Ce matin, en passant sur Actualitté - Une page de caractère (Mario) pas mal d'infos intéressantes, mais je me suis arrêtée surtout sur le prochain prix renaudot...
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j'ai pourtant bien dit que les prix n'avaient aucune importance dans mon choix de lecture, mais que voulez-vous, la curiosité est toujours la plus forte... j'ai donc continué en allant sur Amazon, pour les résumés des livres...
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Donc pas trop de dépense en vue... flashé sur le livre de Mohammed Aïssaoui ... pour les autres, quelques tentations, mais sans plus...
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Les titres en lice ont été révélés aujourd'hui.
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Ainsi dans la catégorie roman s'affronteront :
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normalement je ne devrais pas être tentée par ce livre... jusqu'à ce que je lise le résumé... et encore, juste le nom de la célèbre Madame Claude ait retenu mon attention... je ne le rajoute tout de même pas sur ma liste, mais pourquoi pas à l'occasion, si je tombe dessus sur une brocante...
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" C'est en passant devant un kiosque à journaux du boulevard Pierre-Semard, à Nice, qu'Ondine apprit la mort de sa mère.
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Rares sont les écrivains qui font du bruit en quittant ce monde, Zita Chalitzine en fit beaucoup. Elle se débrouilla pour mourir comme elle avait vécu : en attirant l'attention.
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D'abord parce que le scandale qui l'avait entachée faisait les gros titres de la presse depuis une semaine, ensuite à cause de son mariage avec un homme de vingt ans son cadet deux jours avant la révélation de sa supercherie littéraire, enfin à cause de sa mort prématurée.
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Le 6 décembre 2006, rue de Paris, aux Lilas, on retrouva son corps à l'arrière de sa Mercedes. Elle portait un manteau en vison blanc. " Après l'enterrement de sa mère, Ondine découvre son dernier manuscrit, une autobiographie.
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On entre aussitôt dans la vie de cette petite fille d'origine modeste, prête à tout pour devenir quelqu'un.
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Fille de Madame Claude dans le Paris des années 1970 puis maîtresse du grand auteur Romain Kiev, elle accomplit enfin son rêve : écrire. Les fêtes, les belles voitures, Yves Saint Laurent, on suit Zita dans un tourbillon d'avant-crise mais aussi dans sa chute et dans sa déchéance. Quand on a été aussi haut, on ne peut que retomber très bas.
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tentée... d'autant plus que je connai mal la période colonialiste, une bonne raison donc pour le lire...
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Quel est ce jeune Asiatique surnommé Bouk qui, le dimanche à la maison Boissier, surgit par enchantement dans cette paisible famille française ? Un prince déchu, un parent caché ou un orphelin arraché au Cambodge en guerre ?
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Une amitié se noue alors entre lui et le narrateur, dans un sentiment fait de fascination, de trouble et de crainte. N'est-ce pas étrange que la famille compte d'anciens coloniaux rentrés d'Indochine ? Puis, à l'adolescence, le garçon disparaît brusquement et, selon la légende, s'en retourne à Angkor.
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Des années plus tard, comme hanté, le narrateur part à sa recherche, en France d'abord, au Cambodge ensuite. Que reste-t-il de cette époque heureuse dont la grande maison Boissier, à Viroflay, fut le théâtre ? Que pèse la trace d'un enfant devant les ruines des empires khmers ? Quel était ce secret d'autrefois ?
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Avec ce roman ému, à vif, Jean-Luc Coatalem signe son ouvrage le plus intime. Pour un voyage au loin qui se double d'un voyage au fond de soi.
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semble plutôt amusant... mais pour avoir rencontrer ce genre de petites vieilles chez le coiffeur ou ailleurs, j'avoue que je les trouves généralement "poison" pour ne pas dire plus... peu probable que je lise le livre...
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Il y en a une qui prie, une autre qui est en prison, une autre encore qui parle à son chat, et certaines qui regardent les voisines de haut en buvant leur thé infect. Leurs maris ont tous disparu. Elles sont vieilles, certes, mais savent qu'elles pourraient bien rester en vie une ou deux décennies encore, dans ce pays où il n'est plus rare de devenir centenaire.
