samedi 18 septembre 2010

Prix Femina, premier jet!


bonjour tout le monde, une journée sans ordinateur... et voilà ma boite à mails et google-reader qui débordent... je commence donc la journée en lisant la presse... et bien entendu l'actualité littéraire en premier lieu.

Liberation.frLe jury du prestigieux prix littéraire, a publié sa première sélection des romans en vue du prix qui sera décerné le 2 novembre.

Par LIBÉRATION.FR

(AFP Loïc Venance)

Dans cette première liste, hormis les romans de Despentes, Houellebecq, Kerangal et Lapeyre, neuf ouvrages ne figurent pas dans la première sélection du Goncourt. Les deux autres sélections du Femina seront annoncées le 2 octobre et le 20 octobre. En 2009, le prix Femina avait récompensé la romancière pour son livre, Personne, publié au Mercure de France (filiale Gallimard).


Romans français:


- El-Mahdi Acherchour pour Moineau (Editions Aden)

- Claude Arnaud pour Qu’as-tu fait de tes frères ? (Grasset)

- Virginie Despentes pour Apocalypse Bébé (Grasset)

- Philippe Forest pour Le siècle des nuages (Gallimard)

- Gisèle Fournier pour Le dernier mot (Mercure de France)

- Mikaël Hirsch pour Le réprouvé (L’Editeur)

Détails sur le produit- Michel Houellebecq pour La Carte et le territoire (Flammarion)... résisté hier... mais pour combien de temps...

- Fabienne Jacob pour Corps (Buchet Chastel)

- Maylis de Kerangal pour Naissance d’un pont (Verticales)

- Patrick Lapeyre pour La vie est brève et le désir sans fin (POL)

- Olivia Rosenthal pour Que font les rennes après Noël ? (Verticales)

- Violaine Schwartz pour La tête en arrière (POL)

Détails sur le produit- Antoine Volodine pour Ecrivains (Seuil) - tentée

Présentation de l'éditeur

La figure de l'écrivain telle que l'imagine Antoine Volodine. Ni alcoolique génial ni géant hugolien, ni romantique torturé, et encore moins sommité mondaine adulée par les médias. L'écrivain ici se débat contre le silence et la maladie, quand il n'est pas sur le point d'être assassiné par des fous ou des codétenus. Qu'il soit homme ou femme, il sait qu'il n'a aucun avenir. Souvent, il est analphabète, comme Kouriline, qui évoque oralement la terreur stalinienne en s'inclinant devant des poupées en ferraille. Il peut aussi lui arriver d'être déjà mort, comme Maria Trois-Cent-Treize, qui fait une conférence sur l'écriture dans l'obscurité totale qui suit son décès. Ou d'être en transe, comme Linda Woo, qui depuis sa cellule donne elle-même une définition des écrivains : " Leur mémoire est devenue un recueil de rêves. Ils inventent des mondes où l'échec est aussi systématique et cuisant que dans ce que vous appelez le monde réel.

Romans étrangers:


Venezuela - Alberto Barrera Tyszka pour La maladie (Gallimard)

Brésil - Bernardo Cavalho pour Ta mère (Metaillé)

Australie - Shirley Hazzard pour La baie de midi (Gallimard)

Afrique du Sud - Michel Heyns pour Jours d’enfance (Philippe Rey)

Suède - Henrik B. Nilsson pour Le faux ami (Grasset)

Islande - Audur Ava Olafsdottir pour Rosa candida (Zulma) -

Irlande - Edna O’Brien pour Crépuscule irlandais (Sabine Wespieser)

Détails sur le produitFinlande - Sofi Oksanen pour Purge (Stock) - tentée

Irlande - Kate O’Riordan pour Un autre amour (Joëlle Losfeld)

Corée - Hwang Sok-Yong Shim Chong pour Fille vendue (Zulma)

Etats-Unis - Amanda Smyth pour Black Rock (Phébus)

Portugal - Gonçalo M. Tavares pour Apprendre à prier à l’ère de la technique (Viviane Hamy)

Portugal - Maria Velho da Costa pour Myra (La Différence)

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