mercredi 10 février 2010

menus propos, bric à brac, envie de lire...

Bonjour tout le monde,
ce matin visite chez ma mère pour récupérer 2 livres, et la neige en a profité pour tomber...
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Enfin, pas grave, comme pas envie de sortir cet après-midi... et puis, avec 2 livres de plus, pas de quoi s'ennuyer...
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"la liseuse" de par Mary Ferris Kelly
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Arrivée page 184... de ce court roman... gros caratères, larges marges, papier épais de 232 pages... je suppose qu'en poche, il sera bien menu.
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L'histoire se passe donc dans une décharge près de la mer... occupée par une faune bigarée... des gens qui se sont retirés du monde et de la civilisation avec la solitude pour seule compagne... chacun vit seul ou avec un compagnon, tel Ach et Junior, ou Mama et son homme, un soulard qu'elle traine dans sa brouette et lave dans la mer... et puis la bande du Pacha... on les appelle les "Horr".
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Le Horr est un clochard volontaire qui a pris le parti de vivre en marge de la ville en rejetant toutes ses valeurs : argent, travail, famille. Refusant jusqu’à la mendicité, le Horr se croit libre de toute attache.
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Et puis un jour, Ben Adam, un homme différent fait son apparition, vétu d'une robe blanche, et il prêche, et il séduit et il lit les pensées ... et détourne certains Horr de leurs compagnons... mais Ach se rebelle jusqu'à faire alliance avec le Pacha... et Ben Adam part...
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je vous en dirai plus demain... car c'est là que j'ai arrêté ma lecture. Pour le moment j'aime bien mais, beaucoup trop de passage moralisateur...
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Prochaine lecture :
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Le Tailleur de pierre de Camilla Läckberg
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" La dernière nasse était particulièrement lourde et il cala son pied sur le plat-bord pour la dégager sans se déséquilibrer. Lentement il la sentit céder et il espérait ne pas l'avoir esquintée. Il jeta un coup d'oeil par-dessus bord mais ce qu'il vit n'était pas le casier.
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C'était une main blanche qui fendit la surface agitée de l'eau et sembla montrer le ciel l'espace d'un instant. Son premier réflexe fut de lâcher la corde et de laisser cette chose disparaître dans les profondeurs... "
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Un pêcheur de Fjâllbacka trouve une petite fille noyée. Bientôt, on constate que Sara, sept ans, a de l'eau douce savonneuse dans les poumons. Quelqu'un l'a donc tuée avant de la jeter à la mer. Mais qui peut vouloir du mal à une petite fille ?
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Alors qu'Erica vient de mettre leur bébé au monde et qu'il est bouleversé d'être papa, Patrik Hedstrôm mène l'enquête sur cette horrible affaire. Car sous les apparences tranquilles, Fjâllbacka dissimule de sordides relations humaines - querelles de voisinage, conflits familiaux, pratiques pédophiles - dont les origines peuvent remonter jusqu'aux années 1920. Quant aux coupables, ils pourraient même avoir quitté la ville depuis longtemps. Mais lui vouer une haine éternelle.
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Biographie de l'auteur :
Camilla Lâckberg-Eriksson, née le 30 août 1974, est l'auteur de plusieurs romans noirs mettant en scène Erica Falck et dont l'intrigue se situe toujours à Fjâllbacka, port de pêche de la côte ouest en Suède.
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Ses ouvrages se sont tous classés parmi les meilleures ventes de ces dernières années dans son pays et le succès est aussi de mise à l'étranger.
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Dans la collection " Actes noirs " ont déjà paru La Princesse des glaces (2008) et Le Prédicateur (2009).
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" C'est l'histoire d'une Emma Bovary des seventies, qui a reproduit lors de son divorce le silence de la génération précédente sur les malheurs des deux guerres. C'est l'histoire d'un homme devenu un jouisseur pour se venger d'être quitté, d'un père cynique parce que son coeur était brisé. C'est l'histoire d'un grand frère qui a tout fait pour ne pas ressembler à ses parents, et d'un cadet qui a tout fait pour ne pas ressembler à son grand frère. C'est l'histoire d'un garçon mélancolique parce qu'il a grandi dans un pays suicidé, élevé par des parents déprimés par l'échec de leur mariage. C'est l'histoire d'un pays qui a réussi à perdre deux guerres en faisant croire qu'il les avait gagnées, et ensuite à perdre son empire colonial en faisant comme si cela ne changeait rien à son importance. C'est l'histoire d'une humanité nouvelle, ou comment des catholiques monarchistes sont devenus des capitalistes mondialisés. Telle est la vie que j'ai vécue : un roman français. " ...
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cadeau de mon neveu à ma mère, donc pas d'urgence de lecture... restera en attente, j'ai un Delillo en attente...
