lundi 1 mars 2010

menus propos et visite de blogs... tentations... livres en cours

Bonjour à tous,
C'est joli n'est-ce pas ?
En bref by Mr Kiki Deuxième changement... le principal est de ne pas perdre le fils... j'aime son blog, et puis Mr Kiki est tellement généreux, il vient de m'offrir ce très beau animal fétiche... je l'adore !
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Le geek de New York de Jerome Charyn
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Encore 20 pages et il sera terminé, un peu dommage, on s'attache au personnage.
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pour le commentaire de lecture, demain sans doute, mais j'en ai plusieurs en retard... et ce n'est pas avec la flemme que j'ai que ça va avancer...
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1ère lecture de mars

Larchmütz 5632 de Jean-Bernard Pouy
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Quatrième de couverture
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Il y a vingt-cinq ans, l’Olga les a endormis.
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En leur ordonnant de se tenir prêts pour le Grand Soir.
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Et toutes ces années passées dans le grand vert de la Bretagne les ont vus vieillir, oublier, vivre. Mais pas changer.
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Et quand le signal du réveil leur tombe dessus, Benno et Adrien n'hésitent pas longtemps à reprendre le combat. Tout ça sous l'oeil bienveillant de 5632, une vache télépathe...
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Prix Polar 1989,
Trophée 813 du meilleur roman 1992,
prix Paul-Féval 1996, Jean-Bernard Pouy est un auteur inclassable, inventeur de génie de constructions romanesques rigoureuses, à la fois tendres et féroces, passionnantes et drôles.
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de Thé au Jasmin de Kenza Henri Rousseau, exposition à la Fondation Beyeler,
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et oui, Kenza est souvent présente, mais elle a toujours aussi des articles qui me séduisent...