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Alors elles passent leur temps chez te coiffeur, à boire et à jouer au Scrabble, à essayer de comprendre comment fonctionne un téléphone, à commenter les faits divers, à critiquer leur progéniture qui ne vient pas assez, à s'offusquer de l'évolution des moeurs...
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Elles savent que le monde bouge, et qu'elles devraient changer leurs habitudes, mais comment faire, à leur âge? Aussi, l'arrivée de Nicole, une " jeunesse " qui entame tout juste sa retraite, et l'annonce d'une catastrophe imminente, vont perturber leur quotidien.
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Ce nouveau roman de Pascale Gautier est irrésistible par sa fraîcheur, sa volonté de prendre avec humour le contre-pied de certaines idées reçues sur la vieillesse. On y retrouve avec délectation la causticité et la liberté de ton qui caractérisent ses précédents textes.
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Bon, encore un roman sur des fils à papa de la très chic ville de Neuilly... cela me suffit a écarter ce livre... les états d'âmes de petits bourgeois friqués m'insupportent !
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Roman d'une génération, celle des années 90 du siècle précédent. Trois garçons du lycée Saint-James de Neuilly se retrouvent dans leur désir rimbaldien de changer le monde, au moins de le plier à leurs goûts et à leurs aspirations.
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Amateurs de musique heavy metal et de marijuana, rebelles sans cause et sans fougue excessive, ils boivent beaucoup, tout en rêvant d'actions situationnistes et d'une revue littéraire.
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L'alcool et la drogue jouent leur rôle obligé : celui de les sortir d'eux-mêmes, d'entretenir en eux un perpétuel éveil. Il y a dans ce premier roman une manière réussie de saisir les enfants perdus d'une époque en crise, servie par une écriture aisée et un art accompli de la formule.
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La période, le questionnement m'intéresse, quoique le pourquoi a peu de chance d'avoir une réponse... donc, entrée sur ma liste...
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Un même homme peut-il avoir été tour à tour militant du Front populaire et pétainiste ? Résistant puis engagé volontaire dans la Waffen-SS ? Rubi avait été cet homme-là.
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En garnison à Prague, à une Tchèque qui s'étonnait de voir un Français parader en uniforme nazi, il répliqua: "Madame, je me déshonore!" Il avait vingt ans.
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Quel mal secret l'a poussé à retourner ainsi sa veste, à se renier sans cesse ? La haine de soi? La haine des Juifs?
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C'est que l'Histoire, dans ses aberrations, tend trop de pièges aux hommes pour qu'ils puissent tous les éviter. Que pèse l'individu quand souffle la tempête des événements collectifs ?
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Rubi a existé, je l'ai connu quand je sortais de l'adolescence, je l'ai écouté et interrogé sans relâche. Mais le mystère de ce "roman" réside peut-être dans cette question: pourquoi ai-je voulu à tout prix le comprendre ? Du moins y aurai-je appris que l'histoire vécue est toujours plus complexe que ce que les idéologies, rétrospectivement, nous en disent.
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Et dans la catégorie essais devront en découdre :
Et dans la catégorie essais devront en découdre :
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Là, j'ai entendu l'auteur sur France-Culture... je crois bien avoir ressenti un gros coup de coeur pour Furcy ! le livre est déjà sur ma liste... je ne note le résumé que pour vous...
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Le 16 mars 2005, les archives concernant " L'affaire de l'esclave Furcy " étaient mises aux enchères, à l'hôtel Drouot. Elles relataient le plus long procès jamais intenté par un esclave à son maître, trente ans avant l'abolition de 1848.
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Cette centaine de documents - des lettres manuscrites, des comptes rendus d'audience, des plaidoiries - illustrait une période cruciale de l'Histoire.
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Les archives révélaient un récit extraordinaire : celui de Furcy, un esclave âgé de trente et un ans, qui, un jour d'octobre 1817, dans l'île de la Réunion que l'on appelle alors île Bourbon, décida de se rendre au tribunal d'instance de Saint-Denis pour exiger sa liberté.
