vendredi 9 octobre 2009

souvenir de lecture en suivant l'éphéméride

illustration : "la liseuse" de Charles Baugniet

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1514

Mariage de Louis XII avec Marie Tudor, sœur d'Henri VIII.

tout simplement parce que je suis devenue acro à la série...

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1683 Louis XIV, roi de France, épouse secrètement Françoise d’Aubigné, marquise de Maintenon.

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L'allée du Roi de Françoise Chandernagor, idem... pas encore lu le livre mais aimé le film... d'ailleurs toujours rien lu de l'auteur...

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Léopold Sédar Senghor (Joal, Sénégal, 9 octobre 1906 - Verson, France, 20 décembre 2001) était un poète, écrivain et homme politique sénégalais. Il a été le premier président du Sénégal (1960-1980) et il fut aussi le premier Africain à siéger à l'Académie française.

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Il est le symbole de la coopération entre la France et ses anciennes
colonies pour ses partisans ou du néo-colonialisme français en Afrique pour ses détracteurs.

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Après avoir été désigné Prince des poètes en 1978, il est élu à l'Académie française le 2 juin 1983, au 16e fauteuil, où il succède au duc de Lévis-Mirepoix.

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Il est le premier africain à siéger à l'Académie française, celle-ci poursuivant ainsi son processus d'ouverture après l'entrée de Marguerite Yourcenar.

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La cérémonie par laquelle Senghor entre dans le cercle des académiciens a lieu le 29 mars 1984, en présence de François Mitterrand.

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Sa poésie essentiellement symboliste, fondée sur le chant de la parole incantatoire, est construite sur l'espoir de créer une Civilisation de l'Universel, fédérant les traditions par-delà leurs différences. Senghor a estimé que le langage symbolique de la poésie pouvait constituer les bases de ce projet. En 1978, Senghor reçut le Prix mondial Cino Del Duca.

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Le poème « À l'appel de la race de Saba », paru en
1936, est inspiré de l'entrée des troupes italiennes à Addis-Abeba.

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Il fit également partie des premiers comités de la
Société des poètes et artistes de France dans les années 1950 et 1960
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Alors qu'il était étudiant, il créa en compagnie du martiniquais Aimé Césaire et du guyanais Léon Gontran Damas la revue contestataire « L'Étudiant noir » en 1934. C'est dans ces pages qu'il exprimera pour la première fois sa conception de la négritude, notion introduite par Aimé Césaire, dans un texte intitulé « Négrerie ».

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Césaire la définit ainsi : « La Négritude est la simple reconnaissance du fait d’être noir, et l’acceptation de ce fait, de notre destin de Noir, de notre histoire et de notre culture ». Senghor explique en ces termes le concept de Négritude « la Négritude, c’est l’ensemble des valeurs culturelles du monde noir, telles qu’elles s’expriment dans la vie, les institutions et les œuvres des Noirs. Je dis que c’est là une réalité : un nœud de réalités ».

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clin d'oeil


Le fauteuil numéro 16 de l'Académie française laissé vacant par la mort du poète sénégalais, c'est un autre ancien président, Valéry Giscard d'Estaing qui le remplace. Comme le veut la tradition, il rend hommage à son prédécesseur lors d'un discours de réception donné le 16 décembre 2004.

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Confronté au puzzle senghorien, il décide de présenter les différentes facettes de Senghor « De l’élève appliqué, puis de l’étudiant déraciné ; du poète de la contestation anti-coloniale et anti-esclavagiste, puis du chantre de la négritude ; et enfin du poète apaisé par la francisation d’une partie de sa culture, à la recherche lointaine, et sans doute ambiguë, d’un métissage culturel mondial ».

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(232 pages d'un profond ennui) et bien oui, je l'avoue, j'ai tenté de lire cette chose... mais jamais pu le terminer, vraiment effet lexomil... alors inutile de dire que je ne suis pas prète de recommencer à lire l'auteur...

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Au volant de sa voiture, un jeune notaire provincial et élégant se rend à une partie de chasse au cerf dans la Sologne printanière.

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Sur le bord de la route, le pouce levé, une jeune fille attend.Pourquoi cet homme apparemment comblé par l'existence a-t-il su au premier coup d'oeil que cette silhouette gracieuse et farouche allait bouleverser sa vie ?

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Chasseur, il sait que les biches empruntent toujours le même passage. Il la reverra.

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D'où vient Natalie ? Que cherche-t-elle ? Que fuit-elle en acceptant de séjourner chez lui ? Comment s'attacher à une fille qui n'a rien à offrir sinon sa beauté, sa sauvagerie et ses caprices ? Va-t-il l'aimer, souffrir, la retenir prisonnière ?Sait-on jamais pourquoi une femme se donne ou se refuse ?

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Une histoire d'amour peut en cacher une autre, comme l'aveu d'une passion déçue que l'éminente personnalité de l'auteur propose de déchiffrer aux lecteurs les plus attentifs.Source : Pocket

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1940 naissance de Lise Gauvin,

écrivaine, essayiste, critique littéraire,

Prix des Arcades de Bologne en 1992 (Fugitives),

Membre de l'Ordre des francophones d'Amérique en 1993,

Prix Jean-Hamelin en 1998,

Prix France-Québec en 1999,

Membre de l'Académie des lettres du Québec en 2000,

Membre de la Société royale du Canada en 2000,

Chevalier de l'Ordre des Palmes académiques en 2005.

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L'homme est beau. Il a le visage long et fin. La tête contraste avec l'aspect légèrement trapu de la silhouette. Il parle plus lentement que les gens du pays, avec un accent traînant. Il ne semble pas pressé de la voir partir.

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Elle aussi a tout son temps.Elle demande si elle peut visiter la bibliothèque. " En principe, il faut, pour cela, adresser une lettre à la fondation dont dépend le château ", répond-il.

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Mais il ajoute aussitôt : "Revenez ce soir et je vous l'ouvrirai ".

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Un été, une femme s'installe à Lourmarin où vécut Albert Camus. Pendant la visite du château où séjournait l'écrivain, elle lie connaissance avec le guide. Un personnage étrange, taciturne. II dit s'appeler Martin.

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Spontanément, elle le surnomme Mersault, un nom qui rappelle le personnage de L'Etranger.

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Se noue alors une curieuse relation, faite de silence, de partage, de joie parfois, d'amour peut-être. Puis, un jour, Martin disparaît, sans explication.

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Dans ces pages où se mêlent l'émotion lumineuse de Noces et celle de L'Étranger, Lise Gauvin offre au lecteur une subtile évocation de l'œuvre et de la vie d'Albert Camus.

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1978 décès de Jacques Brel,


rien à dire de plus sinon l'écouter encore et toujours... pour le lien avec la littérature, je pense à la BD...

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Dans la bande dessinée Astérix, Brel apparaît dans l'album Astérix chez les Belges.

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Quand Astérix, Obélix et le chef de clan Abraracourcix marchent à travers « le Plat Pays », Abraracourcix fait un commentaire sur le paysage.

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Le chef belge répond : « Dans ce plat pays qui est le mien, nous n'avons que des oppidums pour uniques montagnes. »*

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