dimanche 8 novembre 2009

matinée avec mon bouquiniste...

Malgré la pluie, une sortie sur le marché de Poissy...
Je me suis débarassée d'une tonne de vieux bouquins (ceux que me donne ma mère ou mon fils et que je ne lis pas) et quelques uns de ceux que ne n'ai pas aimé...
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Bien sûr il s'agit d'échanger et non de vendre... alors, en vrac voici mes trouvailles...
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de quoi tenir tout l'hiver !
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illustration : Galerie de Sylvia DiGeorgio
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Skin de Mo Hayder, rare de trouver des nouveautés...
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Lorsque le corps d'une jeune femme est découvert aux abords d'une voie ferrée près de Bristol, la police, mobilisée par une enquête beaucoup plus médiatique, accueille avec soulagement le rapport d'autopsie concluant au suicide.
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Le commissaire Jack Caffery, pourtant, ne se range pas à cet avis. Convaincu qu'il s'agit d'un meurtre, il tente de faire part de ses doutes au sergent Flea Marley. Mais celle-ci, prise dans une tragique histoire familiale, n'est pas en mesure de l'écouter. L'un comme l'autre sont encore loin de s'imaginer vers quelle monstrueuse réalité ils s'acheminent...
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Sur un tempo tout aussi implacable que celui de Rituel, Skin nous entraîne dans les abysses les plus noirs de l'âme humaine. Un voyage au bout de l'horreur parfaitement orchestré par Mo Hayder.
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Rn 86 de Pouy Jean-Bernard, je ne peux pas résister à certains auteurs...
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Lucie avait disparu un mois entier sans donner d'explication à Léonard. Et il n'avait pas eu le temps de la convaincre de parler puisqu'elle était morte peu après dans un accident de voiture. Alors, ce vide insupportable, Léonard entreprend de le combler.
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A l'aide du seul lien qui le rattache à ce mystère : une carte postale du pont du Gard.Mais dès qu'il franchit le pont, les fantômes viennent à sa rencontre...
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Mystère rue des Saint-Pères de Claude Izner,
je trouve un certain charme désuet à ce genre de roman...
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Comme nombre de visiteurs du monde entier, Victor Legris, libraire rue des Saints-Pères, se rend à l'Exposition universelle où la tour Eiffel, qui vient d'être achevée, trône en véritable vedette.
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En ce début d'été 1889, les Parisiens ont bien du mal à se frayer un chemin dans la foule qui se presse entreles kiosques multicolores, dans les allées envahies de pousse-pousse et d'âniers égyptiens... Au premier étage de la tour, Victor doit retrouver Kenji Mori, son associé, et son ami Marius Bonnet, qui vient de lancer un nouveau journal, Le Passe-partout.
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Mais leur rendez-vous est vite interrompu : une femme vient de s'écrouler sous le coup d'une étrange piqûre. S'ensuit une série de morts inexpliquées qui vont marquer les débuts d'enquêteur de Victor Legris... Ces nouveaux mystères de Paris nous plongent dans la capitale des impressionnistes, ses " villages " et ses quartiers populaires.
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Les Emmurés de Serge Brussolo, un auteur que je connais mal...
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A l'origine, la mission de Jeanne était simple : s'installer quelque temps dans un immeuble où furent commis, des années plus tôt, plusieurs crimes inexpliqués, afin d'y écrire un reportage si possible sensationnel... Mais aussitôt franchi le seuil de l'étrange maison Malestrazza, la jeune femme va deviner que les maléfices ne sont pas uniquement dus aux fantasmes du voisinage.
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Est-il vrai que l'assasin habiterait toujours là, caché dans un appartement invisible ? Y a-t-il comme on le prétend des cadavres emmurés aux différents étages ? Et que lui veut au juste ce gamin trop imaginatif, le fils de la concierge, qui, spontanément, s'offre à lui faire découvrir les arcanes de la bâtisse ?
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Saga de Tonino Benacquista, un auteur que j'adore...
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Comme les trois mousquetaires, ils sont quatre, embarqués dans une drôle d'aventure : écrire le scénario d'un feuilleton télévisé destiné à occuper l'antenne pendant les heures creuses de la nuit.
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Peu importe l'histoire puisque personne ne la regardera, la saga n'obéit qu'à un seul critère : coûter le moins cher possible en décors, acteurs et tournage.
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Et les quatre scénaristes, que tout sépare, ont été recrutés pour leur seul point commun : ils n'ont pas les moyens d'être exigeants.
