascula dans un cri terrible. [...]Il n'avait jamais rien vu de plus gros qu'une motrice de métro. »
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- 189 pages -
Jeune historien, Marc travaille sur la période de la Libération dans le Pas-de-Calais. À Cauchel, il rencontre Jean Ricouart et s'intéresse au parcours peu banal de cet homme pendant la guerre. En 1944, il est manoeuvre dans une usine de réparation de wagons. À 17 ans, entré dans la résistance clandestine, il participe à diverses opérations jusqu'au jour où il se fait arrêter. Torturé et déporté en Allemagne, il survit à l'épreuve et rentre en France en 1946. À peine revenu, il est accusé de meurtre pendant la guerre, et condamné à sept ans de prison par un juge qui officiait déjà sous Pétain...
Cet itinéraire bouleversant d'"un rescapé de l'enfer" est un violent réquisitoire contre l'hypocrisie sociale et la lâcheté des hommes. La puissance d'évocation de Didier Daeninckx happe le lecteur et ne le laisse pas indemne. Certainement l'un des meilleurs ouvrages de ce pilier du roman noir français
Cet itinéraire bouleversant d'"un rescapé de l'enfer" est un violent réquisitoire contre l'hypocrisie sociale et la lâcheté des hommes. La puissance d'évocation de Didier Daeninckx happe le lecteur et ne le laisse pas indemne. Certainement l'un des meilleurs ouvrages de ce pilier du roman noir français
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: bien longtemps que j'ai abandonné Rankin, envie de renouer...
- 629 pages -
Alors que Flip Balfour, la fille d'un banquier d'Édimbourg, vient de disparaître, un minuscule cercueil en bois est retrouvé sur la propriété familiale. Pendant que Rebus s'intéresse à des cercueils identiques exposés au Museum of Scotland, la constable Siobhan Clarke planche sur les énigmes proposées par un mystérieux Quizmaster, contact de Flip sur Internet. La police s'interroge : quel est le lien entre Quizmaster et d'autres meurtres commis dans la région entre 1972 et 1995 ? Aux prises avec ses démons personnels, Rebus joue contre sa hiérarchie avec une obstination quasi suicidaire. La ville d'Édimbourg, sa beauté ténébreuse, son histoire - en particulier celle de la chirurgie - et son passé sanglant lui disputent le premier rôle.
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Bleu de méthylène de Frédéric H Fajardie
: pour le moment lu seulement 2 romans historiques de l'auteur, pas vraiment aimé d'ailleurs, mais envie de découvrir ses polars...
- 164 pages -
Ils ont un peu plus de vingt ans et ont été des adolescents chahuteurs et sadiques qui perdaient pied quand leur prof d'histoire les interrogeait. Aujourd'hui, où ont-ils la tête ? Dans une décharge publique, soigneusement découpée par une tronçonneuse électrique...Chef de file d'une nouvelle école du roman noir, Frédéric H. Fajardie mène au fouet cette aventure d'un tueur psychopathe et d'un flic mélancolique qui l'un et l'autre sont des paumés coincés par un quotidien exténuant et leur mal de vivre. Une histoire sans complaisance dont la petite musique lancinante devient inoubliable.
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A sec ! (Spinoza encule Hegel le retour) de Jean-Bernard Pouy
: comme déjà lu le tome 1... et puis l'auteur fait parti aussi de mes favoris...
- 129 pages -
Moi, Julius, vingt ans après, l'éthique recoule dans mes veines, car mon pire ennemi est de retour.Et il a fait alliance, le chien, avec le pire artefact de la dialectique, Le Foot. Normal car hégélien. Quand, en pleine kop-ulation, il entendra les accords de la sympathie pour le diable, il saura que, dans son propre sang, baignent déjà mes bottes de lézard mauve. Normal car spinoziste.
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Une balle dans la tête : Une enquête de Joe Kurtz de Dan Simmons
: j'espère qu'il est aussi bon que "Terreur", mon coup de coeur de l'an dernier...
- 484 pages -
Joe Kurtz, heureusement, a la tête dure. Il n'est pas donné à tout le monde de se sauver d'un hôpital avec une balle dans le crâne. Joe Kurtz le fait. On lui a tiré dessus et un flic y est resté. Une femme. Son officier de probation. Lui s'en sort avec la pire migraine de sa vie, rappel de cette exécution manquée, et il doit surtout, une fois de plus, prouver son innocence. Qui était réellement visé ? N'a-t-il pas été blessé par erreur alors qu'il aurait lui-même commandité le meurtre ? La police ne le lâchera pas. La mafia entre dans la danse. Un psychopathe s'en mêle. Joe Kurtz le sait : ses ennemis l'adorent. Ils s'entre-tueraient pour lui faire la peau...
