vendredi 12 février 2010

menus propos, bric à brac, envie de lire... flemme

Bonjour à tous,
juste quelques visites aujourd'hui chez les habituels, Lali, Cécile, Alex, etc... je me suis peut laissé tenter pour une fois,
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court passage chez :

Ulike.net
.livradict, inscrite pour lire
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Le Manoir des sortilèges de Serge Brussolo
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Gilles, un jeune écuyer, voit mourir son maître au cours d'un tournoi. Devenu la propriété du vainqueur, le voilà dès lors contraint de servir un étrange chevalier à l'armure couverte de rouille, et dont personne n'a jamais vu le visage. Ce baron maudit serait-il lié aux enlèvements d'enfants qui terrorisent la contrée ?Peu après, ce maître mystérieux accepte une mission : retrouver, au coeur d'un manoir perdu dans les forêts du Ponant, un grimoire de sorcellerie dont la possession confère des pouvoirs maléfiques. Commence alors pour l'écuyer un dangereux voyage, qui va lier son sort à celui d'un monstre et l'entraîner aux confins de la peur.Dans la veine du Château des poisons et de L'Armure de vengeance, Serge Brussolo nous plonge au coeur des superstitions et des ténèbres, dans un suspense qui ne laisse nul répit.
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blo-o-book, Partenariat Spécial Saint-Valentin, pas tentée...
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pas encore été voir partage de lecture ni grain de sel,

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"la liseuse" de Ellen de Groot
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Voilà, pas fait grand chose et pas envie d'en faire plus, beaucoup trop hate de retourner de plonger dans mon polar du moment...
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tentateurs :

journal désespéré d'un écrivain raté de Mary Dollinger
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résumé : Difficile, la condition d'écrivain classique. De nos jours, ni Balzac, ni Stendhal, ni George Sand ne trouveraient forcément grâce aux yeux des éditeurs. Pas plus que tout autre écrivain contemporain... Vous vous demandez pourquoi ? Mary Dollinger, avec son humour et son (faux) flegme britanniques, s'est penchée sur ce problème. Les auteurs, eux, n'en sont pas encore remis.
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souvenir de lecture : Je suis un écrivain frustre de Maas/Carcelen
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il s'agit d'un critique et professeur de litterature apprécié mais frustré de n'etre capable d'ecrire un roman ...un de ses amis est deja un auteur reconnu ... Mozart est son surnom ...notre professeur frustré est bien sur Salieri qui tient sa revanche en "empruntant" le manuscrit d'une de ses elèves mais pour cacher la supercherie il doit empecher que celle-ci ne se manifeste ... commence alors un veritable thriller au suspense passionant, d'une ironie acerbe à la limite du supportable parfois ...un tres bon moment ! - baskaal

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Revue de presse littéraire...

de Actualitté - Une page de caractère de (Julien Loubière)
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Descartes assassiné à l'arsenic, thèse d'un universitaire allemand. Dans La mort mystérieuse de René Descartes, Theodor Ebert soutient que Descartes a été empoisonné.
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Theodor Ebert remet en cause la version officielle de la mort du philosophe René Descartes. La mort mystérieuse de René Descartes, le livre de l'univesitaire allemand révèle que l'auteur du Discours de la méthode et des Méditations métaphysiques ne serait pas mort d'une pneumonie mais aurait été assassiné par un prêtre catholique.
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Si la thèse de l'assassinat de Descartes agace les universitaires français, ce n'est pas le cas de tout le monde !Descartes donnait des cours matinaux à la reine Christine de Suède dans une pièce glaciale, ce à quoi il n'aurait pas survécu. Une version que conteste Theodor Ebert.
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Il s'appuie en effet sur une lettre qu'aurait rédigée le docteur Van Wullen au valet de Descartes. « Van Wullen raconte qu’en examinant l’urine de Descartes, il a vu que le philosophe était atteint de quelque chose de très grave et en a conclu à une mort imminente.
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Cela veut sans doute dire qu’il y avait du sang dans l’urine. Or, ce n’est pas là un symptôme de pneumonie. »Eike Pies revenait également sur la mystérieuse lettre en question dans L'affaire Descartes paru en 1996.
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Theodor Ebert apporte d'autres éléments à la thèse de l'empoisonnement : « Van Wullen rapporte que Descartes s’est fait préparer un émétique et qu’il l’a bu afin de provoquer un vomissement. » Avait-il compris qu'on l'avait empoisonné ?
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Theodor Ebert défend la thèse d'un empoisonnement de Descartes par l'aumônier à l’ambassade de France à Stockholm, François Viogué. Il pense que l' aumônier aurait provoqué la mort de Descartes au moyen d'une hostie imbibée d'arsenic.
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Selon lui, « Il est très probable que Viogué ait vu en Descartes un obstacle à la conversion de la reine à la foi catholique. »
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En 1654, la reine Christine (issue d'une famille luthérienne) se convertit à la religion catholique. L'érudit Manfred Baum, interrogé par le Spiegel, juge la thèse de Theodor Ebert « hautement vraisemblable ». L'entretien que Theodor Ebert a accordé à Books est à lire ici.
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Arts
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des sculptures étonnantes et belles.
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divers : St Valentin

de
HNS-info de jesusparis

pas fan de cette fête... mais contente tout de même d'avoir reçu un bouquet de mimosas...
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