mardi 25 novembre 2008

Uderzo - Astérix, le ciel lui tombe sur la tête

Et bien voilà, j'ai lu un Astérix...
bien longtemps que cela ne m'était plus arrivé... d'abord parce que depuis de départ de Goscinny, je trouvais que les albums manquaient d'humour... et puis, je n'arrivait plus à lire les bulles.
Voilà presque un an que mes yeux ont été réparés... et j'ai donc tenté de nouveau la B.D.

Bonne nouvelle, je lis sans problème, je vais donc pouvoir me lancer dans "persépolis"...

Mauvaise nouvelle :
Uderzo ne s'arrange pas ! Une nullité cet album... rien de nouveau... et côté humour, pas trouvé une phrase, un mot, même un dessin qui me fasse sourire... d'un profond ennui !

Par curiosité j'ai voulu voir ce qu'en pensaient d'autres lecteur (amazon) :

Scénaristiquement, on frise le néant.
Il n'y a tellement rien à raconter qu'il y a des vignettes énormes partout, des quarts de pages, des demi pages, des pages complètes.
L'intrigue est bouclée quelques planches avant la durée syndicale de 44 planches, donc on tente de la relancer avec quelques gags pour combler les trous, comme le toune qui grandit (et hop, quelques vignettes de quart de page en plus) ou le toune qui noircit, oh la la mais que d'aventures.
L'univers d'Astérix est présent sous la forme du minimum syndical : une case de pirate, une de bagarres, une de baffes aux romains...
Et tous les personnages sont tellement des caricatures d'eux-mêmes qu'ils radotent, on dirait qu'ils approchent tous les 80 ans.
Humoristiquement, je ne sais pas, je cherche encore. Les références sont désormais si faiblardes qu'il faut systématiquement les expliquer en bas de vignette.Quant à l'esthétique, bon c'est subjectif, chacun aura donc son avis, le mien c'est que c'est l'un des albums les plus moches .Je trouve tout ça d'une grande tristesse. Pour Goscinny. Et pour Astérix, celui que j'ai tant aimé depuis mon enfance.
Voyons les choses en face : monsieur Uderzo se fout ouvertement de la gueule des lecteurs de plus de 8 ans, il contemple juste ravi l'explosion des chiffres des ventes au journal télévisé. Explosion uniquement dûe à la promo et à la sortie mondiale avec interdiction de vendre avant le jour J. - Par Tristantitoune "Tristantitoune"

Astérix est un personnage de fiction créé par le scénariste René Goscinny et le dessinateur Albert Uderzo dans la bande dessinée française Astérix le Gaulois de la série éponyme en 1959.

Astérix est le fils d'Astronomix et Praline, deux Gaulois originaires du village dans lequel il vit actuellement et tenant un magasin de souvenirs à Condate.

Né le même jour qu'Obélix, il est dans sa jeunesse son seul ami : la bêtise et la corpulence d'Obélix en font un enfant exclu des autres, dont Astérix, premier de la classe, prend toujours la défense.

Un jour de bataille contre les Romains, Panoramix le druide assiste à la bataille, délaissant la surveillance de sa hutte. Astérix a alors une idée : faire boire un peu de potion magique à Obélix de façon à ce qu'il prenne un peu de force et de confiance en lui. Les deux enfants se rendent ensemble discrètement dans la hutte du druide, et Astérix aide Obélix à se hisser sur le bord de la marmite. C'est à ce moment que Panoramix revient dans sa hutte. Astérix fait alors tomber Obélix dans la marmite, et réussit à sortir en douce de la hutte.Peu après, Panoramix ressort de sa hutte, tenant à bout de bras un Obélix qui a bu l'intégralité de la marmite de potion magique !
C'est à ce jour, la seule "bêtise" connue d'Astérix.

Depuis, son intelligence et sa ruse lui ont valu d'être le meilleur chasseur et guerrier du village, un des plus précieux conseillers d'Abraracourcix, et un bon confident de Panoramix.
Astérix est petit, intrépide et courageux. Il n'agit qu'après mure réflexion (sauf quand il s'agit des romains). Il est presque toujours accompagné de son ami Obélix avec qui il partage toutes ses aventures. Ils se disputent assez souvent mais se réconcilient à chaque fois. Il est assez méfiant envers les étrangers et même des fois envers la garde de Jules César.-wikipédia

le site est aussi peu intéressant que cet album... du marketing c'est tout !
illustration : la pleureuse d'Auguste Clésinger

Aucun commentaire: