je me suis donc laissé avoir par "sa pierre de Iorden" et son "acta fidéi"...
Ca m'apprendra à entamer des recherches dans tous les sens avant de relire son blog !
Dans Le Testament des Siècles j'ai adressé quelques clins d'œil à Umberto Eco et Arturo Perez Reverte, pour qui j'ai beaucoup d'admiration… En essayant toutefois de rester très personnel. Le message de mon roman, si je puis dire, est quelque chose de très intime… "Henri Loevenbruck
site officiel : http://www.henriloevenbruck.com/interview3_loevenbruck.php
De vraisemblance oui, de vérité, peut-être pas.
Mais le lien entre De Vinci et Dürer, en revanche, me semble évident, voire primordial.
Je crois qu'ils avaient tous deux une quête commune : l'harmonie secrète des choses, le mélange entre l'art et les sciences, entre la beauté et les mathématiques.
La science avait à leur époque quelque chose de fort romantique, quelque chose de très proche du fameux merveilleux scientifique… Du romantique au romanesque, il n'y a qu'un pas.
Quant à savoir s'ils se sont ou non rencontrés, le mystère reste entier.
*Quelle est la part de vérité dans l'existence de la pierre de Iorden, dans Acta fidei ?
Est-ce uniquement le fruit de votre imagination ?Je ne crois pas à l'imagination pure.
Toutes les idées, même les plus inventives, s'inspirent toujours de quelque chose d'autre. Comme le disait ce bon vieil Anaxagore, rien ne se crée, rien ne se perd, mais tout se mélange et se dissocie à partir de ce qui est…
*La Pierre de Iorden est une invention assez tirée par les cheveux, je dois l'avouer, mais elle se base sur de nombreux faits réels dans la vie du Christ…
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Quant à Acta Fidei, ce groupe religieux quasi mafieux fait écho à certaines organisations proches du Vatican que les lecteurs auront peu de peine à reconnaître !
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illustration : "la liseuse" de Paul Sanderse
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