en parcourant la presse littéraire, Cécile d'actualitté nous apprend le décès de l'écrivain cubain Cintio Vitier...
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il me semble bien n'avoir lu que très peu de livre d'auteur cubain... "Rue Peña Pobre" me semble intéressant...
Essayiste, romancier, mais avant tout poète, Cintio Vitier, lauréat du prix littéraire Juan Rulfo en 2002, s'est éteint jeudi dans sa résidence de La Havane, à l'âge de 88 ans, alors qu'il était considéré comme l'un des plus importants intellectuels du pays.
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Né à Key West en Floride le 21 septembre 1921, Vitier contribua notamment au lancement du journal Origines, qui aura regroupé les plumes des plus grands penseurs de Cuba.
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Officier des Arts et des Lettres décerné par la France en 2002.
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«L'appauvrissement matériel était le signe de la Révolution que Jacinto aimait le plus. Cela lui semblait être son plus grand sceau d'authenticité, non seulement en tant que conséquence de la justice révolutionnaire et de l'injustice impérialiste, mais parce qu'il y voyait la manifestation visible d'une nécessité spirituelle».
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Rue Peña Pobre est le grand roman cubain de la spiritualité révolutionnaire.
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C'est également le texte grâce auquel la jeunesse cubaine des années 1980 a appris à interpréter les souffrances de l'île, à la base de son histoire, et dans la recherche d'une authentique théologie de la libération à valeur universelle.
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L'auteur vu par l'éditeur
Cintio Vitier, né en 1921 à Key West, Floride, poète, essayiste, historien des lettres cubaines, fervent spécialiste de José Marti et de José Lezama Lima. Maria Poumier, née en 1950, Maître de conférences à l'Université de Paris VIII, a traduit Un jour comme tant d'autres de Manlio Argueta
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