samedi 20 mars 2010

Anne Perry - Resurrection row

lu hier
Série « Charlotte et Thomas Pitt »
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"Bas les masques", tel paraît être le mot d'ordre d'Anne Perry dans la série de romans où elle met en scène son couple de héros "victoriens", l'inspecteur Thomas Pitt et son épouse Charlotte, les personnages de roman policier les plus pittoresques et attachants qui nous aient été donnés à découvrir ces dernières années.
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Dans le Londres de la fin du XIXè siècle qui sert de cadre à leurs exploits, c'est en effet le code hypocrite de bonne conduite de la société anglaise de l'époque qui se trouve singulièrement mis à mal, sa corruption et sa fausse respectabilité. Anne Perry ou le polar au vitriol : décapant!
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De sombres histoires de chantage sur fond de misère parmi la bonne société... et quelques cadadres balladeurs...
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Depuis le temps que je devais lire cet auteur... et bien c'est fait maintenant... donc, polar-victorien, mais il y manque le charme du roman victorien, sinon, pas désagréable a lire,
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j'essaierai probablement d'en lire un ou deux autres dans ses autres séries, au grè de mes musardages en bibliothèques ou en brocante.
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Mais je doute fort qu'ils me laissent un souvenir impérissable.
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illustration : "la liseuse" de Geza Vörös (Lali)
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Anne Perry (née Juliet Hulme le 28 octobre 1938 à Blackheath près de Londres) est un auteur britannique de romans policiers victoriens.
Elle est la fille d'
Henry Hulme, astronome, physicien nucléaire et mathématicien et d'une mère de confession presbytérienne.
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En vue de soigner la
tuberculose dont l'enfant était atteinte, sa famille l'envoya d'abord dans des sanatoriums situés aux Antilles puis en Afrique du Sud.
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Le choix de son père d'accepter en
1948 sa nomination comme recteur de l'Université de Canterbury, proche de Christchurch (Nouvelle-Zélande), a certainement été influencé par la possibilité de faire soigner l'enfant dans un des nombreux sanatoriums réputés du pays (on trouve la trace de cette spécialisation dans l'œuvre de Ngaio Marsh, autre « reine du crime » et néo-zélandaise).
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La jeunesse d'Anne Perry fut mouvementée, puisqu'elle fut poursuivie et condamnée, en
1954, pour le meurtre de la mère d'une « amie très proche », accompli avec celle-ci. Cet épisode tourmenté de sa vie, ayant eu comme théâtre la Nouvelle-Zélande où elle vivait alors, est directement à l'origine du film Créatures célestes (1994).
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Elle semble avoir bénéficié d'une mesure de clémence, puisque la famille regagnera le
Royaume-Uni en 1959, cinq ans après le drame.
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Son besoin d'écriture semble avoir toujours existé, en tout cas dès ses premières hospitalisations dans son enfance, marquées par des échappées dans l'imaginaire (elle cite fréquemment
Alice de Lewis Carroll), mais il lui faudra attendre une vingtaine d'années avant de voir ses efforts couronnés de succès par la publication en 1979 de L'Étrangleur de Cater Street, premier d'une longue série de succès.
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Le temps ne semble pas avoir toutefois effacé toutes les blessures éprouvées dans sa jeunesse par Anne Perry, puisque tous ses romans policiers victoriens témoignent d'une révolte contre la « bienséance pudibonde dont s'affuble la bonne société victorienne » (selon les termes du Bulletin critique du livre français).
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Elle vit désormais en Écosse.
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Sans délaisser sa « spécialisation victorienne », elle a toutefois mené quelques incursions dans le domaine de la littérature fantastique et a entrepris une nouvelle série policière ayant pour cadre le
Paris de la Révolution française, puis une autre ayant pour cadre la Première Guerre mondiale. - wikipédia
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Série « William Monk » Cette série a pour cadre le Londres des années 1850 et 1860, et met en scène, en réalité, un trio de détectives : William Monk, ancien policier devenu détective privé et frappé d'amnésie, Hester Latterly, infirmière s'étant dévouée auprès de Florence Nightingale lors de la guerre de Crimée, et Oliver Rathbone, avocat.
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Chacun des romans (hormis peut-être Esclaves du passé) inclut de longues et passionnantes scènes de procès, qui laissent à penser que l'auteur a plus particulièrement songé à un lectorat américain, censé être friand de fictions à coloration « judiciaire ».
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Série « Joseph et Matthew Reavley » Dernière en date des séries créées par Anne Perry. La série est annoncée comme devant compter cinq volumes. Elle met en scène quatre frères et sœurs (dont deux donnent leur nom à la série) pris dans une tourmente tragique à la veille de la Première Guerre mondiale.

2 commentaires:

callophrys a dit…

j'ai beaucoup lu et aime Anne Perry mais j'avoue que la lassitude s'est emparee de moi au bout d'un moment.(j'ai quand meme consomme une dizaine de Charlotte et Pitt)
Sa serie avec Monk m'a mieux plu ,le cote amnesique du personnage le rendant attachant.
Quant à la derniere serie ,j'ai commence le 1er tome mais pas fini.

mazel a dit…

bonjour callophrys,

Le prochain sera probablement dans la série des Monk... comme toi le personnage amnésique me tente.

pour la dernière série, j'attendrais ton avis...

En ce moment envie de lire victorien... et pas de chance, je n'ai pris pratiquement que des polars à la bibliothèque...

Si mon homme ne se sent pas trop mal la semaine prochaine... ^peut-être un tour chez le bouquiniste... j'ai repéré quelques auteurs dans la blogosphère...

bonne journée, bises