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La tentatrice du jour...
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de Mot-à-mots de wakinasimba
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coup de coeur - Une psychologie finement menée dans un récit dont on ne se lasse pas une minute.
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résentation de l'éditeur : A cinquante ans, Pippa Lee apparaît à tous ceux qui la connaissent comme "une des dames les plus charmantes, les plus gentilles, les plus adorables, les plus simples et les plus rassurantes qu'ils aient jamais vues".
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Épouse parfaite, mère dévouée, hôtesse accomplie et sereine, elle semble avoir tout pour être heureuse. Mais lorsqu'elle et Herb, son mari octogénaire, quittent New York pour s'installer dans une luxueuse banlieue pour retraités, cette belle façade se fissure.
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Sa sensualité mise en sommeil se réveille et remonte à la surface un passé mystérieux et trouble, fait de rébellion, de passions et de déchirements - un passé dont elle a laissé loin derrière elle les excès et les dangers pour le confort du mariage mais qui la rattrape inexorablement...
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Les Vies privées de Pippa Lee, " roman à énigme psychologique ", explore avec finesse le labyrinthe intime d'une femme en quête de sa véritable identité, écartelée entre son désir de sécurité affective et son aspiration à la liberté. Dans la veine des Corrections de Jonathan Franzen, ce roman dénonce avec drôlerie et lucidité les maladies de l'Amérique, son instrumentalisation de la femme, son culte du succès, du bonheur, et les hypocrisies que tout cela recouvre.
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Coup d'oeil dans la presse : littérature
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Qui est le plus puissant des Dieux? BHL, qui fait parler la foudre... et les philosophes qui n'existent pas.
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C'est la bande annonce détournée du film «Percy Jackson, le voleur de foudre» par LibéLabo.
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illustration trouvée sur bakchich...
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rien a voir avec la vidéo, mais j'aime bien la caricature...
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Elise Fontenaille n'en est pas à son premier roman choc. Dans Unica (grand prix de la science-fiction française 2008), elle explorait le sujet la pédophilie en ligne.
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L'écrivain, qui aime "gratter là où ça fait mal", publie cette fois Les Disparues de Vancouver, récit-enquête sur un crime barbare qui bouleversa la ville canadienne il y a dix ans.
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Alors que Vancouver accueille fastueusement les J.O. d'hiver 2010, Fontenaille pointe ainsi du doigt la misère insoutenable, le racisme et les traumatismes qui se cachent derrière "l'image rêvée que Vancouver veut donner au monde".
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Le quartier que Vancouver préfère cacher« Vancouver, une ville jeune aux multiples visages ». « Downtown Eastside: le quartier que Vancouver préfère cacher ». « Sous la neige, les polémiques affleurent ». Quelques titres qu'on pouvait lire dans la presse, à quelques jours de l'inauguration des J.O. d'hiver 2010 dans la ville canadienne.
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Les militants anti-olympiques, qui ont organisé le 6 février les « J.O. de la pauvreté », dénoncent l'organisation fastueuse de l'événement dans la ville qui abrite le quartier le plus pauvre du Canada.
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Situé en plein centre de Vancouver, le Downtown Eastside, qui affichent des taux démesurément élevés de toxicomanie et de séropositivité, est une réalité que les autorités préfèrent ignorer, plus encore au moment où elles accueillent les petits champions et caméras du monde entier.
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Cette réalité, Elise Fontenaille, écrivain et journaliste qui a vécu pour un temps au Canada, entend quant à elle la divulguer en faisant le récit à peine romancé d'une histoire horrible qui ébranla la (supposée) tranquillité canadienne de la fin des années 90 aux années 2000 : celle des Les Disparues de Vancouver. « J'ai horreur du sport, et de l'hypocrisie. J'aime gâcher la fête en général », dit Elise Fontenaille quand on l'interroge sur les J.O.
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Dans la presse... des choses dures et inacceptables...







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Le mot d’ordre des Haïtiens est de survivre. La très grande majorité des habitants, aux corps et aux esprits taraudés par la misère, ne lèvent les yeux vers le ciel que pour implorer la miséricorde divine ou interpréter les mouvements des nuages en vue d’anticiper les pluies jamais bienvenues en ville.
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D’autant plus depuis le séisme qui a mis tout le monde ou presque dans la rue.
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Cette extrême misère a transformé les enfants haïtiens en marchandises. Actuellement, tout se vend ou mérite pourboire : un sourire pour une photo auprès d’une montagne de détritus, la confession et la visite de votre propre inénarrable misère, une information sur la dernière rue à contourner pour trouver tel immeuble important effondré ou tel bureau public encore fonctionnel.
