déjà un grand merci à Blog-o-book et aux éditions Laffont de m'avoir sélectionnée pour ce livre..
illustration : "la lectrice" de Daniela Zekina
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Et bien, me voilà en difficultée... chroniquer un roman ou même des nouvelles est plus ou moins facile, mais chroniquer des brèves chroniques... me semble un exercice pratiquement presque impossible...
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A première vue de petites considérations sur la mort et ce qui nous attend dans l'au-delà, foisonnantes d'imagination, de trouvailles amusantes, très courtes, de une à trois pages dans l'ensemble.
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J'ai commencée assez enthousiasmée... c'est léger mais ne dispense pas de réfléchir... puis quelques chroniques ne sont que de petites variations d'une autre, lues précédemment... En fait, il ne m'en reste plus que 10 à lire... mais j'éprouve une légère lassitude... et mon enthousiasme est retombé...
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J'ai commis une erreur en abordant ce livre comme un roman... et de façon boulimique...
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C'est un livre qui mérite d'être savouré lentement... un livre qui devrait être lu avec plus de précaution, une ou deux chroniques par jour... sous peine d'indigestion... finalement, comme un livre de chevet...
Chez Sauramps, classé dans l'ésotérisme...
Provocantes, drôles, métaphysiques, illuminées, troublantes... Quarante façons d'imaginer la vie après la mort. .
Qu’y a-t-il après la mort ?
Le Paradis existe-t-il ?
À quoi ressemble-t-il ?
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Au travers d'une série de contes très courts, et avec un humour inattendu, Bis propose quarante variations sur le thème de Dieu et de l’Au-delà.
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Ici, Dieu est une femme ;
là, c’est un homme ou un couple ;
Il a la taille d’un microbe et ne sait pas que l’homme existe ;
Il vénère Mary Shelley et son Frankenstein ;
Il est absent, mort, ou s’ennuie tant qu’Il condamne l’humanité à l’immortalité en Sa compagnie.
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Dans l’Au-delà, vous revivez votre vie à rebours ; vous devenez la personne de votre choix ;
vous êtes un acteur dans les rêves des vivants…
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Autant de scénarios loufoques et d’hypothèses insolites qui font écho aux grandes questions de l’humanité.
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C’est en sa qualité de neuroscientifique et d’écrivain que David Eagleman interroge le domaine des tous les possibles. Il se détourne de l’Au-delà tel que le prêchent les religions, monothéistes ou déistes, pour explorer toutes les idées « qui vont bien plus loin que des bibles diverses ».
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C’est l’homme qui ressort grandi de cette démarche : en nous parlant de l’Enfer ou du Paradis, David Eagleman nous parle de nous et nous invite à jouir de la vie présente. Une vie présente qui est peut-être autrement plus belle et plus parfaite que tous les « Paradis » qui nous attendent.
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Biographie
David Eagleman a grandi au Nouveau-Mexique.
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Après des études de littérature anglaise et américaine, il a obtenu un doctorat en neurosciences. Il dirige aujourd'hui le laboratoire de Perception et Action à l'université de Baylor (Texas). La nuit, il est écrivain.
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La conception de Dieu varie en fonction des philosophies, des religions et des convictions individuelles. .
Dieu désigne généralement un « être suprême » aux qualités infinies, l'individuation personnelle ou impersonnelle du principe de l'univers, c'est-à-dire sa raison « première » en tant qu'essence primordiale - Dieu est alors souvent considéré comme le démiurge ou créateur - et sa raison « dernière » en tant que finalité et sens de la vie.
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illustration : L' Ancien des Jours. Peinture de William BlakeLa représentation de Dieu est nécessairement symbolique, et généralement désapprouvée par les religions monothéistes.
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L‘Au-delà, aussi appelé l‘Autre Monde ou l‘Outre Monde est le terme générique désignant, selon les croyances, les mondes non terrestres qui accueillent les âmes après la mort, ou le monde des mythes, qu'ils soient religieux ou non..
On le nomme différemment dans chaque civilisation, par exemple Champs Élysées dans la mythologie grecque, Omeyocan chez les Aztèques, ou encore Shéol dans la tradition biblique.
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La ligne directrice régissant l‘Au-delà dans les grands monothéismes est essentiellement basée sur la dichotomie définissant un monde de bien-être, le Paradis, et un monde de souffrances, l'Enfer. Entre ces deux mondes il y a, d'après la tradition catholique, le Purgatoire.
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La mort est l'état définitif d'un organisme biologique qui cesse de vivre.
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Elle se caractérise par un arrêt irréversible des fonctions vitales (nutrition, respiration…), nécessaires au maintien de l'intégrité de l'organisme, ce qui la distingue d’un arrêt temporaire comme dans le cas de l'hibernation ou la congélation. Une fois mort, l'organisme se décompose sous l’action de bactéries ou de nécrophages.
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Il existe une multitude de définitions de la mort et la limite entre la vie et la mort reste floue.
Il existe une multitude de définitions de la mort et la limite entre la vie et la mort reste floue.
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Selon l’Organisation mondiale de la santé animale, la mort désigne « la disparition irréversible de l’activité cérébrale mise en évidence par la perte des réflexes du tronc cérébral ».
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Tous les êtres vivants finissent irrémédiablement par mourir à cause du phénomène de sénescence (ou vieillissement).
Tous les êtres vivants finissent irrémédiablement par mourir à cause du phénomène de sénescence (ou vieillissement).
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Au niveau cellulaire, la mort désigne l’arrêt des fonctions de base d’une cellule mais une cellule est dite immortelle si elle peut donner un nombre illimité de cellules filles.
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Ainsi, les organismes unicellulaires qui se reproduisent uniquement par bipartition sont en principe immortels.
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Chez les organismes pluricellulaires, les cellules sexuelles (germen) sont potentiellement immortelles et se transmettent à la descendance, contrairement aux cellules somatiques (soma).
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illustration : Le Triomphe de la MortPeinture de Pieter Bruegel l'Ancien (1562).
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Peinture de Michel-Ange sur le plafond de la Chapelle Sixtine du Vatican à Rome (qui représente Dieu et la création d'Adam).
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