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Après de multiples rebondissements, ce procès, qui a duré vingt-sept ans, a trouvé son dénouement le samedi 23 décembre 1843, à Paris. Malgré un dossier volumineux, et des années de procédures, on ne sait presque rien de Furcy, il n'a laissé aucune trace, ou si peu. J'ai éprouvé le désir - le désir fort, impérieux - de le retrouver et de le comprendre. De l'imaginer aussi.
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probablement intéressant, mais rien à faire, je n'arrive pas a me passionner pour l'Histoire récente...
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Le 7 avril 1994, François de Grossouvre est retrouvé mort dans son bureau, au c ur du Palais de l Elysée, à deux pas de François Mitterrand dont il a été l un des plus fidèles compagnons de route.
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Les murs capitonnés ont étouffé le bruit du 357 Magnum Manurhin que cet amateur d armes, chasseur et responsable des chasses présidentielles, a retourné contre lui-même. Le bruit mais pas l onde de choc qui va secouer le premier cercle des mitterrandiens.
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Un suicide ? Oui, mais on ne suicide pas au hasard quand on est conseiller et intime du Président. François de Grossouvre, aristocrate maurassien passé par la résistance, industriel tissant ses réseaux de Marrakech à l Afrique noire, franc-maçon et membre des services spéciaux, n était plus le séducteur élégant de tweed vêtu, le financier des campagnes électorales, mais un homme amer, un ami déçu, un Belphégor vieillissant errant dans les couloirs de l Elysée ; un confident du pouvoir qui allait trahir les siens.
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Pourquoi et comment ce ministre de la vie privée de François Mitterrand, parrain de Mazarine, alors le secret le plus défendu de la République, a-t-il décidé d en finir ? Pourquoi et comment va-t-il dénoncer aux journalistes et aux juges les malversations et les dérives d une Mitterrandie crépusculaire?
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Voici le sujet de ce livre : le roman du pouvoir qui broie les hommes, le roman d une amitié amoureuse, celle qui lia deux hommes au-dessus de la foule des courtisans.
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Encore un livre intéressant, mais encore une fois, histoire trop récente... je ne suis pas vraiment tentée même si par ailleurs j'ai bien aimé lire cet auteur autrefois... et puis pas vraiment fan de biographies... plus envie de relire un de ses livres...
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Entre 1929, année de parution de son premier roman Les Indifférents, et 1990 où il meurt, Alberto Moravia observe l'Italie, voyage à travers le monde dont il analyse l'évolution catastrophique et participe à l'élaboration du roman moderne.
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Écrivain précoce - il a dix-sept ans lorsque, atteint de tuberculose osseuse et immobilisé en sanatorium, il commence à rédiger ce qui est considéré comme un chef-d'oeuvre classique -, il bénéficie d'une notoriété immédiate.
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Antifasciste, courageux dans ses positions intellectuelles, Moravia est persécuté par les lois raciales avant et pendant la guerre, mais parvient à publier. Ses succès romanesques (Agostino, Le Conformiste, Le Mépris, L'Ennui) donnent lieu à des adaptations cinématographiques qui consolident sa gloire.
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Grand reporter, il veut comprendre les événements majeurs du xxe siècle: aux États-Unis, en Inde, en Chine, au Japon, en URSS, en Afrique. Il distingue la démarche artistique, qui est une fin en soi, absolue, et l'engagement politique, qui exige un autre type d'action et de parole.
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Le parcours de sa vie, l'étude de son oeuvre révèlent une personnalité affranchie de ses origines bourgeoises et " normales". "L'anormal, c'était moi", écrit-il. Sa vie affective le lie à trois femmes de tempérament (Elsa Morante, Dacia Maraini, Carmen Llera) et à des créateurs auxquels il est profondément attaché : parmi eux, Pier Paolo Pasolini. Une vie de Moravia ne peut être que l'histoire d'un destin assumé dans sa liberté, mais aussi le reflet du XXe siècle, en Italie et dans le monde. Et c'est ici sa première biographie intellectuelle.