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Mais le plus rentable est un enfant à donner en adoption, un enfant à confier à un bienfaiteur fortuné. Pour les plus pauvres, qu’un enfant ait 2 mois ou 14 ans, c’est du pareil au même. C’est, pour beaucoup, une charge impossible à supporter.
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Mais c’est aussi, depuis le séisme, une opportunité financière, de l’argent frais à portée de main. A combien se monnaient les enfants ? Cinq cents, 1 000 dollars américains ! Une fortune, ici.
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Largement suffisante pour monter un commerce, rêver de richesse, alors qu’en réalité on (re)perdra tout après deux mois. Dans l’esprit des mères, c’est aussi donner une chance à leur enfant – une chance d’éducation, une chance de trouver un boulot digne, une chance de richesse.
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Pour soi-même et son homme, c’est l’espoir d’un pécule mensuel, d’un visa pour une aventure nord–américaine ou européenne, considérée comme le boulevard du bien-être et du bonheur.
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C’est dans ce contexte qu’il faut situer ce scandale des enfants “kidnappés” par des Américains.La bonne société haïtienne peut bien s’émouvoir et s’indigner, la communauté internationale ne fait que s’appuyer sur la corruption qui règne dans le pays, sa vénalité, son amoralité – en vérité, son désespoir. Aucune de ces mères domiciliées à Calebasse, à environ 20 kilomètres à l’est de Port-au-Prince, et qui ont vendu leurs enfants, n’a pipé mot après l’arrestation des trente-trois missionnaires américains acheteurs d’enfants.
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Chesnel Régilus a vendu ses enfants. Il a 50 ans environ et est père de quatre jeunes infortunés. Pour justifier son acte, il évoque avec calme le délabrement du pays, la maladie des petits qu’il doit faire soigner en République dominicaine voisine. Et sa confiance dans le pasteur Jean Saint Vil, qui a établi le contact avec les missionnaires inculpés. “Assurer l’avenir des enfants est la seule chose qui compte”, a affirmé un autre jeune père.
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Pour les Haïtiens très pauvres, l’étranger blanc est devenu synonyme de richesse et de puissance, voire d’altruisme. L’étranger, en Haïti, symbolise la main tendue que l’Haïtien refuse à son frère.
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Alors, comment mettre en doute la légitimité de ces actes ? De quels papiers parle-t-on ? De quels principes ? De quel instinct maternel, chez ces femmes qui ne peuvent nourrir leurs propres enfants ?
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La police haïtienne qui a intercepté les missionnaires américains acheteurs d’enfants a démontré que l’Etat haïtien existe encore. Après les critiques acides qui ont porté sur la mauvaise gestion gouvernementale du désastre, c’est une bonne nouvelle. La justice les condamnera ou les blanchira, mais il est certain que d’autres viendront à leur suite pour profiter du désastre. Patrice Dumont Le Matin (extraits), Port-au-Prince
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illustration : Dessin de Hachfeld, paru dans Neues Deutschland (Berlin)
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lu sur Libération :
Exit à l'excision !
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Faut-il rappeler que l'excision est une pratique très ancienne, qui date d'au moins 5000 ans avant l'apparition des religions monothéïstes (les chrétiens, les musulmans et les animistes la pratiquent), et que de nombreuses croyances s'y rattachent depuis la préservation de la virginité jusqu'au contrôle de la sexualité de la femme (par les hommes bien sûr).
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Depuis 1996 au Mali un comité a été créé, le Comité National de Lutte contre les Pratiques Néfastes à la Santé de la femme et de l'enfant. Pourquoi ce nom? Pourquoi pas directement "Comité de lutte contre les mutilations sexuelles de la femme"? Probablement par peur de choquer.
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Il faudra attendre 2002 pour voir apparaître le Plan National de Lutte contre la Pratique de l'excision. ...
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En Afrique de l'Ouest, moins de la moitié des pays légifèrent sur le sujet. Au Mali, record en Afrique de l'Ouest, on estime qu'une loi répressive ne servirait à rien puisque tout le monde est impliqué. Trop de monde à punir.
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Au Burkina Faso, par contre, on n"hésite pas à punir les exciseuses, les familles et les complices. Ne pas avertir les autorités si l'on a connaissance qu'une exciseuse est sur le point d'exercer est un délit puisque des numéros verts existent.
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Les repenties sont même priées de s'engager publiquement (à la TV, par exemple) à cesser leurs pratiques.
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Mais les récidives sont très fréquentes par manque de revenus. Pourtant on avance, doucement, sans trop vouloir brusquer, choquer, sous prétexte de tradition ancestrale.
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Dernièrement une vingtaine d'exciseuses ont "déposé le couteau" dans la région de Diéma. Mais pour combien de temps puisque la demande est encore forte et que des femmes des pays voisins n'hésitent plus à voyager pour œuvrer en toute impunité?. ... Thierry Helsens - pour lire la suite, cliquez sur le titre.