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Les Fils des ténèbres de Dan Simmons :
- 471 pages -
Transsylvanie, personnages vampiriques, ingestion de sang. Mais tout cela est relu dans l'ambiance de la Roumanie vampirisée par Ceaucescu, sur l'arrière-fond aussi des années Sida, une maladie dans laquelle le sang est si important. Bref, l'auteur renouvelle les thèmes et le genre même des histoires de vampires. Un petit chef d'oeuvre qui actualise dans une histoire d'aujourd'hui des situations littéraires anciennes.
ROMANS HISTORIQUES
: également en attente "L'imprécateur "... mais pas résisté à la 4ème de couverture...
- 197 pages - Urbain Gorenfan, écrivain antifasciste, ex-militant socialiste, citoyen antiraciste de toujours, se voit accusé d'antisémitisme à la suite de la publication d'un de ses livres mettant en cause la politique d'Israël vis-à-vis des Palestiniens des territoires occupés.C'est alors que, déjà en pleine crise, Gorenfan voit réapparaître l'hitlérien Nomen, combattu voici trente ans, perdu de vue depuis.Que venait-il faire dans son village de Tonombres, en haute Ariège? On était en août, mais l'hitlérien Nomen ne pouvait pas être un simple touriste, et d'ailleurs Gorenfan avait bien une idée des raisons qui l'avaient poussé jusque chez lui, et cette intuition le martyrisait…
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: choisit pour la période historique et surtout parce que je garde encore grand plaisir de "En la forêt de longue attente"
- 347 pages -
Ce roman se situe en Italie, au temps de la Renaissance classique, ou Cinquecento, plus précisément dans la période allant de 1525, date de la bataille de Pavie, à 1527, année du sac de la Ville éternelle par les troupes de Charles Quint.Rome est alors le centre de la vie politique, littéraire et artistique de l'Europe, dominée par la pourpre cardinalice.C'est aussi un foyer d'intrigues et de complots.Dans l'une des salles du Vatican, nous rencontrons un personnage mystérieux, Giovanni Borgia.Bâtard d'une lignée espagnole tristement célèbre, il est désespérément à la recherche du secret de ses origines.Il sait seulement que, encore enfant, il a reçu du pape Alexandre Vi le titre de duc de Camerino, qu'il ne tardera pas à perdre.La description des aléas de sa quête aboutit à une image étonnamment authentique de ce Xvie siècle et de ce monde où se côtoient les plus grands noms de l'histoire : César et Lucrèce Borgia, Michel-Ange, Machiavel, l'Arétin, la poétesse Vittoria Colonna, marquise de Pescara, et son mari, le foudre de guerre Ferrante d'Avalos, et bien d'autres figures pittoresques ou émouvantes comme la courtisane Tullia d'Aragon, tous mêlés de près ou de loin aux multiples intrigues politiques et sociales d'un monde qui semble voué à s'enfoncer dans l'abîme.Rares sont les romanciers qui, comme Hella S.Haasse, reproduisent avec autant de subtilité et de précision les entrelacs infinis que dessinent les personnages aux prises avec l'Histoire.
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: craqué pour le seigneur de Tiffauges...
- 318 pages -
Gilles de Raiz, retenu par la honte au Premier Ciel, attend d'un humain, pour poursuivre son ascension vers le Père, un signe de fraternité, qu'il le reconnaisse, l'accepte en tant qu'homme au-delà de l'absolution de l'Église et du pardon divin. Or, Dieu observe Gilles, et Gilles ne parvient pas à détacher son regard de la noire pupille de Dieu.
À travers sa confession se joue bien sûr le drame de la lumière et des ténèbres. Du côté de la lumière : l'amour du Fils, l'image de Jeanne la Pucelle et celle de l'ami Beaumanoir. Du côté des ténèbres : la pensée intrigante et pervertie, derrière laquelle on devine Satan, aisément reconnaissable sous le masque des mages dont s'est entouré Gilles, mais redoutable quand il prend figure des justes de l'Histoire. Gilles lui-même, tiraillé entre le bien et le mal, se divise en deux émanations antagonistes : Angelo, son « âme épargnée », et le monstrueux frère intime, le Gilles possédé, poussé par le démon au vice et au crime horrible sur d'innombrables enfants. Auprès de lui se tient Thomas l'enlumineur, son maître droit et fort.
