grand temps que je mette à jour les commentaires de lecture avant de me faire rappeler à l'ordre...
j'avais déjà parlé de ce livre dans d'autres articles, mais pas vraiment pratique pour les partenariats, donc, je regroupe...
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Personnages récurents :
Guido Brunetti, commissaire
Vianello, son adjoint
Elettra, secrétaire de Patta qu'elle méprise, hacker impénitente, intelligente et débrouillarde,
le procureur Patta, infatué, ambitieux et incompétent
son sous-fifre Scarpa, toujours à l'affût pour dénoncer autrui, spécialement Brunetti
Guido Brunetti, commissaire
Vianello, son adjoint
Elettra, secrétaire de Patta qu'elle méprise, hacker impénitente, intelligente et débrouillarde,
le procureur Patta, infatué, ambitieux et incompétent
son sous-fifre Scarpa, toujours à l'affût pour dénoncer autrui, spécialement Brunetti
Les carabiniers, cagoulés, font une descente musclée au domicile d'un pédiatre, le blesse et s'empare de son jeune fils.
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Une voisine appelle la police et Brunetti et son adjoint se rendent sur place... ignorant de l'enquète sur un trafic d'enfants menée par les carabiniers...
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et la collaboration entre les deux corps de police s'annonce difficile.
Des rumeurs courent à l'hôpital, le pédiatre aurait eu une aventure lors d'un congrès avec une étrangère... une albanaise...
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Mais les choses se corsent lorsque après l'intrusion d'un pharlacien bigot dans les dossiers médicaux de ses clients, il appert que le pédiatre ne pouvait en aucun cas être père...
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et encore plus lorsque Brunetti rencontre le beau-père, entrepreneur et créateur d'un groupe politique d'extrème droite...
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Le pédiatre a-t-il acheté un enfant ? alors qu'il semble avoir un instinct paternel très développé ?
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Le pédiatre a-t-il acheté un enfant ? alors qu'il semble avoir un instinct paternel très développé ?
et la mère biologique aurait-elle vendu son enfant ?
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et la mère adoptive, aime-t-elle le petit Alfredo ?
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et le beau-père, tolère-t-il un héritier de sang albanais ?
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Vraiment beaucoup de questions sans réponse pour le commissaire Brunetti, père lui-même... mais heureusement bien entouré de son adjoint et de Elettra, secrétaire et hacker chevronnée, il finira par trouver le fil conducteur... malheureuse un peu tard, pour l'enfant et le père adoptif.
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illustration : "paternité (gvdw.be)
Trouvé un seul article dans la presse :
Livres : Actualité de la littérature La gaieté pessimiste d'une Américaine à Venise
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La romancière Donna Leon installée dans la cité des Doges depuis une trentaine d'années publie la dix-septième enquête de l'inspecteur Brunetti. Rencontre sous la neige.
Ce week-end là, des flocons de neige dansaient sur Venise. Pas de quoi refroidir l'enthousiasme de Donna Leon.
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La romancière américaine de 68 ans aime accueillir des visiteurs dans la ville où elle habite depuis 1981.
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Son engouement est d'autant plus grand, qu'à ses côtés, son amie Toni Sepeda, une autre Américaine vivant dans la cité lacustre, publie un guide touristique intitulé Venise, sur les traces de Brunetti.
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Un parfait complément à la lecture du Cantique des innocents. La dix-septième enquête du fameux commissaire de police vénitien créé en 1991 par Donna Leon traite avec brio d'une épineuse affaire de trafic d'enfants.Tout en marchant à travers les ruelles de la cité des Doges, Donna Leon se confie.
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Elle révèle une personnalité pleine de contradictions : «Je suis pessimiste sur à peu près tous les sujets, mais en même temps je suis génétiquement programmée pour le bonheur !», lance-t-elle tout sourire.
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Dans la foulée, elle salue une vieille Vénitienne d'un sonore « Buongiorno !» et discute avec elle pendant plusieurs minutes.
