En vue de ma participation au club de lecture d'Andrésy "le Milleuille", à partir de mantenant je recherche, suivant mes lectures, a dégagé un thème...
Toutes les participations sont les bienvenues...
Thème : roman sur les cathédrales (ou temples)...
Le grand classique :Dans le Paris du XVe siècle, une jeune et superbe gitane appelée Esméralda danse sur le parvis de Notre Dame.
Sa beauté bouleverse l’archidiacre de Notre-Dame, Claude Frollo, qui veut la faire enlever par son sonneur de cloches, le malformé Quasimodo. Esméralda est sauvée par une escouade d’archers, commandée par le capitaine de la garde Phoebus de Châteaupers.
Quand Esmeralda retrouve Phoebus plusieurs jours plus tard, elle lui laisse voir l’amour qu’il lui a inspiré. Certes, Phoebus est fiancé à la jeune Fleur-de-Lys, mais il est également séduit par la gitane. Il lui donne rendez-vous dans une maison borgne, mais au moment où il va parvenir à ses fins, Frollo survient et le poignarde.
Accusée de meurtre, la belle Esmeralda ne veut pourtant pas, pour échapper a la mort, accepter de se donner à Frollo. Quand on l’amène devant la cathédrale pour subir sa peine, Quasimodo – qui l’aime aussi – s'empare d'elle et la traîne dans l'église, où le droit d’asile la met à l’abri. Là, il veille sur elle, jaloux et farouche, espérant peut-être la séduire ?
Cependant, les truands avec lesquels vivait Esmeralda viennent pour la délivrer. Frollo profite du tumulte pour l’emmener avec lui, et tente à son tour de la séduire. Furieux de son refus, il la livre aux griffes de la vieille recluse du Trou-au-rats. Mais au lieu de déchirer la Esmeralda, celle ci reconnaît en elle sa propre fille. Elle ne peut cependant en profiter, car les sergents de ville la retrouvent, et la traînent à nouveau au gibet.
Du haut de Notre-Dame, Quasimodo et Frollo assistent à l’exécution. Quasimodo, furieux de désespoir, précipite le prêtre du haut de la tour, et va lui-même se laisser mourir dans le charnier de Montfaucon, tenant embrassé le cadavre d’Esmeralda, enfin unis pour l’éternité.
Romans divers :
Nous sommes au Xe siècle avant J.C.
D’abord désigné comme victime sacrificielle, le petit Hiram est sauvé par un subterfuge et trouve asile à la cour de Pharaon.
Impressionné par ses dispositions pour l’architecture, Pharaon l’envoie à la cour du roi Salomon, qui a le projet d’élever un temple au Dieu des Hébreux.
Le lecteur se sent constamment entraîné par l’action, qui ne faiblit jamais, et découle tout naturellement du sujet.
Abondance, variété, mouvement de l’intrigue, décor historique précis sans être pesant, tout concourt à faire de ce nouveau Lentéric un régal de lecture.
Biographie : Bernard Lentéric est l'auteur de nombreux best-sellers (La Nuit des enfants-rois, La Guerre des cerveaux, Les Enfants de Salonique, L'Ange Gabriel, Les Maîtres du pain...) et d'adaptations à la télévision
Le bâtisseur de Thierry Vila
La première chose qu'il vit en entrant dans son cabinet de travail fut ce dessin fort complexe d'un piédestal destiné à recevoir un tabernacle pour la chapelle Pamphili et qu'il avait esquissé la veille.
Le trait, hors de raison, comme voulant se retourner sur lui-même et se dissoudre en repentirs incessants, infléchissait vingt fois sa route, avec des sursauts exacerbés et contraires, et dans les brisures et les fragments de courbe qui se succédaient sans autre cause visible que le mouvement lui-même, se lisait un défi à l'univers tout entier, jeté là sur ce coin de table.
Il avait écrit, dans l'emportement, au bas de la feuille : Pour échapper à l'ennui.
En cette deuxième partie du XVIIe siècle, partout en Europe, s'instaure une crise de la pensée et de la Foi, entre l'oraison triomphante de la Contre-Réforme et les Lumières rationalistes qui s'annoncent.
Une situation de névrose généralisée en quelque sorte, qui résonne étrangement avec notre époque, dont l'architecte Lombard Francesco Borromini (1599-1667), érudit autodidacte et mélancolique, serait une figure exemplaire. Et son architecture, une réponse aux allures d'épilogue (sinon d'épitaphe) à cinq siècles d'art religieux italien.
C'est l'hypothèse de ce roman biographique qui nous fait découvrir ce formidable inventeur de formes, rival malheureux du Bernin, pendant les vingt-six dernières années de sa vie, nous entraînant au cœur de sa réflexion, à la naissance même de son geste d'artiste bâtisseur du sacré... jusqu'à ce jour d'août 1667 où il se blessera à mort, volontairement.
Biographie : Thierry Vila est né en 1947 dans la Vienne. Auteur d'articles critiques et de réflexion sur le théâtre, il a publié quatre romans : L'oiseau silencieux (Balland, 1988), La procession des pierres (Balland, 1989), Les inhumains (Julliard, 1994) et La nage (Verticales, 2001), ainsi qu'un ouvrage consacré à l'histoire de la chorégraphie au XXe siècle : Paroles de corps (Le Chérie, 1998).
