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"The Enchantress of Florence", dernier roman de l'écrivain britannique Ron Evans, fait partie des treize oeuvres pré-sélectionnées pour le prix Booker 2008, équivalent en Grande-Bretagne du prix Goncourt.
"The Enchantress of Florence", dernier roman de l'écrivain britannique Ron Evans, fait partie des treize oeuvres pré-sélectionnées pour le prix Booker 2008, équivalent en Grande-Bretagne du prix Goncourt.
"Avec un niveau remarquable de consensus, les cinq juges du Man Booker ont décidé de la pré-sélection de 13 romans. Les juges sont ravis de l'équilibre géographique de cette pré-sélection avec des auteurs originaires du Pakistan, d'Inde, d'Australie, d'Irlande et du Royaume-Uni", a indiqué Michael Portillo, président du jury, dans un communiqué.
112 romans étaient en lice.
La liste restreinte des cinq candidats encore dans la course doit être annoncée le 9 septembre et le nom du vainqueur sera révélé le 14 octobre.
Source : AFP29/07/2008 Mise à jour : 21:37
Article paru dans "le figaro" - http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2008/07/29/01011-20080729FILWWW00534-rushdie-en-lice-pour-le-booker-.php
Deux héros se croisent au XVIe siècle, entre la Florence des Médicis et l'Inde des Moghols.
L'un d'eux, le Grand Moghol Jalâluddin Muhammad Akbar, était un musulman libéral et très ouvert qui invita des jésuites à sa cour pour débattre de questions religieuses.
L'homme, complexe et idéaliste, profondément oriental mais séduit par l'Occident, est évidemment le porte-parole idéal des idées de Salman Rushdie.
Le deuxième héros, Niccolo Vespucci, est un voyageur mystérieux venu de Florence.
Entre les deux, une femme : l'enchanteresse Qara Köz, qui serait une descendante de Gengis Khan.
Certains critiques anglais voient dans cette amante idéale une description fidèle de la top-modèle et actrice indienne Padma Lakshmi, qui fut la quatrième femme de l'écrivain avant de demander le divorce l'année dernière. Après ses déboires amoureux, le romancier pourrait toutefois trouver une belle consolation. Son chef-d'œuvre de 1981,
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Note : *
je comprends un peu mieux la colère de Rushdie concernant la parution du bouquin de son ex-garde du corps.
Pas génial comme publicité pour le prétendant a un tel prix.
Reste tout de même que je préfère lire un bouquin de Rushdie plutôt que les déballages de Ron Evans.
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