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Toni Sepeda réagit : «Marcher dans Venise avec Donna, cela prend beaucoup de temps, elle salue tellement de monde !»
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La romancière Donna Leon installée dans la cité des Doges depuis une trentaine d'années publie la dix-septième enquête de l'inspecteur Brunetti. Rencontre sous la neige.
Ce week-end là, des flocons de neige dansaient sur Venise. Pas de quoi refroidir l'enthousiasme de Donna Leon.
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La romancière américaine de 68 ans aime accueillir des visiteurs dans la ville où elle habite depuis 1981.
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Son engouement est d'autant plus grand, qu'à ses côtés, son amie Toni Sepeda, une autre Américaine vivant dans la cité lacustre, publie un guide touristique intitulé Venise, sur les traces de Brunetti.
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Un parfait complément à la lecture du Cantique des innocents. La dix-septième enquête du fameux commissaire de police vénitien créé en 1991 par Donna Leon traite avec brio d'une épineuse affaire de trafic d'enfants.Tout en marchant à travers les ruelles de la cité des Doges, Donna Leon se confie.
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Elle révèle une personnalité pleine de contradictions : «Je suis pessimiste sur à peu près tous les sujets, mais en même temps je suis génétiquement programmée pour le bonheur !», lance-t-elle tout sourire.
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Dans la foulée, elle salue une vieille Vénitienne d'un sonore « Buongiorno !» et discute avec elle pendant plusieurs minutes.
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Toni Sepeda réagit : «Marcher dans Venise avec Donna, cela prend beaucoup de temps, elle salue tellement de monde !»
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«Je ne connais même pas le nom de cette femme, et elle ne sait pas non plus qui je suis, mais nous habitons le même quartier et nous nous parlons souvent », précise la romancière, qui souhaite rester anonyme dans son pays d'adoption.
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Ainsi elle refuse que ses romans soient traduits en italien.
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« De plus, ajoute-t-elle, comme je suis assez critique sur la société italienne dans mes livres, je ne souhaite pas qu'ils soient commentés par la presse d'ici et que les Italiens se fassent une fausse idée de mes écrits avant même de les lire. »
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Les enquêtes de Guido Brunetti se vendent dans tous les autres pays d'Europe, et, avec moins de succès, en Amérique du Nord.
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Dans l'Hexagone, France 3 prépare une série télévisée qui sera une adaptation fidèle des romans de Donna Leon.
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Ainsi elle refuse que ses romans soient traduits en italien.
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« De plus, ajoute-t-elle, comme je suis assez critique sur la société italienne dans mes livres, je ne souhaite pas qu'ils soient commentés par la presse d'ici et que les Italiens se fassent une fausse idée de mes écrits avant même de les lire. »
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Les enquêtes de Guido Brunetti se vendent dans tous les autres pays d'Europe, et, avec moins de succès, en Amérique du Nord.
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Dans l'Hexagone, France 3 prépare une série télévisée qui sera une adaptation fidèle des romans de Donna Leon.
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Opéra baroque
La romancière n'est-elle pas devenue davantage italienne qu'américaine ?« Non, parce que ma personnalité a été formée en Amérique. » Et pourtant, celle qui fut professeur de littérature anglaise en Arabie saoudite, en Iran, et en Italie jusqu'en 1996, apprécie qu'on la considère comme la plus européenne des romancières d'outre-Atlantique.
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Elle admet ne pas ressembler à la majorité de ses compatriotes. «Je n'ai jamais eu d'ambition, en revanche j'ai toujours été travailleuse. Mais l'obsession si américaine de la réussite, de la position sociale, ne m'a jamais touchée. Jeune, je voulais juste être heureuse. J'y suis arrivée par hasard…»
.Sa découverte de l'Italie, à 25 ans ? «J'ai juste suivi une amie qui souhaitait passer une année à Rome.» Son installation à Venise ? «J'ai choisi cette ville afin de vivre près d'un couple d'amis vénitiens qui m'est toujours cher. La femme, Roberta, a par la suite écrit un livre de recettes inspirées de la cuisine de l'épouse de Brunetti.»
