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il m'arrivai de le lire dans les salles d'attente autrefois, mais maintenant mon dentiste achète "géo" et mon généraliste des revue sur "la chasse"...
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et il y a bien longtemps que je ne sors plus sans mon livre...
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enfin, bref ! tout de même tentée par le polar aux temps des soviets...
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illustration : "la liseuse au chale" d’Émile Bernard
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Voici la sélection du mois de septembre du Grand Prix des Lectrices de Elle 2010
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Tom Rob Smith Enfant 44
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Tom Rob Smith Enfant 44
Belfond très tente, je le rajoute sur ma liste...
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Un suspense inouï qui vous prend à la gorge, le portrait d'un homme en quête de vérité, ou péril de sa vie et de celle des siens, la restitution magistrale de cette implacable machine à broyer les hommes que fut le système soviétique.
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Le premier roman d'un jeune auteur qui fait une entrée fracassante sur la scène littéraire internationale.
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Hiver 1953, Moscou. Le corps d'un petit garçon est retrouvé sur une voie ferrée. Agent du MGB, la police d'Etat chargée du contre-espionnage, Léo est un officier particulièrement zélé.
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Alors que la famille de l'enfant croit à un assassinat, lui reste fidèle à la ligne du parti : le crime n'existe pas dons le parfait État socialiste, il s'agit d'un accident.
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L'affaire est classée mois le doute s'installe dans l'esprit de Léo. Tombé en disgrâce, soupçonné de trahison, Léo est contraint à l'exil avec sa femme, Raïssa, elle-même convaincue de dissidence.
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C'est là, dans une petite ville perdue des montagnes de l'Oural, qu'il va faire une troublante découverte : un autre enfant mort dans les mêmes conditions que l' accident " de Moscou. Prenant tous les risques, Léo et Raïssa vont se lancer dans une terrible traque, qui fera d'eux des ennemis du peuple...
certainement un très beau livre, mais je n'aime pas trop les histoires de famille..
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Mon père s'est tué d'une balle dans la bouche le 11 mars 2008. Il avait soixante-dix ans passés. J'ai calculé qu'il m'avait adopté trente-huit ans plus tôt, un jour enneigé de février 1970.
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Toutes ces années, nous nous sommes aimés jusque dans nos différences. Il m'a donné son nom, m'a transmis sa joie de vivre, ses histoires de soleil, beaucoup de sa force et aussi une longue nostalgie de sa Tunisie natale.
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En exerçant son métier de kinésithérapeute, il travaillait " à l'ancienne ", ne s'exprimait qu'avec les mains, au besoin par le regard. Il était courageux, volontaire, mais secret : il préféra toujours le silence aux paroles, y compris à l'instant ultime où s'affirma sa liberté, sans explication. "
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Ce sont les mots qu'ils n'ont pas dits qui font les morts si lourds dans leur cercueil ", écrivit un jour Montherlant. Mais il me laissa quand même mes mots à moi, son fils vivant, et ces quelques pages pour lui dire combien je reste encore avec lui.
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Il est évident que la fortune pour le moins tardive de ma grand-mère a joué un rôle important dans cette histoire. Sans tout cet argent, mes parents ne seraient jamais revenus s'installer dans le Finistère. Et moi-même sans doute, je n'aurais jamais quitté Brest pour habiter Paris.
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Mais le vrai problème est encore ailleurs, quand il a fallu revenir des années plus tard et faire le trajet dans l'autre sens, de Paris vers Brest.
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