Le parcours de la vie de Gilles, guerrier, mystique, extravagant en tout, cousu d'or et ruiné tour à tour, alchimiste et dévot, se présente entre Dieu et Satan comme une succession de joutes pour le combat suprême, qui se déroule simultanément entre Gilles et son interlocuteur, car Gilles n'a qu'un but: réduire ce raisonneur pour convertir sa pensée en amour.
Ce livre publié initialement aux éditions du Seuil est le premier roman de Martine Le Coz.
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À travers sa confession se joue bien sûr le drame de la lumière et des ténèbres. Du côté de la lumière : l'amour du Fils, l'image de Jeanne la Pucelle et celle de l'ami Beaumanoir. Du côté des ténèbres : la pensée intrigante et pervertie, derrière laquelle on devine Satan, aisément reconnaissable sous le masque des mages dont s'est entouré Gilles, mais redoutable quand il prend figure des justes de l'Histoire. Gilles lui-même, tiraillé entre le bien et le mal, se divise en deux émanations antagonistes : Angelo, son « âme épargnée », et le monstrueux frère intime, le Gilles possédé, poussé par le démon au vice et au crime horrible sur d'innombrables enfants. Auprès de lui se tient Thomas l'enlumineur, son maître droit et fort.
Le parcours de la vie de Gilles, guerrier, mystique, extravagant en tout, cousu d'or et ruiné tour à tour, alchimiste et dévot, se présente entre Dieu et Satan comme une succession de joutes pour le combat suprême, qui se déroule simultanément entre Gilles et son interlocuteur, car Gilles n'a qu'un but: réduire ce raisonneur pour convertir sa pensée en amour.
Ce livre publié initialement aux éditions du Seuil est le premier roman de Martine Le Coz.
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: craqué pour Soliman et l'histoire ottomane...
- 141 pages -
en trente ans de règne, soliman le magnifique a conduit l'empire ottoman à son apogée.autour du vieillard tout puissant la mort frappe, mustapha d'abord, son fils aîné et son rival, puis son deuxième fils, le préféré, cihangir, puis roxelane, la sultane adorée, compagne de toute une vie. intrigues, trahisons, conquêtes militaires restent le lot quotidien du grand seigneur. souverain cruel, ses souffrances et sa solitude nous le rendent pourtant proche et presque fraternel. car c'est avec lui-même d'abord qu'il se montre impitoyable afin de demeurer, jusqu'à la fin, digne de son fabuleux destin.comme dans l'aurore des bien-aimés, louis gardel utilise des personnages et des événements vrais pour raconter une histoire puissante, entre conte et tragédie.
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: en règle générale j'aime bien Combescot... l'histoire est archi connue, mais je me suis laissée tentée malgré tout.
- 355 pages -
C’est avant tout l’histoire d’une aventurière de haut vol – descendante bâtarde des Valois –, la très belle, très intelligente et très rouée comtesse Jeanne de La Motte... C’est elle qui va imaginer et diriger, en 1785, une des plus romanesques et des plus rocambolesques affaires de l’histoire : l’affaire du collier de la reine. Dans cette escroquerie incroyable se croiseront des personnages hauts en couleurs, dont le très naïf et très ambitieux cardinal de Rohan, l’invraisemblable mage-aventurier Cagliostro, Rétaux de Villette, confident et amant de la comtesse, la « baronne » d’Oliva, sosie de Marie-Antoinette et, bien sûr, les « victimes » Marie-Antoinette et Louis XVI... Où l’on retrouve l’auteur des Petites Mazarines dans un genre littéraire où il excelle.
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ROMANS DIVERS
: je ne sais plus sur quel blog je l'avais noté... ni pourquoi... il ne me semble pas avoir déjà lu cet auteur... donc découverte... espérons que j'aimerai...
