dimanche 28 février 2010

menus propos, envie de lire, tentateurs... lecture en cours

Bien le bonjour,
vent a 41 km/h, rafale a 86 km/h et pluie, pas de quoi se plaindre, surtout quand on n'avait pas l'intention de mettre le nez dehors...
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Terminé hier soir "Gone Baby Gone" de Dennis Lehane,
assez impressionnant ce polar... où les méchants semblent plus sympatiques que les gentils... quant à la fin, j'aurai aimé qu'elle soit différente, que la loi soit quelque peut contournée, sinon ignorée... vraiment un très bon polar, et un auteur dont je compte bien poursuivre la lecture au fils de ses livres.
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commencé un court polar, qui ne manque pas de sel... je ne suis pas loin du coup de coeur d'ailleurs... :
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"Le geek de New York" de Jerome Charyn et Michel Martens
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En 1979, Michel Martens, auteur de Série Noire (avec Jean-Pierre Bastid), rencontre Jerome Charyn, le créateur d'Isaac Sidel.
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Tous deux aiment passionnément le cinéma et ils décident d'écrire pour Libération un feuilleton placé sous l'égide du personnage joué par Tyrone Power dans Le charlatan.
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Ainsi est né Arnold, le Geek » de New York... Ce mot aux consonances étranges -il faut le prononcer « guik »- désigne un personnage mi-homme, mi-bête qui se repaît de chair crue et arrache de ses dents des têtes de poulets dans une attraction foraine.
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Le personnage d'Arnold, dans l'histoire qui est ici publiée pour la première fois sous forme de roman, ne se nourrit pas de têtes de poulets. Il mange les restes d'un infâme restaurant pompeusement nommé Le Sultan; on le gave de glaces et de frites.
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Il faut dire que cet être extraordinaire, d'une laideur magnifique, est un sans domicile fixe qui partage son temps entre deux ports d'attache : les tunnels dont les ramifications s'étendent sous la ville de New York et le cinéma Dover.
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Car Arnold le clodo, l'exclu, le marginal doit être le plus grand cinéphile de la ville. Il vit de fabuleux rêves de celluloïd dans la caverne noire du Dover. Il connaît toutes les vedettes des années trente et quarante et a une passion pour Victor Mature. Il ne manquerait pour rien au monde Mg Darling Clementine...
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Citation qui me plait bien...
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« Il est absurde d'avoir une règle rigoureuse sur ce qu'on doit lire ou pas.

Plus de la moitié de la culture intellectuelle moderne dépend de ce qu'on ne devrait pas lire. »

Oscar Wilde
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illustration : capislam.com




de Mot à mot de saphoo

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Tous les dimanches, grand plaisir a lire les dimanches poétiques, dommage que je n'ai aucun talent.
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Encore un site que j'aime visiter... seul gros problème, c'est aussi l'un des sites qui me donne le plus de tentations...
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de Biblioblog de Les Biblioblogueurs

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Le Prix Biblioblog du Roman est né de l'envie de faire découvrir d'autres voix que celles que l'on entend habituellement dans les médias traditionnels. Comme pour les précédentes éditions, les Biblioblogueurs ont déniché pour vous 6 romans francophones parus en 2009 et qui méritent toute votre attention :
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de le bibliofil de Jean-Luc

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La nouvelle exposition virtuelle de la Bnf s'attache à l'univers Enfantina. Le riche univers des livres pour enfants se déploie sur notre écran grâce avec de nombreux documents présentés.
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Les expositions virtuelles de la Bnf sont toujours riches en images et en trouvailles de toutes sortes.
Cette nouvelle friandise web offre son univers chatoyant où se mêlent réjouissances iconographiques et articles de fond, comme cette excellente introduction aux livres d'enfants intitulée Un peu d'histoire par Corinne Gibello-Bernette.
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J'y suis passée et un véritable enchantement... gros coup de foudre... tout comme je l'avais eu pour les contes de fées...
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tentateurs : et mes listes s'alongent...