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Marco, le narrateur, est quasiment prêt à travailler gratuitement, Jérôme, le plus jeune, s'est déjà brûlé les ailes dans son rêve de conquérir Hollywood, Mathilde est une pisse-copie du roman sentimental, et Louis a connu son heure de gloire à Cinecittà mais il y a longtemps déjà.
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La rencontre des quatre auteurs va pourtant avoir des conséquences inattendues. Puisqu'ils ont toute liberté, à condition d'être économes, ils décident de se faire plaisir et se lancent dans une histoire qui non seulement aura un succès inattendu, mais transformera leur vie, et même, à certains égards, l'ordre du monde.
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La Commedia des ratés - Grand Prix de la Littérature Policière 1992 de Tonino Benacquista, là, j'ai comme un doute... impossible de me souvenir si je l'ai déjà lu ou non...
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Antonio Polsinelli, fils d'immigré italien de Vitry-sur-Seine, se rend à Sora en Italie pour s'occuper d'une vigne que lui a léguée un ami qui vient d'être assassiné. Mais la déception est amère, comme le vin imbuvable dont il a hérité.
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Seule la statue de Sant'Angelo érigée dans la chapelle construite sur son terrain pourrait faire un miracle. A son grand étonnement, Antonio est exaucé. Non seulement le mendiant local recouvre la vue mais la piquette se transforme en velours. Dès lors, les prix montent en flèche et les fidèles affluent. C'était sans compter sur l'ex-propriétaire, un gangster américain, qui réclame 25 % des recettes...
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Ce récit enivrant de drôlerie atteint son but : nous faire croire à l'incroyable. L'auteur entremêle les souvenirs émouvants du père immigré aux grandes bouffonneries des foules crédules. L'histoire se nourrit de mille détails aussi succulents que les recettes de pâtes ou du vrai café italien. Des trouvailles, de l'humour et de la dérision : que demander de plus ?
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Les Racines du mal de Maurice G. Dantec, ça faisait un moment que je désirais lire cet auteur assez controversé, je n'ai lu que "la sirène rouge"...
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Andreas Schaltzmann est persuadé que les habitants de la planète Vega sont installés dans son quartier, à Vitry-sur-Seine, et étendent leurs ramifications jusqu'aux plus hautes sphères de l'État.
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Paranoïaque, l'homme décide de vider ses comptes en banque et ses chargeurs de revolvers ; il se lance dans une cavalcade meurtrière à travers la France. Arrêté, il apprend qu'on lui attribue des crimes qu'il n'a pas commis.
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Un trio de scientifiques persuadé de son innocence traquera les véritables tueurs grâce à un ordinateur de type supérieur, baptisé "neuromatrice" qui fonctionne comme un cerveau humain mais à une vitesse surmultipliée.
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Ce roman atypique débute à la manière d'un périple de tueur en série pour s'orienter vers un récit prospectif où éléments philosophiques, sociologiques et scientifiques viennent s'imbriquer dans l'action. Le XXIe siècle, selon Maurice G. Dantec, ne sera pas une promenade de santé dans la mesure où (dit-il) "l'humanité ne s'attaque pas aux racines du mal qui la ronge".
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Shutter Island de Dennis Lehane, depuis que j'entends parler de cet auteur dans la blogosphère... je vais enfin pouvoir m'en faire une idée.
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Shutter Island est un îlot au large de Boston où un hôpital psychiatrique semblable à une forteresse accueille des pensionnaires atteints de troubles mentaux graves et coupables de crimes abominables.
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Un matin de septembre 1954, le marshall Teddy Daniels et son équipier Chuck Aule débarquent sur cette île pour enquêter sur l’évasion de Rachel, une patiente internée après avoir noyé ses trois enfants.
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Dès leur arrivée, les deux policiers perçoivent l’étrange atmosphère de ce lieu clos. Ils comprennent vite que personne ne les aidera dans leur mission et ils se posent plusieurs questions : quel rôle jouent sur l’île les médecins qui dirigent cet hôpital et quelles méthodes expérimentent-ils sur leurs patients ? À quoi sert le phare qui domine l’îlot et dont l’entrée semble inaccessible ?
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Persuadés que l’évadée a bénéficié de complicités, les deux marshalls vont ruser pour découvrir tout ce qu’on leur cache mais un message codé laissé par Rachel les enfonce davantage en plein mystère. Petit à petit, ce drame fait ressurgir chez Teddy des éléments de son passé : il a connu la douleur de perdre sa femme dans un incendie criminel.