- 656 pages -
À quarante et un ans, Cal aborde une autre étape de sa vie : intrigué par l’histoire de sa famille, une famille au fort degré de consanguinité, il a décidé de consigner une fois pour toutes l’errance mouvementée à travers le temps de ses lointains parents, et du gène à l’origine de sa « double » nature. Tout a commencé à Smyrne en 1922. Desdémone élève des vers à soie, elle vit avec son frère Lefty qui va les vendre sur le marché. Lorsque les Turcs mettent le feu à la ville, ils fuient et s’embarquent sur un paquebot. C’est l’occasion de « reconstruire » leur vie sur la seule chose finalement qu’ils n’ont pas perdue, leur désir. Durant le long voyage qui les mènera à Detroit, ils se marient, tout en gardant le silence sur la nature incestueuse de leur union. À Detroit, Lefty ouvre un bar. Leur fils, Milton, le reprend dans les années 50, après avoir épousé sa cousine Tessie. Il le fait prospérer au point de rêver à une autre affaire. Les émeutes sociales de Detroit en juillet 1967 précipitent son projet : le bar brûle et Milton investit dans une fabrique de hot dogs. Il fait fortune et peut enfin s’installer dans les beaux quartiers : il achète la maison la plus excentrique de Grosse Pointe, la banlieue résidentielle de Detroit, une maison « moderne », rue Middlesex. Et il envoie sa fille, Calliope, dans une école pour jeunes filles de bonne famille, jusqu’au jour où elle se lie avec l’une d’elles, une « rousse originaire de Grosse Pointe » qu’elle surnomme « L’Objet Obscur »...Ce livre extraordinaire est ce qui se rapproche le plus du “Great American novel” rêvé par tous les écrivains d’outre-Atlantique : c’est un récit épique, une comédie post-moderne, une histoire de la littérature (de L’Odyssée à Lolita), une farce, une élégie. Et un roman irrésistible.Mi-épopée, mi-roman d'apprentissage, ce livre est un hybride. Tout comme son héros/héroïne, qui connaît la joie - et la douleur - d'appartenir aux deux sexes, avant d'opter définitivement pour celui qui lui convient. Des collines d'Asie Mineure aux villas cossues de Grosse Pointe, du fracas des canonnières dans le Bosphore aux explosions des grenades lacrymogènes dans les rues de Detroit, du ragtime au rock'n'roll, un demi-siècle d'Histoire se déroule sous nos yeux. Pour aboutir à ce conte de fées moderne la transformation d'une teenager en un personnage mythologique. Dix ans après Virgin Suicides, Jeffrey Eugenides est de retour avec ce livre qui transcende tous les genres : c'est une idylle, une comédie postmoderne, une histoire de la littérature, un récit érotique, une confession, une élégie. Bref, un roman irrésistible.
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Elle n'a dansé qu'un seul été de Per Olof Ekström
: une erreur, j'ai cru prendre un polar suèdois...
- 346 pages -
Un étudiant en vacances devient l'amant d'une fraîche paysanne ; à l'indignation des puritains de Hellmo. La jeune fille meurt dans un accident. Le beau film d'Arne Mattson a popularisé l'idylle si tragiquement interrompue de Kerstin et Göran qui fit scandale dans les années cinquante par la franchise du propos et la beauté " dénudée " de son interprète principale. On retrouve dans le roman l'atmosphère féerique de la campagne suédoise, le charme touchant de ces amours juvéniles et aussi les démêlés parfois comiques, parfois tragiques de la jeunesse avec les tenants de l'ordre ancien
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: séduite par la 4ème de couverture... et le titre...
- 470 pages -
Parfois, on se sent comme loin de sa vie. Si loin qu'on pense même à...Michel Soler, seul dans une ville déserte et terrassée par l'été, en est à ce point d'éloignement. Désespérément disponible, et prêt à tout...Et soudain TOUT lui arrive.Il est jeté dans une machination de terreurs, de violences, de morts et d'amours qui sont de ce monde, et qui n'en sont pas. Mais son indifférence et sa tendresse, sa folie et son humour à périr dans les ricanements le font échapper aux pièges infernaux.A moins qu'ils ne l'y précipitent..