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Dans tous les cas un livre qui mérite d'être lu pour son ambiance gothique et les personnages.
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Quatrième de couverture

"Là, sur la terrasse, dans la clarté lunaire maintenant plus intense, se tenait une femme vêtue d’un linceul trempé qui ruisselait sur le marbre, faisant une flaque qui s’écoulait lentement sur les marches mouillées.
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Son attitude et sa mise, les circonstances de notre rencontre, me donnèrent aussitôt à penser, même si elle se mouvait et parlait, qu’elle était morte. elle était jeune et belle, mais pâle, de la pâleur éteinte et grise des cadavres."
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Extrait du journal de Rupert Sent Leger, cette scène — dans la pure tradition du genre — donne bien le ton de cet admirable roman gothique où s’entrelacent lettres, billets, fragments de journal intime et notes pour raconter les aventures étranges et inquiétantes d’un jeune homme sans le sou devenu du jour au lendemain châtelain dans les Balkans…
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Gilbert Gallerne - Au Pays des Ombres
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Présentation de l'éditeur

Un policier « PJPP » est victime d’une machination qui l’implique avec son arme professionnelle dans un assassinat, à deux pas de sa résidence secondaire normande… « Il prend un an de prison, sort la semaine dernière, et fonce se faire tuer devant chez moi. Que venait-il me dire ? »
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Un an plus tôt, sa femme s’est-elle vraiment suicidée ? Coupable ? Culpabilisé ? Il s’est mis à boire. La police locale diffère sa décision de mettre en garde à vue un collègue apprécié de ses supérieurs du 36. Pour prouver son innocence, celui-ci met à profit cette hésitation en menant sa propre enquête et en doublant ceux qui en ont la charge.
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Au terme d’épreuves professionnelles et affectives accablantes, cet homme est déstabilisé dans l’amour qu’il portait à sa femme et dans celui qu’il réserve à sa fille. Isolé et victime d’un faisceau de suspicions, il trouve la force de cesser de boire et celle de faire éclater une vérité particulièrement violente.
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L’amitié y est perdante, mais l’honneur de la police sort renforcé de cette intrigue émouvante et mouvementée où il apparaît que la principale qualité du policier n’est pas forcément l’orthographe mais la confiance en sa hiérarchie.
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A l’ombre d’une jeune fille en…pleurs, un policier qui n’a plus peur de son ombre, tire plus vite qu’elle et s’en tire… Maintenant que la vérité n’est plus dans le whisky, à quoi peuvent bien se mettre à rêver les jeunes filles ?
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Les personnages de Barnaby et du sergent Troy ont été popularisés par une série télé anglaise à succès. On peut aussi les retrouver dans les livres ayant inspiré ces téléfilms.
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Sous des faux-airs de romans traditionnels anglais, les enquêtes de l’inspecteur Barnaby sont moins passéistes qu’il n’y paraît. Certes, le typique décor villageois est pittoresque. Mais héros et intrigue sont actuels, s'inscrivant dans un quotidien très vivant. Un corbeau au presbytère de Caroline Graham n’est pas une nouveauté, mais figure toujours au catalogue J’ai Lu. Un suspense à redécouvrir.
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Présentation de l'éditeur
Si elle avait su, Ann Lawrence aurait refusé que Lionel, son mari, abandonne sa charge de pasteur pour héberger des voyous... Mais comment prévoir qu'une pensionnaire, plutôt que d'avouer un vol, se jetterait une nuit dans la rivière et qu'un témoin en profiterait pour la faire chanter ?
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Comment imaginer que le cadavre découvert plus tard ne serait pas celui de la jeune fille mais celui du " corbeau " ? Comment, surtout, s'innocenter de ce meurtre auprès de l'inspecteur Barnaby, chargé de l'enquête ?
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Désemparée, Ann s'apprête à livrer son secret lorsqu'elle est victime à son tour d'une tentative d'assassinat. Pour la police, le mystère reste entier, sauf à admettre que les morts ne sont pas toujours aussi morts qu'on le croyait...
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Pour terminer, pas de cuisine aujourd'hui, juste un article trouvé sur MediaSeine de Idy

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