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Très moyennement tentée...
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Le 20 août 2008, dans une petite maison du Loir-et-Cher, on découvre le corps d'un homme, mort depuis plus d'un mois.
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A l'automne 1973, un jeune et brillant écrivain obtient le prix Médicis. C'est un des grands espoirs des Editions de Minuit. Il représente une certaine parole sur l'enfance, une parole de transgression.
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Trente-cinq ans plus tard, c'est son corps qui sera retrouvé par les gendarmes. Cet homme s'appelle Tony Duvert.
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Entre ces deux moments, que s'est-il passé ? Que cache le silence d'un homme reclus en lui-même ? En menant l'enquête, Gilles Sebhan a voulu comprendre comment un grand auteur en arrive à se taire, et son œuvre à être occultée.
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Il a rencontré ceux qui ont côtoyé l'écrivain et nous livre ici un portrait biographique, qui est aussi un hommage au " saint patron de la révolte impossible "
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Légère tentation, déjà beaucoup lu sur Madame de Staël... par contre bien envie de relire son roman...
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Sa vie ressemble à un roman d'aventures écrit par un scénariste. Germaine de Staël a connu les ors de Versailles quand son père, Necker, était principal ministre de Louis XVI ; à Paris comme à Coppet, elle a régné sur ce que les Lumières ont produit de plus talentueux ; son roman Corinne a été un immense succès et ses livres politiques, lus de Weimar à Pétersbourg, ont exaspéré les adversaires de la liberté, mais elle a eu à ses pieds les meilleurs esprits.
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Mme de Staël a aussi passé la moitié de sa vie en exil ou sur les routes, en quête d'une sérénité inaccessible et d'un amour inatteignable. Cette fille à papa est rentrée dans l'ombre des géants du temps - Napoléon, Constant ou Chateaubriand - et ses idées " libérales " autant que sa sensibilité débordante apparaissent hors de saison.
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Et pourtant... Parti sur les traces de cette inconnue célèbre, c'est à une découverte que nous convie Michel Winock. Mme de Staël, de tempérament mélancolique, ne se résigne pas au malheur. Elle ne renonce à rien, se moque du qu'en-dira-t-ton, ouvre sa porte aux amis, même menacés, comme aux contradicteurs.
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Elle a pour boussole la liberté et, pour source d'énergie, l'enthousiasme. " Avec elle, écrit Chateaubriand, s'abattit une partie considérable du temps où j'ai vécu : telles de ces brèches, qu'une intelligence supérieure en tombant forme dans un siècle, ne se refermant jamais. "
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Il ne pourra en rester qu'un... enfin deux (un dans chaque catégorie quoi). C'est tout de même drôlement plus compliqué qu'Highlander, cette histoire... Le jury débattra de la question, le 06 septembre.
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En attendant, on se souviendra que le Renaudot 2009 (roman) avait été emporté par Frédéric Beigbeder avec Un roman français.
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Pour celui-ci, en attente sur une étagère... comme quelques autres que l'on m'a offert et que je n'arrive pas a me décider d'ouvrir... un jour peut-être...
4 commentaires:
merci pour cette présentation de la sélection 2010 car c'est pour moi un scoop. J'avais lu Un roman français que j'avais bien aimé Je te laisse un lien vers mon article si cela t'intéresse Merci de tes commentaires lorsque tu viendras me voir
http://pragmatisme.over-blog.fr/article-un-roman-fran-ais-frederic-beigbeder-43430665.html
Je ne connais aucun de ces titres !
merci Bénédicte,
j'y vais de suite et je le note dans ma blogosphère sur google reader,
bises
bonjour Sylire,
C'est un peu normal... pour moi juste entendu parler de "Furcy", et vraiment envie de le lire...
L'auteur était passionnant sur france-Culture,
pour les autres, à part "l'aveu de toi à moi", peu de tentation...
et heureusement, tellement de bouquins en attente... encore acheter aujourd'hui (11)...
bonne journée
bises
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