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: cela fait longtemps que j'ai décicé de lire au moins un livre de Djian... pas réussit jusqu'à présent... et pourtant, en attente de lecture depuis une précédente braderie : "37,2° le matin"
- 346 pages -
"Bon sang, elle a fait, mais tu rêves ou quoi ? Il faudrait que je sois complètement cinglée pour retourner avec un type comme toi. Y a pas de place pour moi dans ta vie, y a de la place pour personne, il y a rien que toi et tes putains de bouquins !..." Nina est la plus belle fille qu'il ait jamais eue, et il l'aime encore. Pourtant, ils se sont quittés. Parce qu'il n'est pas facile d'écrire un roman et d'aimer une femme en même temps. Parce que l'écriture est une nana tyrannique qui n'admet pas de rivale. Nous retrouvons avec plaisir le Philippe Djian novateur de 37°2 le matin. Entre deux canettes de bière tiède et quelques jolies filles dont l'une comptera toujours plus que les autres, cet antihéros nous offre un roman à la fois tendre et incisif, une leçon d'humour, d'amour et de lucidité, dans un style et une ambiance d'aujourd'hui.
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: parce que j'ai découvert Auster assez tard, alors j'essaie de ratraper mon retard... et puis j'aime assez.
- 122 pages -
En disparaissant de New York, Fanshawe laisse derrière lui une femme, Sophie, un fils, Ben, et une série de manuscrits dont il a confié le destin à un ami, le narrateur du livre. Voilà en place les pièces d'un échiquier où règne en maître l'auteur de la " Trilogie new-yorkaise ", romancier du mystère, de l'identité et de la dépossession. Car le narrateur ne va pas seulement conduire les manuscrits à l'édition et au succès : il va aussi épouser Sophie et adopter Ben. Une nouvelle fois Paul Auster nous emmène dans le labyrinthe faussement transparent de la " cité de verre ", royaume de l'ambiguïté et d'une quête du moi toujours précaire.
*- 316 pages -
Dans un monde qui se lit à travers le prisme des correspondances et des signes secrets, il n'est point de hasards ni de coïncidences. Pour qui sait les interpréter, ces messages qui s'imposent d'eux-mêmes sont la marque du destin. Ainsi, lorsque l'on se nomme Marco Stanley Fogg, trois fois marqué par la notion de voyage, comment résister à l'appel de l'inconnu ? Toujours en partance, toujours en devenir, la vie de M.S. Fogg n'a plus de commune mesure avec le voyage, elle ressemble à un chemin de croix. De New York l'inhospitalière aux plaines de l'Ouest mythique, il entreprend une étrange exploration qui le mène sur la voie d'une quête intérieure, puis sur les traces d'un passé qu'il croyait définitivement enterré. Jamais bien loin de la démence, des hommes qui se perdent eux-mêmes, plongés dans une insondable solitude, tels sont les héros de Paul Auster, ils hantent toute son oeuvre. Moon Palace se situe pourtant à part, car en filigrane il perce dans ce roman comme un souffle de vie, comme une secrète urgence, qui sait... peut-être un espoir.
: Modiano, une passion récente... quelques autres en attente aussi...
- 208 pages -
Quand ils passaient la nuit à la Villa triste, Yvonne et Victor s'efforçaient de ne pas remuer du tout. Mais on sent bien que la sérénité n'était qu'un leurre. Des années après, le narrateur retourne dans la ville d'eaux et invoque, par intermittence, le souvenir nostalgique et lucide de sa relation avec Yvonne, des gens qui gravitaient autour d'eux, des extravagances de Meinthe, fantôme qui nous guide dans les rues aujourd'hui endormies... Mais ce qui ressurgit avant tout, c'est l'angoisse inexplicable de Victor, qu'il avait espéré apaiser en séjournant dans cette station thermale reculée, à proximité de la Suisse.
Modiano s'appuie sur une langue fluide parsemée de petites formules moqueuses pour donner un tour grave et, malgré tout, léger à son roman. Grâce à cet équilibre habile, il esquisse les contours d'un homme en quête de repères pour supporter sa mémoire, tout comme il était, jeune, en quête d'immobilité et de racines. Et si les estivants de l'époque, ridicules et artificiels, ne sont pas tout à fait détestables, peut-être est-ce parce que le mystère qui plane donne un caractère intangible à cet été lointain
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Modiano s'appuie sur une langue fluide parsemée de petites formules moqueuses pour donner un tour grave et, malgré tout, léger à son roman. Grâce à cet équilibre habile, il esquisse les contours d'un homme en quête de repères pour supporter sa mémoire, tout comme il était, jeune, en quête d'immobilité et de racines. Et si les estivants de l'époque, ridicules et artificiels, ne sont pas tout à fait détestables, peut-être est-ce parce que le mystère qui plane donne un caractère intangible à cet été lointain
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- 186 pages -
Pourquoi le narrateur a-t-il fui les bords de la Marne avec Sylvia pour se cacher à Nice ? D'où vient le diamant la Croix du Sud, la seule chose dure et consistante de leur vie et qui, peut-être, leur porte malheur ? De quoi est mort l'acteur populaire Aimos ? Qui sont les Neal, et pourquoi, de leur villa délabrée, s'intéressent-ils de si près à Sylvia, au narrateur, à la Croix du Sud ? Et Sylvia ? A-t-elle été l'épouse de Villecourt ? Et Villecourt ? Que vient-il faire à Nice, lui aussi, à l'heure de sa déchéance ?...À travers toutes ces énigmes qui s'entrecroisent, un roman d'amour se dessine, empreint d'un charme qui hante le lecteur pendant longtemps.