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Mais lorsque Chuck Aule découvre que le pyromane responsable des malheurs de son collègue se trouve interné sur l’île, il s’interroge sur Teddy : celui-ci est-il venu pour enquêter ou pour se venger ?
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Dennis Lehane a construit un puzzle diabolique et subtil dans l’intention de jouer jusqu’au bout avec les nerfs de ses lecteurs qui vont s’interroger tout au long d’un récit où les apparences sont souvent trompeuses et la vérité entrevue, contredite au chapitre suivant.
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Dans son précédent opus, le merveilleux Mystic River (porté à l’écran par Clint Eastwood), le romancier avait exprimé la mesure de son talent. Avec Shutter Island (en cours d’adaptation à Hollywood) il récidive de belle façon et son thriller à tiroirs se conclut par un magistral coup de théâtre. Si Lehane a changé de registre formel, il continue inlassablement à explorer les ressorts de la condition humaine.
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44 Scotland Street de Alexander McCall Smith, je connaissais déjà la savoureuse "madame Ramotwe", mais pas encore cette série...
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Quand la jeune Pat pousse la porte du 44 Scotland Street, elle espère bien prendre un nouveau départ.
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Entre son colocataire, un beau gosse insupportable et terriblement séduisant, et son excentrique voisine de palier, Domenica, la voilà entraînée dans une nouvelle vie au cœur de l'Édimbourg bohème.
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Son travail à la galerie « Something Special » s'annonce pourtant un peu morne. Sauf que Pat découvre au fond de l'obscur endroit un tableau qui pourrait bien valoir son pesant d'or et transformer sa vie !
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D'abord publiées sous la forme d'un roman-feuilleton, ces chroniques d'Alexander Mc Call Smith brossent avec humour et tendresse la société d'Édimbourg et composent, entre chassés-croisés amoureux et intrigues haletantes, une savoureuse galerie de portraits.
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L'histoire de l'amour de Nicole Krauss, un livre qui était sur ma liste lors de sa sortie en librairie, et puis oublié... étonnant d'ailleurs, pour un livre qui fait référence à la Shoah.
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A New York, la jeune Alma ne sait comment surmonter la mort de son père. Elle croit trouver la solution dans un livre que sa mère traduit de l'espagnol, et dont l'héroïne porte le même prénom qu'elle.
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Non loin de là, un très vieil homme se remet à écrire, ressuscitant la Pologne de sa jeunesse, son amour perdu, le fils qui a grandi sans lui.
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Et au Chili, bien des années plus tôt, un exilé compose un roman. Trois solitaires qu'unit pourtant, à leur insu, le plus intime des liens : un livre unique, L'histoire de l'amour, dont ils vont devoir, chacun à sa manière, écrire la fin.
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Cet admirable roman, hanté par la Shoah, offre une méditation déchirante sur la mémoire et le deuil. Mais c'est avant tout un hymne à la vie, écrit dans une langue chatoyante et allègre, l'affirmation d'un amour plus fort que la perte, et une célébration, dans la lignée de Borges, des pouvoirs magiques de la littérature. Il impose d'emblée Nicole Krauss comme une romancière de tout premier plan. Prix du meilleur livre étranger 2006.
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Dolly City de Orly Castel-Bloom, littérature juive, je n'y résiste pas...
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Pour Dolly, tout est toujours possible - le pire surtout. De visions inquiétantes en scénarios cauchemardesques, le cours de la vie de cette jeune femme, médecin à Tel-Aviv, s'infléchit définitivement à partir du jour où elle recueille un bébé abandonné dans un sac-poubelle sur le bord d'une autoroute.
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Devenue mère adoptive malgré elle, Dolly panique, Dolly délire dans une métropole frénétique, misérable, "mutante", dévorée par son anarchique vitalité. Né de l'alliance d'un imaginaire audacieux et d'un hyperréalisme très personnel, ce livre suscita, lors de sa parution en 1992, des controverses passionnées.
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Ce premier roman inclassable sur les dérives du sentiment maternel et l'hystérie des cités des temps modernes signait avec éclat l'entrée sur la scène littéraire israélienne d'une romancière hors du commun.
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N'oublie pas mes petits souliers de Joseph Connolly, un auteur que j'aime, et puis, une lecture de noël...
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Dans cette satire au vitriol de la vie et des moeurs contemporains, on retrouve les personnages de Vacances anglaises, quelques mois après les événements survenus l'été précédent.