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Malgré de toutes petites réserves sur la troisième partie (Leçons du roi de Menton), j'ai beaucoup aimé ce roman de chevalerie, plus facile et agréable à lire que certains romans contenus dans "Récits d'amour et de chevalerie" ou "la légende Arthurienne".
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Voilà un livre qui me tentait, convaincue par ce qu'en dit Folfaerie...
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C'est un court texte sur le regard des autres, l'attention que l'on porte à l'autre. C'est assez cruel mais très réaliste malheureusement ! Un livre beau et très touchant.
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résumé :
Enrober, caresser la souffrance puisqu'on sait qu'elle ne nous quittera plus. La retrouver dans les eaux profondes de notre chair et remonter à la source des signes. "C'est le retour à la vie lente. Lente et pétrifiée comme des signes enfermés dans un galet.".
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La Grosse mêle intimement le réel et la parole intérieure, avec pudeur. On retrouve ici la même passion que dans le livre précédent de Françoise Lefèvre, Le petit Prince cannibale (Actes Sud 1990), une solitude face à l'autisme.
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Des phrases de tous les jours, d'une clairvoyance impitoyable, un sourire qu'on accroche, un désir insupportable.C'est le livre des gestes simples. Le livre d'une attente, celle de ce Roland de Roncevaux, image de l'homme qu'on aime, qu'on vénère, qu'on espèrera jusqu'au bout : "A perte de vue, la route poudroie d'absence."
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Ironie. Un goût amer au fond de la gorge. La Grosse, un livre du vide. "A perte de vue, la route est vide. Vide jusqu'au vertige. Est-ce possible de vivre avec un coeur aussi gonflé d'absence?"
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Eric-Emmanuel Schmitt figure parmis les trente auteurs français qui seront à l'honneur cette année pour symboliser les trente ans du salon du livre de Paris qui se déroulera du 26 au 31 mars. Il présentera à cette occasion son nouveau livre : Concerto à la mémoire d'un ange.
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Quel rapport entre une femme qui empoisonne ses maris successifs et un président de la République amoureux ?
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Quel lien entre un simple marin et un escroc international vendant des bondieuseries usinées en Chine ?
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Par quel miracle, une image de sainte Rita, patronne des causes désespérées, devient-elle le guide mystérieux de leurs existences ?
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Tous ces héros ont eu la possibilité de se racheter, de préférer la lumière à l'ombre. A chacun, un jour, la rédemption a été offerte. Certains l'ont reçue,d'autres l'ont refusée, quelques uns ne se sont aperçus de rien.
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Quatre histoires liées entre elles. Quatre histoires qui traversent l'ordinaire et l'extraordinaire de toute vie. Quatre histoires qui creusent cette question: sommes-nous libres ou subissons-nous un destin ? Pouvons-nous changer ?
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Concerto à la mémoire d'un ange est suivi du Journal tenu par Éric-Emmanuel Schmitt durant l'écriture.En vente dès le 4 mars.
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Vous ne prendrez plus jamais le métro comme avant : un roman mordant, dont l'intrigue se situe pour bonne part sous les trottoirs parisiens, vient de paraître au rayon polars.
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Dans La Onzième Plaie , Aurélien Molas, un inconnu qui ne devrait pas le rester longtemps, raconte une traque haletante dans les réseaux pédophiles.
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Tout commence par ce qui ressemble au suicide d'une jeune femme et d'une petite fille sous un métro. A partir de ce fait divers qui n'en est pas un, la police remonte une monstrueuse organisation criminelle qui lui réserve d'effroyables surprises.
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L'auteur a choisi le thème de la pédophilie pour ce qu'il révèle médiatiquement d'une société qui accorde une place centrale à l'enfant. Se situant du côté des victimes comme des enquêteurs, il réussit avec beaucoup de finesse à éviter le voyeurisme et la facilité, ancrant son livre dans une actualité sociale et abordant le sujet sous l'angle des réseaux Internet.
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Ce jeune scénariste de 24 ans, baigné par la lecture de Bernanos, Ellroy et Hubert Selby Jr, s'est autant nourri de The Shield et de La Soif du mal que de ses connaissances personnelles sur la police française pour construire un roman serré : une belle réussite.
La Onzième Plaie , d'Aurélien Molas (Albin Michel, 416 p., 19,50 euros).
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Petites choses que j'ai lues dans la presse aujourd'hui... en terminant sur une note d'humour, pour changer de la cuisine...
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Lecture d'un jour, lecture toujours : oui, mais que lire ?
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L'éternelle différence entre les garçons et les filles, clairement pas égaux devant la lecture vient-elle de prendre fin ? Un peu. Mais pas trop.
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Parce qu'une enquête menée sur 100.000 enfants anglais et dirigée par le professeur Keith Topping montre que « les garçons lisent presque autant que les filles », explique-t-il. Une conclusion pour le moins révolutionnaire, mais qui s'accompagne de quelques petits points noirs.
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L'université de Dundee qui a fourni cette analyse à la société Renaissance Learnng (spécialisée dans les tests scolaires en ligne) dévoile en effet autre chose : « Les garçons ont tendance à lire des livres plus faciles que les filles. »
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Le tableau global montre que les p'tites à couettes ont tendance à s'aventure dans des ouvrages d'un niveau littéraire plus ardu, alors qu'à niveau scolaire équivalent, les garçons se consacrent à des ouvrages plus abordables.
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Thérapie par l'exemple : pour ces jeunes, âgés de 13 à 16 ans, les filles préfèrent massivement Twilight - limite presque pas difficile à envisager.
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Au contraire, les garçons optent pour The Dark Never Hide, du Britannique Peter Lancett, un ouvrage de fantasy illustré...
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Alors pour le coup, la distinction entre les unes et les autres s'établirait à partir de 11 ans et qu'ils passent dans le cursus scolaire supérieur - notre collège à nous en fait.
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De plus, J.K. Rowling, qui l'année passée occupait encore la 2e place des auteurs les plus populaires, viendrait de dégringoler à la... 9e. Une remarque d'importance, puisque les aventures du petit sorcier pouvaient impliquer plus les garçons, par effet d'identification, et leur désintérêt s'est alors transformé en recherches de lectures faciles.
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Conclusion à tirer de ces conclusions : les professeurs devraient se montrer plus vigilants sur ce que lisent leurs élèves et proposer des ouvrages plus adaptés. Ainsi que les habituer à fréquenter plus les services de bibliothèque scolaire...
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L'étude serait à rapprocher de cette que nous évoquions précédemment, et réalisée par la National Literacy Trust. Selon ses résultats, les jeunes préféreraient dans tous les cas internet aux ouvrages de fiction. Oups...
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Faceploucs est un site proposant des captures d’écran représentant les citations d’usagers du service Facebook est ouvert à son public qui en compose lui même le contenu.
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Grandement inspiré par son homologue américain, Lamebook, Faceploucs n’est en aucun cas une exposition où l’on se moque gratuitement d’autres personnes, c’est un bêtisier, un recueil des meilleures citations comme des pires, un aperçu de ce qu’il se passe sous le nez de votre voisin où l’on se rend compte, que, finalement, les choses ne sont pas si différentes ailleurs.
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Vérone, Italie – De vendredi 26 février, et jusqu’à aujourd’hui, est ouvert le salon du luxe. Parmi les produits proposés, on retrouve un cercueil en or et une robe parsemée de diamants.
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Le
cercueil semble être la pièce phare de ce salon du luxe, du moins celle qui interpelle le plus. Décoré d'or, explique l’AFP, le cercueil coûte la modique somme de 280.000 euros.
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Il est aussi équipé d’un téléphone portable, afin de pouvoir envoyer un message d’alerte de son sarcophage, au cas où l’on serait enterré vivant.
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Dans un autre registre, mais tout aussi cher, le salon du luxe propose également une robe de mariée originale. En chinchilla rose, la robe reprend l’esprit de la tenue de French Cancan et est parsemée de plusieurs diamants.
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Et l’Agence France Presse de préciser que ce 8e salon international du luxe a proposé bien d’autres produits chics (et chers) comme un bateau disposant d’un moteur Ferrari, une voiture de sport rarissime (1,3 million d’euros), un vélo en or, un fauteuil en peau de crocodile ou un billard décoré à la feuille d’or (60.000 euros). De quoi faire rêver.
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2 commentaires:

Raphaël Labbé a dit…

trop fort faceploucs je découvre grace à toi ;-D

mazel a dit…

ravie Raphaël !
bonne journée, bises