Dans l'Angleterre du XIIe siècle ravagée par la guerre et la famine, des êtres luttent pour s'assurer le pouvoir, la gloire, la sainteté, l'amour, ou simplement de quoi survivre. Les batailles sont féroces, les hasards prodigieux, la nature cruelle. La haine règne, mais l'amour aussi, malmené constamment, blessé parfois, mais vainqueur enfin quand un Dieu, à la vérité souvent trop distrait, consent à se laisser toucher par la foi des hommes.
Abandonnant le monde de l'espionnage, Ken Follett, le maître du suspense, nous livre avec Les Piliers de la Terre une œuvre monumentale dont l'intrigue, aux rebonds incessants, s'appuie sur un extraordinaire travail d'historien.
Promené de pendaisons en meurtres, des forêts anglaises au cœur de l'Andalousie, de Tours à Saint-Denis, le lecteur se trouve irrésistiblement happé dans le tourbillon d'une superbe épopée romanesque.
" Avant de poser sa main sur le Livre, Renaud ferma les yeux et, en un éclair, vit défiler les étapes prodigieuses de sa vie de bâtisseur. [...] Le jeune maître Renaud sentit ses mains trembler, comme animées par une force mystérieuse. "
Renaud Pasquier commence son apprentissage de maître d'œuvre avec le célèbre Suger à l'abbaye de Saint-Denis.
Dès lors, il n'a de cesse de parcourir les chantiers avec sa grande famille pour faire connaître les nouveautés architecturales et techniques de l'art gothique naissant.
Jean Diwo nous raconte les règles, les traditions, les secrets et les passions de ce monde de la construction en y mêlant les mésaventures de la famille royale française.
De Sens à la Sainte-Chapelle et de Louis VI à Louis IX, nous parcourons ainsi le XIIe, siècle en compagnie d'une famille de bâtisseurs de cathédrales.
Quatrième de couverture
Après les architectes du Colisée, l'introduction de la peinture à l'huile en Italie, les fontainiers des jardins de Versailles. c'est au peuple des bâtisseurs de cathédrales que Jean Diwo a choisi de rendre hommage.
Au XIIe siècle, l'abbé Suger, une personnalité rayonnante, décide d'embellir l'abbaye de Saint-Denis, au nord de Paris. En neuf ans, il en fait reconstruire la façade et le chevet.
L'ensemble sera considéré comme le tout premier chef-d’œuvre de l'architecture gothique.
Dans la fresque romanesque' de Jean Diwo, Pasquier, le premier d'une lignée, est maître d’œuvre. Il a deux fils qui lui succéderont. Ils ont à la fois un rôle de sculpteur et d'architecte, et sortent de la matière. avec les maîtres de métiers et les compagnons, une célébration de pierre qui dure encore aujourd'hui. Sous l'impulsion Tel est le cadre historique du dernier roman de Jean Diwo. Fidèle à sa méthode il s'intéresse à un corps de métiers qui a ses traditions ses règles. ses secrets, ses techniques. Grâce à cela, un siècle entier se rapproche de nous, vibrant de foi et d'enthousiasme
Histoire
Etude systématique menée à travers une multitude d'exemples concrets, elle ne laisse échapper aucun aspect des activités féminines au cours de la période féodale et médiévale : administration des biens, métiers et commerce ; domaine de la pensée, de la littérature, de la politique même ; femmes écrivains, éducatrices, suzeraines, celles qui animèrent les cours d'amour et celles qui ont inspiré les romans de chevalerie.
Quatrième de couverture
Régine Pernoud a écrit La Femme au temps des Cathédrales comme une protestation contre le sort fait aux femmes depuis des siècles. En fine médiéviste, elle a su repérer dans l'histoire les personnages de premier plan : reines, saintes, savantes, qui illuminèrent leur époque.
Avant Jeanne d'Arc et Catherine de Sienne, des personnalités comme Aliénor d'Aquitaine, Héloïse, Dhuoda, Bathilde ou encore Clotilde ont laissé leur empreinte dans la légende des siècles. Ce livre pionnier a rouvert leurs dossiers et provoqué les historiens.
À travers une multitude d'exemples, Régine Pernoud raconte aussi le quotidien des femmes de toutes conditions au Moyen Âge : les métiers, le commerce, les arts, la politique, la vie amoureuse et conjugale. Elle rend hommage à celles qui inspirèrent nombre de romans de chevalerie et d'amour.
Science-fiction :
Joe Farnwright ne vit que par son métier. Homme ordinaire broyé par une société rigide et tyrannique, Joe recolle des morceaux de céramique, il guérit des objets avec un talent merveilleux.
Hélas, arrive un jour où plus personne n'a besoin de ses services. Il sombre lentement jusqu'à ce qu'un message venu de l'espace donne un nouveau tournant à sa vie misérable.
Une entité extraterrestre souhaite l'engager, lui et d'autres individus venant des quatre coins de la galaxie, pour une entreprise titanesque : restaurer une cathédrale au fond de l'océan, sur une planète lointaine.
Alors Joe n'hésite pas, il part et rejoint un étrange équipage. Cette créature pourra peut-être les sauver...
Un très beau roman du maître Philip K. Dick, où l'on retrouve le thème de l'aliénation de l'homme dans la société et un héros perdu, en quête de libre arbitre et d'espoir.
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