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Et le déclic qui a conduit Donna Leon à écrire son premier roman ? Toujours le hasard, lors d'une discussion avec un de ses amis chef d'orchestre qui évoquait sa rivalité avec un confrère. Ainsi, dans sa première enquête, Brunetti se penche sur l'assassinat d'un chef d'orchestre au théâtre de La Fenice.
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Elle admet ne pas ressembler à la majorité de ses compatriotes. «Je n'ai jamais eu d'ambition, en revanche j'ai toujours été travailleuse. Mais l'obsession si américaine de la réussite, de la position sociale, ne m'a jamais touchée. Jeune, je voulais juste être heureuse. J'y suis arrivée par hasard…»
.Sa découverte de l'Italie, à 25 ans ? «J'ai juste suivi une amie qui souhaitait passer une année à Rome.» Son installation à Venise ? «J'ai choisi cette ville afin de vivre près d'un couple d'amis vénitiens qui m'est toujours cher. La femme, Roberta, a par la suite écrit un livre de recettes inspirées de la cuisine de l'épouse de Brunetti.»
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Et le déclic qui a conduit Donna Leon à écrire son premier roman ? Toujours le hasard, lors d'une discussion avec un de ses amis chef d'orchestre qui évoquait sa rivalité avec un confrère. Ainsi, dans sa première enquête, Brunetti se penche sur l'assassinat d'un chef d'orchestre au théâtre de La Fenice.
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Donna Leon précise que l'écriture n'a jamais été vitale pour elle. « En revanche, je ne pourrais pas vivre sans lire. J'apprécie d'abord la littérature britannique, parce que ses chefs-d'œuvre sont accessibles et légers. À l'image des romans de Dickens ou Fielding. En France ou en Allemagne, notamment, il y a la grande littérature et puis celle qui est étiquetée populaire. »
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L'Italienne d'adoption confie aussi avoir lu avec passion les grands auteurs de polars anglais et américains, d'Agatha Christie à Raymond Chandler. Aujourd'hui, la reine vénitienne du crime lit des livres d'histoire. Elle n'apprécie pas les thrillers actuels, notamment ceux de Stieg Larsson, trop violents à son goût.
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L'Italienne d'adoption confie aussi avoir lu avec passion les grands auteurs de polars anglais et américains, d'Agatha Christie à Raymond Chandler. Aujourd'hui, la reine vénitienne du crime lit des livres d'histoire. Elle n'apprécie pas les thrillers actuels, notamment ceux de Stieg Larsson, trop violents à son goût.
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Trop modeste, elle glisse : « Je connais mes limites, je suis un artisan qui se cantonne à ce qu'il sait écrire. »
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Elle n'avoue qu'une fierté : financer depuis dix ans un orchestre d'opéra baroque. « Je gagne beaucoup d'argent, alors je rends un peu de ce que j'ai reçu. Je suis passionnée d'opéras, je ne pourrais pas vivre sans en écouter. » Donna Leon affiche aussi son amour des animaux, de la nature, ainsi que son combat pour l'environnement qui lui fait préférer le train à l'avion. Cette romancière atypique trouve son bonheur dans mille centres d'intérêts. C'est ce qui fait son charme.
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Le cantique des innocents de Donna Leon, traduit de l'américain par W.O. Desmond, Calmann-Lévy, 286 p, 20,90 €.
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Elle n'avoue qu'une fierté : financer depuis dix ans un orchestre d'opéra baroque. « Je gagne beaucoup d'argent, alors je rends un peu de ce que j'ai reçu. Je suis passionnée d'opéras, je ne pourrais pas vivre sans en écouter. » Donna Leon affiche aussi son amour des animaux, de la nature, ainsi que son combat pour l'environnement qui lui fait préférer le train à l'avion. Cette romancière atypique trouve son bonheur dans mille centres d'intérêts. C'est ce qui fait son charme.
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Le cantique des innocents de Donna Leon, traduit de l'américain par W.O. Desmond, Calmann-Lévy, 286 p, 20,90 €.