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: tout le monde l'a lu ou presque, envie donc d'y jeter un oeil...
- 242 pages -
A quinze ans, Michaël fait par hasard la connaissance, en rentrant du lycée, d'une femme de trente-cinq ans dont il devient l'amant. Pendant six mois, il la rejoint chez elle tous les jours, et l'un de leurs rites consiste à ce qu'il lui fasse la lecture à haute voix. Cette Hanna reste mystérieuse et imprévisible, elle disparaît du jour au lendemain. Sept ans plus tard, Michaël assiste, dans le cadre de des études de droit, au procès de cinq criminelles et reconnaît Hanna parmi elles. Accablée par ses coaccusées, elle se défend mal et est condamnée à la détention à perpétuité. Mais, sans lui parler, Michaël comprend soudain l'insoupçonnable secret qui, sans innocenter cette femme, éclaire sa destinée, et aussi cet étrange premier amour dont il ne se remettra jamais. Il la revoit une fois, bien des années plus tard. Il se met alors, pour comprendre, à écrire leur histoire, et son histoire à lui, dont il dit : "Comment pourrait-ce être un réconfort, que mon amour pour Hanna soit en quelque sorte le destin de ma génération que j'aurais moins bien su camoufler que les autres ? "
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En fait je ne sais pas trop pourquoi j'ai rajouté ces 3 livres dans mon sac...
je ne connais pas l'auteur, et puis 1312 pages à lire... ce n'est franchement pas raisonnable...
Alors je me demande si un jour j'aurai le courage de commencer...
- 416 pages -
Ils sont venus d'Espagne en traversant les mers pour conquérir un empire fabuleux. Ils ont pris le pouvoir, l'or et se sont installés. Mais un conquistador, Gabriel, et une princesse inca aux étranges pouvoirs, Anamaya, sont tombés amoureux. Après trois ans d'occupation, les Inca déclenchent l'offensive. L'affrontement va tenir de l'apocalypse, avec Anamaya dans un camps et Gabriel dans l'autre.
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6 commentaires:
C'etait une brocante ou la caverne d'Ali Baba ?? Il y a beaucoup de tres bonnes choses !
Quel beau bilan ! Mais c'est économique :) Les brocantes sont un paradis, pour ça !
Impressionnant tout ce que tu as acheté ^^
J'ai aussi été à une brocante aujourd'hui, mais j'ai rien trouvé d'intéressant :s
Eh bien! Quelle belle pêche pour 20 euros ! J’ai noté que tu connaissais bien Jean-Claude Izzo et je te conseille vivement Totaal Kheops !
bonjour l'Ogresse
bonjour Neph
bonjour Alicia
bonjour Alcapone
Superbe matinée à fouiner, le nez dans la poussière... Cette brocante est énorme et prend de l'ampleur d'année en année...
Comme toujours, pas pris de liste, donc, attirée par des auteurs dont j'ai entendu parler sur les blogs ou ailleurs... et mes coups de coeurs habituels pour certains auteurs...
sans compter que dans ce genre de lieu, on se laisse plus facilement aller qu'en librairie, vu le prix des livres.
"Total Kheops" est sur ma liste de "challenge abc 2010"... et en attente de lecture sur la table de nuit... l'un des derniers que je n'ai pas eu le temps de lire de Izzo.
Je vais d'ailleurs lever un peu le pieds avec les partenariats et la bibliothèque(enfin... essayer)pour lire tout ce qui est en attente...
ou alors, il faudra un gros coup de coeur...
bonne fin de journée à vous 4,
bises
bonsoir, il faut que je me plonge dans la trilogie moi aussi, j'aime Paul Auster, encore plus ses premiers bouquins que les derniers...
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