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Côté cuisine
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Le livre de cuisine de Andrée-Zana Murat Zana,
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femme de son temps avec métier et enfants, cuisinière de tous les jours et de toutes les grandes occasions, met son savoir-faire à la portée de tous. De A à Z, des classiques et des saveurs insolites.
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Des recettes détaillées pas à pas. Une mine d'idées express. Les meilleurs trucs, astuces et tours de main. Tout pour vous simplifier la vie et surprendre vos invités... 150 recettes classiques, créatives, d'ailleurs. Un livre unique... S'il n'en fallait qu'un, ce serait celui-là !
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l'ami Claude sur facebook me conseille ce livre pour ma recette de coucous...
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de Courrier international - L'anticipation au quotidien
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En Chine, la consommation de viande de chien et de chat pourrait être interdite. Malgré la tradition, l’animal de compagnie devient indispensable à la classe moyenne émergente, explique The Guardian.
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Dans l’Antiquité, la viande de chien était considérée comme un aliment médicinal fortifiant. On en trouve aujourd’hui un peu partout en Chine, surtout dans le Nord, où le ragoût de chien est apprécié pour ses prétendues capacités à réchauffer.
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Pourtant, depuis quelques années, cette tradition est de plus en plus contestée par les classes moyennes citadines, aisées et attachées aux animaux familiers.
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Sur Internet, les pétitions contre la consommation de chien et de chat recueillent des dizaines de milliers de signatures.
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Des vidéos montrant les mauvais traitements que subissent des chiens d’élevage suscitent l’indignation sur les marchés où sont vendus les animaux.
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Les auteurs de la nouvelle proposition de loi exigent des mesures bien plus sévères que la seule interdiction de consommation : ils veulent fermer les milliers de boucheries et de restaurants spécialisés dans la viande de chien.
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En vertu de ce projet, la vente ou la consommation de viande d’animaux familiers serait sanctionnée par quinze jours d’emprisonnement maximum pour les individus et jusqu’à 53 000 euros d’amende pour les entreprises.
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Les bureaux de la sécurité publique devraient mettre en place une sorte de ligne d’urgence pour recevoir les appels de particuliers dénonçant des infractions. “Nous proposons l’interdiction totale de la viande de chien et de chat, parce qu’elle est source de nombreux problèmes dans la société”, explique Chang Jiwen, professeur de droit à l’Académie de sciences sociales de Chine et fer de lance de l’initiative.
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Selon lui, des meurtres et des vols rapportés récemment et liés au commerce de viande canine montrent que ce dernier est devenu source de tensions ; l’interdire aurait des conséquences économiques limitées, dans la mesure où la population, de plus en plus aisée, dépend moins qu’autrefois de la viande de chien et de chat.
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Reste que l’éventuelle interdiction de la viande canine suscite un vif débat entre groupes de défense des animaux et tenants des valeurs traditionnelles. “Je suis favorable à cette proposition.
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Qu’on le considère du point de vue affectif ou de celui de la sécurité alimentaire, absolument rien en Chine n’impose aux gens de manger du chien ou du chat”, estime Zeng Li, le fondateur du refuge Lucky Cats, à Pékin. “Nous avons besoin d’autre chose que de pressions morales.
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Les restaurants qui servent du chien à Pékin se procurent une viande qui provient essentiellement d’animaux errants ou volés. En banlieue, des chiens sont pendus et tués sous les yeux des acheteurs.”
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Sur Internet, les détracteurs de la mesure jugent hypocrite de ne protéger que les chiens et les chats et estiment que le gouvernement devrait s’intéresser au bien-être des êtres humains plutôt qu’à la protection des animaux.
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“C’est absurde. Pourquoi uniquement les chiens et les chats ? Et les cochons, les vaches, les moutons, alors ?” écrit un internaute baptisé Mummy sur le site de l’agence de presse Chine nouvelle. “J’aimerais que ces experts aillent voir ce que les ouvriers licenciés et les populations rurales ont à manger. Ils devraient plus se soucier des problèmes qui touchent vraiment les gens”, renchérit un autre intervenant sous le pseudonyme de Starfish.
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Avant même l’initiative sur l’interdiction de la viande d’animaux domestiques, le projet de loi sur la protection animale suscitait déjà la controverse. Un premier texte, portant sur une grande loi de protection des animaux, a dû être abandonné en raison de critiques affirmant que, à ce stade du développement de la Chine, les conditions de vie des hommes devaient être la priorité absolue.
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La législation a vu sa portée limitée à la prévention des mauvais traitements contre les animaux, définis comme des souffrances et brutalités superflues. Cependant, rien ne garantit que le projet soit adopté par le gouvernement et l’Assemblée nationale populaire.
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illustration : Dessin paru dans "The Economist", Londres.

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