Venise, sur les traces de Brunetti de Toni Sepeda, traduit de l'américain par J.-C. Khakifa et W.O. Desmond, Calmann-Lévy, 330 p, 20,50 €.
Curiosité de lecture...
L'adoption, c'est l'acte légal par lequel des adultes prennent pour enfants légitime une personne dont ils ne sont pas les parents biologiques.
.Une grande partie des adoptions est internationale.
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Pour éviter des pratiques illégales, en particulier les trafics d'enfants, une convention internationale a été conclue à La Haye le 29 mai 1993.
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Le trafic d'enfants est une forme de trafic d'êtres humains. Il s'agit d'une activité criminelle.
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La stérilité humaine (ou infertilité) est l'incapacité de concevoir naturellement, de porter ou d'accoucher un enfant sain. Il y a plusieurs raisons pour un couple de ne pas être capable de concevoir ou de devoir requérir pour ce faire un soutien médical.
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Face au déclin de la spermatogenèse observé chez un nombre important d'hommes, et aux problèmes croissant de fertilité chez les couples désirant des enfants, des chercheurs s'intéressent au clonage et à la possibilité de produire des spermatozoïde à partir de cellules-souches, éventuellement féminines.
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L'université de Newcastle, travaillerait ainsi en 2008 selon le magazine New Scientist, à la production de spermatozoïdes mâles à partir de cellules-souches de femmes adultes, pendant que d'autres équipes travaillent sur des œufs mâles issus de cellules-souches venant de la moelle osseuse susceptibles de créer des gamètes mâles ou femelles.
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L'équipe anglaise menée par Karim Nayernia aurait déjà créé des spermatogonies (précurseurs de la spermatogénèse) selon les magazines New Scientist et Telegraph.
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En avril 2007, Des chercheurs allemands de l'université de Göttingen, autour de Karim Nayernia, avaient transformé des cellules de moelle osseuse d'un homme adulte en spermatogonies.
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En 2006, ils avaient déjà obtenu des spermatozoïdes capables de féconder des ovules, chez des souris via des cellules-souches transformées en spermatogonies, après que ces dernières aient été injectées dans le testicule d'une autre souris.
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Outre la question éthique, ces recherches pourraient être confrontées à l'impossibilité de se passer du chromosome Y absent chez les femmes, et peut-être indispensable à la spermatogénèse.
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La stérilité humaine (ou infertilité) est l'incapacité de concevoir naturellement, de porter ou d'accoucher un enfant sain. Il y a plusieurs raisons pour un couple de ne pas être capable de concevoir ou de devoir requérir pour ce faire un soutien médical.
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Face au déclin de la spermatogenèse observé chez un nombre important d'hommes, et aux problèmes croissant de fertilité chez les couples désirant des enfants, des chercheurs s'intéressent au clonage et à la possibilité de produire des spermatozoïde à partir de cellules-souches, éventuellement féminines.
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L'université de Newcastle, travaillerait ainsi en 2008 selon le magazine New Scientist, à la production de spermatozoïdes mâles à partir de cellules-souches de femmes adultes, pendant que d'autres équipes travaillent sur des œufs mâles issus de cellules-souches venant de la moelle osseuse susceptibles de créer des gamètes mâles ou femelles.
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L'équipe anglaise menée par Karim Nayernia aurait déjà créé des spermatogonies (précurseurs de la spermatogénèse) selon les magazines New Scientist et Telegraph.
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En avril 2007, Des chercheurs allemands de l'université de Göttingen, autour de Karim Nayernia, avaient transformé des cellules de moelle osseuse d'un homme adulte en spermatogonies.
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En 2006, ils avaient déjà obtenu des spermatozoïdes capables de féconder des ovules, chez des souris via des cellules-souches transformées en spermatogonies, après que ces dernières aient été injectées dans le testicule d'une autre souris.
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Outre la question éthique, ces recherches pourraient être confrontées à l'impossibilité de se passer du chromosome Y absent chez les femmes, et peut-être indispensable à la spermatogénèse.
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