mardi 5 octobre 2010

un peu de pub pour un bouquiniste sympa...

Rencontré ce matin un bouquiniste sympa... pour lui vendre les livres de SF de mon frère... donc, un peu de pub pour lui...

Librairie l'amour du noir
Polar/SF/cinéma
11, rue du Cardinal Lemoine
75005 Paris
ouvert tous les jours de 12h00 à 19h00

et en plus il m'a offert un Simenon... un volume des presses de la cité, collection trio, datant de 1955, comprenant 3 titres : La neige était sale, Au bout du rouleau, et Le destin de Malou .
Ce qui tombe à pic pour participer au challenge Maigret..

Georges Simenon - La neige était saleSans un événement fortuit, le geste de Frank Friedmaier, cette nuit-là, n'aurait eu qu'une importance relative.
Frank, évidemment, n'avait pas prévu que son voisin Gerhardt Holst passerait dans la rue. Or, le fait que Holst était passé et l'avait reconnu changeait tout. Mais cela aussi, et tout ce qui devait s'ensuivre, Frank l'accepta.

Georges Simenon - Au bout du rouleauPour faire une petite ville de la France profonde, comme Chantournais, il faut un "Café des Tilleuls" où des hommes jouent aux cartes, des demoiselles sortant de la messe, des ouvriers allant à la pêche.

Des gens ordinaires et familiers, des riches sordides et des pauvres médiocres. Une localité comme les autres, accueilllante ou irrespirable, selon l'humeur. C'est là que Marcel Viau, trente ans à peine, a décidé de mettre un terme à sa vie de voyou traqué.

En finir serait la meilleure solution, mais il y a Sylvie, une fille de rencontre qui s'est mystérieusement attachée à lui comme un chien. Et puis ces hommes du café qui le narguent. Alors, comme on se lance un dernier défi, le jeune homme va s'asseoir à leur table et engage avec eux une partie de poker meurtrière.

Georges Simenon - Le destin de MalouOn le craignait, on l'enviait, on voulait sa peau.
Il séduisait, il inquiétait et il dérangeait trop de monde. On le savait aux abois, mais on tremblait encore. Cela ne pouvait que mal finir.

Finalement, Eugène Malou, l'homme d'affaire et promoteur dont personne ne connaissait le passé, avait pris les devants. Il s'était suicidé en plein jour devant l'hôtel particulier d'un notable. La ville respirait - cette ville qu'il avait longtemps tenue entre ses mains -, non sans éprouver un sentiment de honte collective.

Mais, qui était Malou, escroc et grand seigneur, cynique et philanthrope, aventurier de génie ? En le découvrant peu à peu, son fils va de surprises en surprises.

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