déjà un petit détour par Dürer, puisqu'il va être question de lui, entre autre chose... et probablement du carré magique, du compagnonnage, l'homme de vitruve... sans oublier les franc-maçons et les templiers...
de quoi passer une bonne soirée.
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Installé aux États-Unis, Damien Louvel rentre en France suite au décès tragique de son père. Il découvre alors que celui-ci recherchait un mystérieux objet - la pierre de lorden.
Damien décide de poursuivre les investigations de son père et se lance dans une enquête qui va bouleverser sa vie à jamais et le mener sur la piste des Templiers, des francs-maçons et d'Albrecht Dürer.
Hacké, traqué, menacé, il n'aura de cesse de mettre au jour le plus vieux secret de l'Humanité : le dernier message laissé par le Christ
Albrecht Dürer, (« Albert » la version traduite de son prénom est aussi d'usage pour les francophones), né le 21 mai 1471 et mort en 1528 à Nuremberg est un peintre, graveur et mathématicien allemand.
illustration : Autoportrait 1498, Musée du Prado, Madrid
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Albrecht Dürer est le troisième enfant d'Albrecht Dürer l'Ancien, orfèvre originaire de Hongrie et arrivé à Nüremberg en 1455. Selon la tradition familiale, Albrecht est lui aussi destiné au métier d'orfèvre.
À 13 ans, il en devient donc l'apprenti pendant 3 ans et apprend à se servir du burin et de la pointe. Voyant les dons de son fils pour le dessin, Albrecht l'ancien lui donne la permission d'entrer dans l'atelier d'un peintre.
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C'est ainsi qu'en 1486 il devient l'apprenti de Michael Wolgemut, avec qui il apprend à manier la plume et le pinceau, à copier et dessiner d'après nature, à réaliser des paysages à la gouache et à l'aquarelle et également à peindre à l'huile.
Il se familiarise également avec la technique de gravure sur bois.Il est très influencé par Martin Schongauer.
En 1491, il entreprend un voyage à Colmar pour rendre visite à l'artiste, mais celui-ci meurt le 2 février 1491 alors qu'Albrecht est encore en route. Il n'arrivera à Colmar qu'en 1492.
*Après avoir effectué son tour de compagnon à travers l'Allemagne, il séjourne à deux reprises à Venise, en 1494 puis en 1505. Ce séjour le marque profondément.
On lui fait alors la commande d'un retable pour l'autel de Notre-Dame, dans l'église nationale de la colonie allemande à San Bartolommeo, La Vierge de la Fête du Rosaire.
En 1507, Dürer rentre à Nuremberg et entreprend d'étudier les langues et les mathématiques.
illustration : Autoportrait à la fourrure, 1500
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En 1512, il reçoit une pension de l'empereur Maximilien de Habsbourg avec titres de noblesse en devenant le peintre de la cour. Il en fait le portrait. À sa mort, il entre au service de Charles Quint.
En 1512, il reçoit une pension de l'empereur Maximilien de Habsbourg avec titres de noblesse en devenant le peintre de la cour. Il en fait le portrait. À sa mort, il entre au service de Charles Quint.
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Il écrit des livres parmi lesquels « Les Règles de la Peinture » ou le « Traité des proportions du corps humain » publié en 1525 et traduit par Louis Meigret en 1557.
Il écrit des livres parmi lesquels « Les Règles de la Peinture » ou le « Traité des proportions du corps humain » publié en 1525 et traduit par Louis Meigret en 1557.
Il illustre plusieurs ouvrages, tels que « l'Arc triomphal » et le « Char triomphal de Maximilien », « la Passion de J.-C », « l'Apocalypse », « l'Histoire de la vierge Marie », et « La nef des fous » (Das Narrenschiff) de Sébastien Brant.
son maître Michael Wolgemut est « responsable de la publication de deux ouvrages xylographiques: le Schatzbehalter (ou thésaurus religieux) et la Chronique de Nuremberg, une sorte de précis historique publié en 1493 avec six cent cinquante-deux bois gravés comprenant trois cents personnages différents (deux cent soixante-dix rois, vingt-huit papes et une riche série de vues de villes, de paysages et de monastères) ».
*En 1490, il part pour faire son apprentissage ; en 1494, il découvre Vitruve et inclut le canon des proportions dans ses œuvres gravés.
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Les suites de gravure qui ont fait sa renommée sont deux séries de gravures sur bois - une « Petite Passion » composée de 37 gravures et une « Grande Passion » de 15 gravures plus une feuille de titre - et une « Passion » gravée sur cuivre de 16 feuilles.
Les suites de gravure qui ont fait sa renommée sont deux séries de gravures sur bois - une « Petite Passion » composée de 37 gravures et une « Grande Passion » de 15 gravures plus une feuille de titre - et une « Passion » gravée sur cuivre de 16 feuilles.
À cela s'ajoutent une « Vie de Marie » de 19 gravures et une feuille de titre et surtout son « Apocalypse » rassemblant 15 gravures plus une feuille de titre.Il sert de référence pour les graveurs italiens et nordiques qui lui succèdent: Jacopo de' Barbari, Giulio Campagnola et Marc-Antoine Raimondi ou les petits maîtres de Nuremberg comme Georg Pencz et les frères Beham Barthel et Hans.
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