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John Powers doit faire face à la perte de sa somptueuse épouse Lulu, lassée de sa jalousie pathologique et des pulsions homicides qui en découlent.
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Brian et Dotty Morgan, installés dans une caravane garée dans l'allée de leurs ex-voisins, Howard et Elisabeth, apprennent à vivre dans le dénuement le plus absolu -ce qui n'empêche pas Dotty de conspirer pour s'approprier la petite Dawn, le bébé dont Melody, sa mère, ne s'occupe guère.
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L'hiver se révèle également redoutable pour Norman Furnish, qui a perdu son emploi chez Howard et, du même coup, sa chère Katie, la fille d'Howard, elle-même embarquée dans une double histoire avec Rick, fruste séducteur de Chicago, toujours armé, et avec l'ex-amant de Melody, Miles McInerney, VRP insupportable de prétention et de cynisme.
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Quant à Howard et Elisabeth - la passion de Howard pour Laa-Laa et celle d'Elisabeth pour Zouzou (ex-amant de Howard) les aideront-ils à trouver, en cette nuit de Noël, la paix de l'esprit et le contentement de l'âme ?
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La Course au mouton sauvage de Haruki Murakami, auteur découvert récemment, j'aime bien son style...
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Ami d'un jeune homme surnommé le Rat, un publicitaire assez banal, divorcé, vivant avec une femme dotée de très belles oreilles, voit son univers basculer parce qu'il a publié la photo d'un troupeau d'ovins dans un paysage de montagnes.
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Parmi ces moutons, l'un d'eux aurait pris possession d'un homme pour en faire le Maître d'un immense empire politique et financier d'extrême droite. Or, le Maître se meurt. Menacé des pires représailles, le publicitaire doit retrouver le mouton avant un mois.
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Ce qui le mène de Tokyo à l'hôtel Dauphin de Sapporo, pour finir au fin fond d'une montagne encore plus au nord d'Hokkaido. " Qui irait croire une histoire aussi loufoque ? " dit le Rat à son copain.
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Et pourtant, on y croit parce que c'est Murakami, un auteur qui sait décrire - comble du style - de manière très naturelle des histoires extraordinaires, introduire des canettes de bière et des morceaux de jazz dans ce qui semble une fantasmagorie, faire sentir le vent ou le silence de la neige qui règnent sur les rêves.
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Un chateau en boheme de Didier Daeninckx, encore l'un de mes auteurs favoris...
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François Novacek, ancien journaliste d’investigation devenu détective privé, se rend à Prague sur les traces d’un écrivain français disparu lors d’un voyage de repérage.
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Dans cette ville où tout semble à la fois curieux et habituel, Novacek va se trouver confronté à une réalité déroutante.
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Son enquête sur le passé récent du pays et sur les méthodes de l’ex-Union des écrivains va croiser sa propre histoire, celle d’un père ancien résistant sous l’occupation nazie devenu footballeur de haut niveau, et qui parvint à fuir en 1952 lors de la grande vague des procès staliniens.
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Voilà donc qui vient grossir ma pile de lecture... et encore, il me reste un compte chez mon bouquiniste... une histoire sans fin...
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En attendant de les commencer, il me reste à lire et d'en faire le comte-rendu :
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Le jour de votre nom de Olivier Sebban, offert par babelio
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La vaine attente de Nadeem Aslam, emprunté à la bibliothèque ce Carrières
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Le Parlement des fées, Tome 2 : L'art de la mémoire de John Crowley, offert par livraddict
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illustration : par Celia.H

3 commentaires:

Heureuse a dit…

Le Dennis Lehane est GENIAL! L'histoire, l'atmosphère, les personnages... A lire rapidement car ils sont en train de le tourner avec Léonardo Di caprio.
Dantec.. Cru, vrai, dég*** asse. Génial mais certains passages sont insoutenables. Les racines du mal en effet.

mazel a dit…

salut Heureuse,
comme tu vois, je fais des provisions pour l'hiver...

Vous êtes plusieurs a m'avoir conseillé Lehanne et c'est par celui-là que je commencerai...

mais je vais devoir lire ceux que m'ont envoyé babelio et livraddict avant... je leur doit un commentaire et en plus vraiment envie de les lire... donc Lehanne en attente.

Pour Dantec, un peu hésité a le prendre, très sulfureux comme auteur, et d'après ce que tu dis, je vais le garder pour la fin...

n'importe comment, maintenant j'applique le droit du lecteur et j'abandonne ceux qui m'ennuie...

bonne journée, bises

Alex-Mot-a-Mots a dit…

Une bonne matinée, et de bonnes lectures en perspectives....